Dans son livre, Rallumer les étoiles, Élisabeth Guigou, ancienne ministre déléguée aux Affaires européennes, ancienne ministre de la Justice, évoque l'abandon par les chefs d'États et de gouvernements des États membres de l'Union européenne de la part économique de l'Union économique et monétaire.
Dans son livre Je vous parle d'Europe, Élisabeth Guigou, alors conseillère de François Mitterrand, évoque les résultats du Conseil européen de Luxembourg de décembre 1985 et détaille les acquis de l'Acte unique européen.
Dans Je vous parle d'Europe, Élisabeth Guigou, alors conseillère de François Mitterrand et secrétaire générale du SGCI, raconte les étapes qui ont mené au succès, dans le domaine de l'Union économique et monétaire, du conseil européen de Strasbourg.
Dans Je vous parle d'Europe, Élisabeth Guigou décrit le déroulement des deux conférences intergouvernementales préparatoires au traité sur l'Union européenne, auxquelles elle a participé comme ministre délégué aux Affaires européennes dans le gouvernement d'Édith Cresson.
Dans Je vous parle d'Europe, Élisabeth Guigou, alors ministre de la Justice de la République française, raconte comment, en tant que garde des Sceaux, elle a promu la coopération judiciaire entre les États membres de l'Union et l'émergence d'un espace judiciaire européen.
Dans cette interview, Élisabeth Guigou, ancienne conseillère technique de Jacques Delors au ministère de l'Économie et des Finances de 1981 à 1982 et ancienne conseillère technique à la Présidence de la République de 1982 à 1988, décrit le processus ayant mené à la décision prise par les autorités françaises de rester dans le Système monétaire européen (SME) en 1983.
Dans cette interview, Élisabeth Guigou, ancienne conseillère technique à la Présidence de la République de 1982 à 1988 et ancien Secrétaire général du comité interministériel pour les questions de coopération économique européenne (SGCI) de 1985 à 1990, explique le fonctionnement du SGCI et son rôle dans la définition de la politique européenne du gouvernement français.
La gestion des dossiers européens au cours de la cohabitation Mitterrand-Chirac
Dans cette interview, Élisabeth Guigou, ancienne conseillère technique à la Présidence de la République de 1982 à 1988 et ancien Secrétaire général du comité interministériel pour les questions de coopération économique européenne (SGCI) de 1985 à 1990, résume la manière dont furent gérés les principaux dossiers européens au cours de la cohabitation politique entre François Mitterrand, président de la République, et Jacques Chirac, Premier ministre, de 1986 à 1988.
Le 30 juin 1987, à l'issue du Conseil européen de Bruxelles, le Président de la République française, François Mitterrand, et son Premier ministre, Jacques Chirac, répondent aux questions des journalistes sur la question du financement de la Communauté.
Les travaux complémentaires suite à l'adoption du Rapport Delors
Dans cette interview, Élisabeth Guigou, ancien Secrétaire général du comité interministériel pour les questions de coopération économique européenne (SGCI) de 1985 à 1990 et ancienne chargée de mission auprès du président de la République François Mitterrand de 1988 à 1990, décrit les travaux complémentaires réalisés après la présentation, en 1989, du Rapport Delors sur la mise en place d'une Union économique et monétaire (UEM) et revient sur les divergences entre la France et l'Allemagne à ce sujet.
Dans cette interview, Élisabeth Guigou, ancienne ministre déléguée chargée des Affaires européennes de 1990 à 1993, décrit les principales discussions menées au cours des travaux des conférences intergouvernementales sur l'Union politique et sur l'Union économique et monétaire (UEM) lancées le 15 décembre 1990 à Rome et lors du Conseil européen à Maastricht des 9 et 10 décembre 1991, discussions ayant permis de dégager un accord sur le traité sur l'Union européenne.
Les 9 et 10 décembre 1991, les chefs d'État ou de gouvernement des Douze se réunissent en Conseil européen à Maastricht afin notamment de dégager un accord sur le traité sur l'Union européenne.
Le référendum en France sur le traité sur l'Union européenne
Dans cette interview, Élisabeth Guigou, ancienne ministre déléguée chargée des Affaires européennes de 1990 à 1993, décrit la campagne liée au référendum organisé en France sur l'adoption ou non du traité sur l'Union européenne en 1992.
Le 4 juin 1992, à la réunion des ministres des Affaires étrangères des Douze à Oslo, Roland Dumas, ministre français des Affaires étrangères et Elisabeth Guigou, ministre français délégué aux Affaires européennes, décrivent la situation de l'intégration européenne après le refus du Danemark de ratifier le traité de Maastricht.
Le 12 avril 1992, répondant aux questions des journalistes de radio et de télévision, le Président français François Mitterrand souligne les enjeux de la ratification des accords de Maastricht et précise la procédure constitutionnelle devant accompagner cette ratification en France.
En septembre 1992, le groupe socialiste du Conseil régional d'Ile-de-France mène campagne en faveur du "oui" pour le référendum organisé en France pour la ratification du traité sur l'Union européenne.
En septembre 1992, le caricaturiste allemand Walter Hanel illustre la courte victoire du "oui" (par 51,04 %) lors du référendum populaire organisé le même mois en France pour la ratification du traité de Maastricht. Agrippés au taureau, le couple franco-allemand Mitterrand-Kohl, ainsi que les autres partenaires européens arrivent de justesse à sauter par-dessus le fossé du «référendum».
Le 22 septembre 1992, deux jours après que la France se soit prononcée en faveur de la ratification du traité de Maastricht, le quotidien français Le Monde analyse la réaction de la classe politique nationale face aux résultats serrés du référendum populaire.
Les affaires européennes au ministère français de la Justice
Dans cette interview, Élisabeth Guigou, ancienne ministre de la Justice de 1997 à 2000, revient sur son action européenne à ce poste dans le domaine de la justice et des affaires intérieures (JAI).
Les 15 et 16 octobre 1999, le Conseil européen de Tampere (Finlande) adopte, en application du traité d'Amsterdam, une série de mesures détaillées pour la mise en place d'un véritable espace européen de liberté, de sécurité et de justice dans l'Union européenne.
Le 22 novembre 2000, désireuse de contribuer au renforcement de la coopération judiciaire en matière pénale dans l'Union européenne et de lutter contre la criminalité organisée, la Commission européenne adopte une communication dans laquelle elle commente les missions de l'unité Eurojust créée par les Quinze lors du Conseil européen de Tampere des 15 et 16 octobre 1999 sous la forme d'un service composé à Bruxelles de magistrats, de procureurs, de juges et d'autres experts judiciaires détachés de chacun des États de l'Union européenne.