Le 9 mai 1953, à l'issue d'une cérémonie commémorative de la "Déclaration Schuman", Jean Monnet (à g.), président de la Haute Autorité, et Robert Schuman (à dr.), député de la Moselle, traversent le pont Adolphe à Luxembourg.
Le 30 novembre 1950, Jean Monnet rend compte à Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, de l'avancement des négociations sur le plan Schuman.
Le 30 octobre 1949, le secrétaire d'État américain Dean Acheson écrit à Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, afin de l'assurer de ses efforts pour rechercher une solution concertée sur le statut international de l'Allemagne.
Le 14 juin 1950, René Massigli, ambassadeur de France à Londres, écrit à Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, pour lui faire connaître la position exacte du Premier ministre britannique Clement Attlee sur le projet de pool charbon-acier.
Robert Schuman (à dr.), ministre français des Affaires étrangères et son homologue britannique Ernest Bevin (à g.) lors de la première réunion du Conseil de l'Europe en 1949.
Le 14 septembre 1950, lors des négociations sur le plan Schuman, Jean Monnet adresse à Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, un télégramme dans lequel il évoque un changement dans l'attitude de la délégation allemande qui, craignant de voir le réarmement allemand se faire non plus dans un cadre européen, mais uniquement national, pose de nouvelles conditions en vue de la mise en place d'un marché commun du charbon et de l'acier.
