Note anonyme française dans laquelle sont examinés la plupart des arguments développés en Europe par la propagande communiste à l'encontre du plan Schuman.
Le 10 mai 1950, le périodique satirique soviétique Krokodil dénonce le plan Schuman et présente le rapprochement franco-allemand comme "un mariage de convenance" au service des intérêts américains.
"Le docteur non sanglant de Paris" Le 22 juin 1950, à l'occasion de l'ouverture des négociations sur le plan Schuman, le caricaturiste allemand Lang souligne l'engagement de Robert Schuman en faveur de l'intégration européenne et illustre l'absence du Royaume-Uni à la table des négociations.
"Eh bien ! on va continuer le voyage sans lui". Le 14 juin 1950, le caricaturiste Woop illustre la décision du gouvernement britannique de ne pas participer aux négociations sur le plan Schuman.
"Malheureusement nous sommes très occupés..." Le 17 juin 1950, le caricaturiste allemand Beuth illustre les raisons invoquées par les autorités gouvernementales britanniques pour ne pas participer aux futures négociations sur la mise en oeuvre du plan Schuman. De gauche à droite: Ernest Bevin, ministre britannique des Affaires étrangères, Clement Attlee, Premier ministre britannique, le chancelier fédéral Konrad Adenauer et Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères.