Le 18 avril 1989, le quotidien madrilène El País analyse les conséquences de l'Union économique et monétaire (UEM) sur le fonctionnement des Communautés européennes.

Dans une étude publiée sur le site Notre Europe, think tank européen, le 18 mai 2009, Francisco Roa Bastos se penche sur des organisations politiques encore mal connues: les «partis politiques au niveau européen». Souvent confondus avec les groupes politiques du Parlement européen, ces «europartis» sont reconnus par le traité de Maastricht et deux règlements communautaires qui leur confèrent un statut et un financement propres depuis 2003.

Le 14 décembre 1992, deux jours après la tenue du Conseil européen à Édimbourg, le quotidien français Le Monde commente la difficile question du financement du budget communautaire et analyse le plan de financement proposé par Jacques Delors, président de la Commission européenne.

Le 3 juin 1992, Jacques Delors, président de la Commission européenne, commente les résultats du référendum au Danemark, qui s'est conclu par le refus du peuple danois de ratifier le traité de Maastricht.

Le 24 juin 1994, le quotidien dublinois The Irish Times commente les négociations en cours au Conseil européen de Corfou pour la succession de Jacques Delors à la présidence de la Commission européenne.

Lors d'une conférence de presse, Jacques Delors, président de la Commission des Communautés européennes (CCE), présente officiellement les nouveaux membres de la CCE nommés le 5 janvier 1986: Manuel Marín González, vice-président, chargé des Affaires sociales et de l'Emploi, de l'Éducation et de la Formation, Abel Matutes y Juan, chargé du Crédit, de l'Investissement et de l'Ingénierie financière et de la Politique des petites et moyennes entreprises, et António Cardoso e Cunha, chargé de la politique de la Pêche. Manuel Marín González s'exprime notamment sur les priorités du fonds social européen tandis qu'Abel Matutes y Juan centre son discours sur les politiques de soutien aux petites et moyennes entreprises au sein de la Communauté.

Le CVCE, en collaboration avec Notre Europe – Institut Jacques Delors et la Fondation Nationale des Sciences Politiques (FNSP-Sciences Po), a réalisé un dossier consacré à Tommaso Padoa-Schioppa (1940-2010) avec pour objectif de mettre en perspective sa personnalité, sa pensée et ses apports au traitement des questions économiques et monétaires européennes et internationales des 40 dernières années.

Le 28 avril 1989, Neil Kinnock, président du Parti travailliste, critique la politique européenne de Margaret Thatcher, Premier ministre britannique conservateur qui ne ménage pas ses attaques contre Jacques Delors, président de la Commission européenne.

Le 5 novembre 1992, la Commission européenne (CE) se réunit à Bruxelles afin de discuter sur la question de l'adhésion de la Finlande à l'Union européenne. De gauche à droite: Henning Christophers, vice-président de la CE, commissaire en charge du Budget et des Affaires administratives, Jacques Delors président de la CE et David Williamson, secrétaire général de la CE.

Le 28 avril 2005, Jacques Delors, ancien président de la Commission européenne, réfute dans les colonnes de l'hebdomadaire français Le Nouvel Observateur les arguments souvent avancés par les partisans du "non" dans la campagne pour le référendum en France sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe.