Le 30 avril 1994, le quotidien français Le Monde dresse la liste et le profil des prétendants possibles au poste de président de la Commission européenne en remplacement de Jacques Delors.
Le 24 juin 1994, le quotidien dublinois The Irish Times commente les négociations en cours au Conseil européen de Corfou pour la succession de Jacques Delors à la présidence de la Commission européenne.
Le 27 juin 1994, le quotidien français Libération commente l'échec du Conseil européen de Corfou (24-25 juin) à l'issue duquel les chefs d'État ou de gouvernement des Douze n'ont pas pu se mettre d'accord sur le nom d'un successeur de Jacques Delors à la présidence de la Commission européenne.
Le 28 juin 1994, le quotidien français Le Figaro fait le point sur les difficultés qu'éprouvent les chefs d'État ou de gouvernement des Douze pour désigner unanimement un successeur de Jacques Delors à la présidence de la Commission européenne.
Lors du Conseil européen de Corfou des 24 et 25 juin 1994, John Major, Premier ministre britannique, est le seul à s'opposer à la nomination du Premier ministre belge Jean-Luc Dehaene comme successeur de Jacques Delors à la présidence de la Commission européenne.
In diesem Interview spricht Jacques Santer über die Gründe, die seiner Meinung nach den britischen Premierminister John Major dazu veranlassten, die Kandidatur des belgischen Premierministers Jean-Luc Dehaene als neuen Kommissionspräsidenten während des Europäischen Rates von Korfu am 24. und 25. Juni 1994 abzulehnen.
In diesem Interview erinnert Jacques Santer, ehemaliger luxemburgischer Premierminister und ehemaliger Präsident der Europäischen Kommission, an die Einzelheiten seiner Ernennung zum Präsidenten der Europäischen Kommission auf dem außerordentlichen Europäischen Rat von Brüssel am 15. Juli 1994.
Le 16 juillet 1994, le quotidien La Libre Belgique s'interroge sur les capacités de Jacques Santer, Premier ministre luxembourgeois, à succéder efficacement à Jacques Delors au poste de président de la Commission européenne.
Le 17 juillet 1994, le quotidien madrilène El País commente le choix du Conseil européen extraordinaire de Bruxelles du 15 juillet de nommer Jacques Santer, Premier ministre luxembourgeois, au poste de président de la Commission européenne pour succéder à Jacques Delors.
Le 17 juillet 1994, le quotidien français Le Monde dresse le portrait de Jacques Santer, Premier ministre luxembourgeois, qui vient d'être désigné par les chefs d'État ou de gouvernement des Douze comme le nouveau président de la Commission européenne.
Le 22 juillet 1994, le quotidien français Libération décrit la manière dont le Parlement européen a accordé par vote, la veille, l'investiture à Jacques Santer, Premier ministre luxembourgeois, pour la présidence de la Commission européenne.
Le 22 juillet 1994, le journal espagnol El País commente l'octroi, la veille, par le Parlement européen de l'investiture à Jacques Santer comme nouveau président de la Commission européenne.
Le 21 janvier 1995, le Parlement européen approuve la nomination de la nouvelle Commission européenne sous la présidence de l'ancien Premier ministre luxembourgeois Jacques Santer.
Am 21. Juli 1994 gibt Michel Rocard, ehemaliger französische Premierminister und Mitglied der Fraktion der Sozialdemokratischen Partei Europas im Europäischen Parlament, in der Plenarsitzung des Parlaments in Straßburg eine Erklärung zur Ernennung Jacques Santers zum Präsidenten der nächsten Europäischen Kommission ab.
Am 21. Juli 1994 gibt Ben Fayot, luxemburgischer Abgeordneter im Europäischen Parlament und Mitglied der Fraktion der Sozialdemokratischen Partei Europas, in der Plenarsitzung des Europäischen Parlaments in Straßburg eine Erklärung zur Ernennung seines Landsmannes Jacques Santer zum Präsidenten der nächsten Europäischen Kommission ab.
In der Plenarsitzung des Europäischen Parlaments rechtfertigt der designierte Präsident der nächsten Europäischen Kommission Jacques Santer am 21. Juli 1994 seine Nominierung vor den europäischen Abgeordneten.
Am 21. Juli 1994 gibt Klaus Kinkel, Bundesaußenminister und Präsident des Rates der Europäischen Union, in der Plenarsitzung des Parlaments in Straßburg eine Erklärung zur Ernennung Jacques Santers zum Präsidenten der nächsten Europäischen Kommission ab.
Am 21. Juli 1994 gibt Pauline Green, Europaabgeordnete und Vorsitzende der Fraktion der Sozialdemokratischen Partei Europas (SPE), in der Plenarsitzung des Europäischen Parlaments in Straßburg eine Erklärung zur Ernennung Jacques Santers zum Präsidenten der nächsten Europäischen Kommission ab.
Am 21. Juli 1994 gibt Wilfried Martens, Europaabgeordneter und Vorsitzender der Fraktion der Europäischen Volkspartei (EVP), in der Plenarsitzung des Europäischen Parlaments in Straßburg eine Erklärung zur Ernennung Jacques Santers zum Präsidenten der nächsten Europäischen Kommission ab.
Am 21. Juli 1994 gibt Gijs de Vries, Europaabgeordneter und Vorsitzender der Fraktion der Europäischen Liberalen und Demokraten (ELDR), in der Plenarsitzung des Europäischen Parlaments in Straßburg eine Erklärung zur Ernennung Jacques Santers zum Präsidenten der nächsten Europäischen Kommission ab.
In der Plenarsitzung vom 18. Januar 1995 stimmen die Abgeordneten des Europäischen Parlaments der Ernennung der zukünftigen Kommission unter Leitung von Jacques Santer zu.
In diesem Interview erinnert sich Jacques Santer, ehemaliger luxemburgischer Premierminister und Präsident der Europäischen Kommission, an die Debatten, die im Juli 1994 und im Januar 1995 im Europäischen Parlament anlässlich seiner Ernennung zum Präsidenten der Europäischen Kommission geführt wurden.
In diesem Interview erläutert Jacques Santer, ehemaliger Präsident der Europäischen Kommission die – vor allem politischen – Kriterien zur Auswahl der Mitglieder der Kommission und die Verteilung der Aufgabenbereiche im Jahr 1994.
In diesem Interview legt Jacques Santer, ehemaliger Präsident der Europäischen Kommission, die Schwierigkeiten bei der Auswahl der Mitglieder der Kommission und der Verteilung ihrer jeweiligen Aufgabenbereiche im Jahr 1994 dar.
Dans cette interview, Édith Cresson, ancien Commissaire européen, raconte sa nomination au poste de Commissaire européen à la Recherche, l'Éducation et la Jeunesse et critique le manque d'autorité de Jacques Santer ainsi que le comportement du Parlement européen.
Dans cette interview, Édith Cresson, Commissaire européen de 1994 à 1999, revient sur les relations entre les différents membres de la Commission européenne présidée par Jacques Santer.
Le 21 juin 1994, le quotidien britannique The Guardian commente la nature des débats qui accompagnent la candidature de Jean-Luc Dehaene, Premier ministre belge, à la présidence de la Commission européenne.
Le 26 octobre 1994, le journal suisse Le nouveau quotidien dresse le portrait de la nouvelle Commission européenne et celui de son président Jacques Santer.
En 1994, Jacques Santer, nouveau président de la Commission européenne, accorde à la revue française Politique internationale un entretien dans lequel il livre son opinion sur les grands dossiers européens.
Le 17 janvier 1995, Jacques Santer, président désigné de la Commission européenne, prononce devant le Parlement européen un discours à l'occasion de l'investiture de la nouvelle Commission.
Le 20 janvier 1995, Jacques Santer, nouveau président de la Commission européenne, accorde au quotidien belge Le Soir un entretien dans lequel il évoque les conditions de sa nomination et décrit les missions de la Commission.
Am 24. Januar 1995 zählt die französische Tageszeitung Le Monde die großen Fragen auf, die die neue Europäische Kommission unter dem Vorsitz des ehemaligen luxemburgischen Premierministers Jacques Santer behandeln muss.
Le 15 février 1995, Jacques Santer, président de la Commission européenne, prononce devant le Parlement européen un discours dans lequel il présente les grandes options du programme de travail de la Commission.
Am 10. Mai 1995 veröffentlicht die Europäische Kommission unter dem Vorsitz des ehemaligen luxemburgischen Premierministers Jacques Santer ihren Bericht über die Funktionsweise des Vertrags über die Europäische Union, um so ihren Beitrag zu den Vorbereitungen auf die Regierungskonferenz (RK) von 1996 zu leisten.