Ce tableau reprend les dépenses totales de l’Union européenne en fonds structurels par État membre pour les périodes 1986-1993, 1994-1999 et 2000-2006.
Le 20 juin 1994, Joaquim Ferreira do Amaral (à dr.), ministre portugais des Travaux publics, des transports et des communications, visite en compagnie de Domingos Duarte Lima (à g.), député social-démocrate, le chantier du tronçon d'autoroute construit entre Penafiel et Amarante à l'aide de financements communautaires.
Projet du Ministère portugais des travaux publics, des transports et des communications, cofinancé par le Fonds européen de développement régional (FEDER), pour la construction, dans la région Nord du Portugal, du tronçon Cruz-Braga de l’autoroute reliant Porto à Valença.
Le 28 octobre 1997, suite à l'évaluation à mi-parcours de la mise en œuvre des fonds structurels alloués au Portugal pour la période 1994-1999, la Commission européenne souligne dans un communiqué de presse les bons résultats atteints, notamment en termes de création d'emplois.
Le 9 juin 1995, dans une déclaration à l’occasion du dixième anniversaire de la signature des traités d’adhésion de l’Espagne et du Portugal aux Communautés européennes, Jacques Santer, président de la Commission européenne, souligne l’importance des efforts réalisés par l’Union européenne pour soutenir le développement des régions les plus défavorisées de la péninsule ibérique.
C'est en partie grâce à des subventions communautaires que le pont Vasco de Gama, qui enjambe le Tage à Lisbonne et relie la capitale portugaise au sud du pays, a pu être construit et inauguré le 4 avril 1998.
De 1997 à 2000, la Communauté européenne, dans le cadre du Programme spécifique de développement intégré de la zone d'Alqueva, au sud-est du Portugal, cofinance la construction du plus grand barrage d’Europe sur le fleuve Guadiana. Ce programme spécifique, qui fait partie du programme opérationnel régional de l’Alentejo, fait intervenir les Fonds structurels et le Fonds de cohésion.
La construction de l'hôpital Pedro Hispano de Matosinhos, à la périphérie de Porto, au nord du Portugal, est cofinancée par le Fonds européen de développement régional (FEDER). L'hôpital est inauguré en 1999.
Le 29 juillet 1999, António Guterres, Premier ministre portugais, écoute quelques explications durant la traversée en train du Pont du 25 avril sur le Tage à l’occasion de l’inauguration de la liaison ferroviaire entre Almada et Lisbonne.
Discours de Michel Barnier, membre de la Commission européenne responsable de la politique régionale, à l'occasion de la signature du troisième Cadre communautaire d'appui (CCA) portugais pour la période 2000-2006.
Cette carte du Portugal présente les zones éligibles au titre de l'objectif n° 1 des Fonds structurels, visant le rattrapage des régions en retard de développement, pour la période 2000-2006. Les régions les plus défavorisées sont éligibles en raison de leur produit intérieur brut (PIB) par habitant inférieur à 75% de la moyenne communautaire. Les régions en transition ne sont plus éligibles à l'objectif n° 1 depuis 2000 mais bénéficient d'un régime d'aide transitoire.
Cette fiche d’information donne un aperçu général des programmes mis en œuvre au Portugal, au titre des objectifs des Fonds structurels européens, pour la période 2000-2006.
Ces fiches d’information donnent un aperçu des actions mises en œuvre dans les différentes régions du Portugal (Nord, Algarve, Centre, Lisbonne et Vallée du Tage, Alentejo, Açores, et Madère), au titre des objectifs des Fonds structurels européens, pour la période 2000-2006.
En décembre 2005, le mensuel Inforegio panorama publie un reportage sur la région de l'Algarve, au sud du Portugal. Cette région bénéficie d'un fort développement grâce notamment au financement par l'Union européenne des infrastructures de transport.
Le 17 octobre 2007, la Commission européenne présente dix nouveaux programmes opérationnels pour le Portugal. Ces programmes, qui couvrent la période 2007-2013, sont destinés à orienter une nouvelle politique de cohésion axée sur les ressources humaines, l’innovation et la technologie, le développement de l’entreprise et la cohésion territoriale.
Cette carte du Portugal présente les régions des objectifs "convergence" et "compétitivité régionale et emploi" des fonds et instruments structurels pour la période 2007-2013. Sont éligibles à l'objectif "convergence" les régions dont le produit intérieur brut (PIB) par habitant est inférieur à 75% de la moyenne communautaire. Les régions disposant d'un PIB à peine supérieur au seuil, en raison de l'effet statistique de l'Union européenne élargie, bénéficient d'un régime transitoire dégressif ("phasing out"). Les anciennes régions de l'"objectif 1" bénéficient de la mise en œuvre progressive d'un soutien financier ("phasing in") au titre de l'objectif "compétitivité régionale et emploi".
Dans cette interview, António Vitorino, membre de la Commission européenne chargé de la justice et des affaires intérieures de 1999 à 2004 et conseiller spécial en 2007 de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, évalue les résultats de l’application des fonds communautaires au Portugal.
Dans cette interview, José da Silva Lopes, ancien ministre portugais des Finances et du Commerce extérieur, analyse l'application des fonds communautaires au Portugal et évalue les conséquences négatives que l'élargissement de l'Union européenne aux pays de l'Est a sur le pays depuis 2004.
La deuxième présidence portugaise (1er janvier-30 juin 2000)
Le 24 décembre 1999, le quotidien luxembourgeois Tageblatt rend compte des principaux dossiers inscrits à l'agenda de la présidence portugaise du Conseil de l'Union européenne pour le premier semestre 2000: stratégie européenne pour la croissance et l'emploi, coopération avec des pays tiers et conférence intergouvernementale pour la réforme des traités.
Le 10 janvier 2000, le quotidien belge Le Soir commente l’agenda de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne pour le premier semestre 2000 et présente le Premier ministre portugais António Guterres en Européen convaincu et déterminé.
La deuxième présidence portugaise (1er janvier-30 juin 2000)
Le 10 janvier 2000, au début de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, le quotidien français Libération examine d’un œil critique l’ordre du jour peu ambitieux de la conférence intergouvernementale (CIG) qui s’ouvre le 14 février à Bruxelles et qui devrait se clore lors du Conseil européen de Nice, en décembre 2000, sous présidence française.
Le 11 janvier 2000, le supplément Économie du quotidien français Le Figaro passe en revue les dossiers prioritaires de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne pour le premier semestre de l’année.
Le 20 mars 2000, Romano Prodi, président de la Commission européenne, félicite la présidence portugaise du Conseil de l'Union européenne d'avoir pris l'initiative d'organiser un Conseil européen spécial à Lisbonne sur le thème "Emploi, réformes économiques et cohésion sociale - vers une Europe fondée sur l'innovation et la connaissance".
Les 23 et 24 mars 2000, les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze réunis en Conseil européen à Lisbonne, définissent un nouvel objectif stratégique pour l'Union européenne dans le but notamment de renforcer l'emploi, la réforme économique et la cohésion sociale dans le cadre d'une économie fondée sur la connaissance.
Le 23 mars 2000, António Guterres, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, entouré (à sa g.) de Romano Prodi, président de la Commission européenne, (à sa dr.) de Jaime Gama, ministre portugais des Affaires étrangères, et de Javier Solana, secrétaire général du Conseil de l'Union européenne et Haut représentant de l'UE pour la Politique étrangère et de sécurité commune (PESC), annonce les enjeux des travaux consacrés à la définition pour l'Union européenne d'un nouvel objectif stratégique dans le but de renforcer l'emploi, la réforme économique et la cohésion sociale dans le cadre d'une économie fondée sur la connaissance.
Le 23 mars 2000, Nicole Fontaine, présidente du Parlement européen, félicite le Conseil européen d'avoir pris l'initiative de définir pour l'Union européenne un nouvel objectif stratégique dans le but de renforcer l'emploi, la réforme économique et la cohésion sociale dans le cadre d'une économie fondée sur la connaissance.
Les 23 et 24 mars 2000, le Conseil européen tient une réunion extraordinaire à Lisbonne afin de définir pour l'Union un nouvel objectif stratégique dans le but de renforcer l'emploi, la réforme économique et la cohésion sociale dans le cadre d'une économie fondée sur la connaissance.
Le 18 juin 2000, António Guterres, Premier ministre portugais (à dr.), salue son homologue espagnol José María Aznar à son arrivée au Conseil européen de Santa Maria da Feira.
Les 19 et 20 juin 2000, les chefs d'État ou de gouvernement des quinze États membres de l'Union européenne se réunissent à Santa Maria da Feira (Aveiro) pour examiner notamment les progrès réalisés en ce qui concerne la Conférence intergouvernementale (CIG) sur la réforme institutionnelle, la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, la Politique européenne commune de sécurité et de défense et les négociations pour l'élargissement de l'Union européenne.
Conclusions de la présidence du Conseil européen de Santa Maria da Feira des 19 et 20 juin 2000, portant notamment sur le futur élargissement de l'Union, la politique européenne commune de sécurité et de défense, l'emploi, les réformes économiques et la cohésion sociale.
Le 13 juillet 2000, Anna Diamantopoulou, membre de la Commission européenne chargée de l’Emploi et des Affaires sociales, prononce un discours à l’occasion de la signature à Lisbonne de deux programmes opérationnels pour le Portugal, l’un portant sur l’emploi, la formation et le développement social, l’autre sur l’éducation. Pour la commissaire, ces deux programmes répondent à la stratégie définie par le Conseil européen de Lisbonne au mois de mars.
Dans cette interview, António Vitorino, membre de la Commission européenne chargé de la justice et des affaires intérieures de 1999 à 2004 et conseiller spécial en 2007 de la présidence portugaise du Conseil de l'Union européenne, analyse l'adéquation entre les méthodes et les objectifs de la stratégie de Lisbonne et évalue les résultats de son application dans les États membres.
Dans cette interview, José da Silva Lopes, ancien ministre portugais des Finances et du Commerce extérieur, analyse le manque de moyens fournis par l'Union européenne dans l'application de la stratégie de Lisbonne.
Le 31 décembre 1998, le Conseil, statuant à l'unanimité des États membres ne faisant pas l'objet d'une dérogation, sur proposition de la Commission et après consultation de la Banque centrale européenne, adopte les taux de conversion irrévocables pour l'euro, applicables à compter du 1er janvier 1999. Sur la photo, debout, premier à gauche, António Sousa Franco, ministre portugais des Finances.
Par résolution n° 170/2000 du 16 novembre 2000, le Conseil des ministres portugais adopte les orientations nationales pour l'introduction physique de l'euro.
Le décret-loi portugais n° 117/2001 du 8 mars 2001 définit la période de double circulation des billets et des pièces en escudos et en euros, fixe la date de la fin du cours légal des escudos ainsi que le délai pour l'échange de la monnaie nationale.
Le 1er janvier 2002, premier jour de mise en circulation de la monnaie unique, les Portugais font la file devant le siège de la Banque du Portugal à Lisbonne pour échanger leurs escudos contre des euros.
"- Le Portugal a été le seul pays à demander de l'aide à l'Église...pour la communication sur l'euro. - Hum... cela veut dire que les autres pays auront une relation matérielle avec la monnaie alors que la nôtre sera plus spirituelle?..." Illustrant la campagne de promotion qui accompagne le lancement de la monnaie unique, le caricaturiste portugais Luís Afonso ironise sur la situation économique et financière du Portugal.
En mars 1998, la Banque du Portugal publie un rapport de convergence en vue du passage, au 1er janvier 1999, à la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM). Il ressort du rapport que, parmi les quatre critères de convergence, seul le critère concernant le déficit public n'est pas encore respecté.
Dans cette interview, José da Silva Lopes, ancien ministre portugais des Finances et du Commerce extérieur, analyse les difficultés rencontrées par le Portugal lors de l'adoption de l'euro et compare l'ancien système monétaire de l'escudo avec celui de la nouvelle monnaie européenne.
Tableau montrant les 10 plus hauts et les 10 plus bas PIB régionaux par habitant, exprimés en standard de pouvoir d’achat (SPA), dans les 15 États membres de l’Union européenne et dans les 12 États candidats en 2000.
Tableau montrant les 15 plus hauts et les 15 plus bas PIB régionaux par habitant, exprimés en standard de pouvoir d'achat (SPA), dans les 27 États membres de l'Union européenne en 2004.
Publié par Eurostat en 2006, ce tableau comprend les chiffres relatifs au solde public et à la dette publique, en 1995, 2000 et 2004, dans les 25 États membres de l'Union européenne, la zone euro, les pays candidats (Bulgarie, Croatie, ancienne République yougoslave de Macédoine, Roumanie, Turquie), en Suisse, Norvège et Islande, ainsi qu'aux États-Unis et au Japon.
À la veille de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne et des élections législatives, le quotidien français Le Monde du 6 octobre 1999 dresse un tableau contrasté de la situation économique et budgétaire du Portugal.
Le quotidien français Le Monde du 14 mai 2002 préfigure les mesures d’austérité du nouveau gouvernement portugais pour respecter les dispositions du traité et du pacte de stabilité et de croissance en matière de déficit public.
Le quotidien français Le Monde du 14 mai 2002 critique la gestion faite par le Portugal des aides accordées par l’Union européenne afin de rattraper son retard économique.
Le 27 juillet 2002, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung se fait l'écho de l'intention de la Commission européenne de lancer la procédure concernant les déficits excessifs à l'égard du Portugal.
Paru le 8 octobre 2002 dans le quotidien français Le Monde, l’article analyse les défis du gouvernement portugais pour redresser l’économie du pays et rattraper la moyenne européenne.
Le 16 octobre 2002, dans un avis au Conseil, la Commission européenne conclut à l'existence d'un déficit excessif au Portugal et recommande au Conseil d'arrêter une décision en ce sens. Pedro Solbes, membre de la Commission européenne chargé des Affaires économiques et monétaires, explique, lors d’une conférence de presse, les objectifs de la procédure et l’importance des efforts à entreprendre pour résoudre les problèmes.
Conformément aux dispositions du traité et du pacte de stabilité et de croissance, le Conseil de l'Union européenne constate, le 5 novembre 2002, l'existence d'un déficit excessif au Portugal.
Invité à participer à une conférence sur les stratégies pour relancer l’économie portugaise, qui se tient le 28 mars 2003 à Santa Maria da Feira, Pedro Solbes, membre de la Commission européenne chargé des Affaires économiques et monétaires, prononce un discours sur les défis auxquels les autorités portugaises doivent faire face: en particulier, stabilité macroéconomique et réformes structurelles.
Le 6 avril 2004, à l’heure où le Portugal se prépare à accueillir le championnat d’Europe de football, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung décrit la situation politique, économique et sociale du pays.
Le 24 octobre 2005, le quotidien économique allemand Handelsblatt s'interroge sur les raisons d'une récession économique persistante au Portugal, alors que le pays avait été considéré comme "élève modèle" de l'Union européenne.
Le 24 janvier 2006, suite à l'élection d'Aníbal Cavaco Silva comme président de la République portugaise, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung analyse la situation politique et économique d'un pays qui, se sentant à la fois victime de la mondialisation économique et de l'élargissement de l'Union européenne à l'Est, a besoin d'une forte dose d'optimisme.
Paru dans le quotidien luxembourgeois Luxemburger Wort le 15 mai 2006, soit 20 ans après l'adhésion du Portugal aux Communautés européennes, l'article dresse un portrait sombre d'un pays plongé dans la crise économique qui a du mal à rattraper ses partenaires de l'Union européenne.
Le 21 juin 2006, la Commission européenne adresse une communication au Conseil dans laquelle elle évalue les mesures adoptées par le Portugal depuis la mi-2005 pour réduire son déficit excessif. Publié le même jour, ce communiqué de presse résume le contenu de la communication.
Le 24 janvier 2006, le quotidien luxembourgeois Tageblatt présente la tâche du nouveau président de la République portugaise, Aníbal Cavaco Silva, de redonner un élan à l'économie du pays comme étant aussi difficile qu'attendue.
Le 6 octobre 2006, dans le Centre culturel de Belém à Lisbonne, se tient le premier séminaire de haut niveau des coordinateurs nationaux chargés dans les États membres de la mise en œuvre de la Stratégie de Lisbonne pour la croissance et l'emploi. De g. à dr.: Mauri Pekkarinen, ministre finlandais du Commerce et de l'Industrie, José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, José Sócrates, Premier ministre portugais, et Carlos Zorrinho, coordinateur portugais de la Stratégie de Lisbonne.
Dans cette interview, José da Silva Lopes, ancien ministre portugais des Finances et du Commerce extérieur, analyse l'application des critères de convergence imposés par le traité de Maastricht au Portugal, ainsi que l'influence des taux fixés par la Banque centrale européenne sur l'économie du pays.
Le 29 juin 2004, José Manuel Durão Barroso, Premier ministre du Portugal, communique aux Portugais son intention d'accepter l'invitation à devenir président de la Commission européenne, qui lui sera adressée le soir par les chefs d'État ou de gouvernement, réunis à Bruxelles au sein du Conseil de l'Union européenne.
Décision du Conseil réuni au niveau des chefs d'État ou de gouvernement du 29 juin 2004 désignant la personnalité qu'il envisage de nommer président de la Commission.
Dans son discours du 21 juillet 2004, tenu à Strasbourg en session plénière, José Manuel Barroso demande au Parlement européen l'approbation de sa candidature au poste de président de la Commission européenne.
Vue d'ensemble du Parlement européen, réuni en séance plénière le 18 novembre 2004 à l'occasion du vote d'approbation de la Commission européenne présidée par José Manuel Barroso.
Dans cette interview, António Vitorino, membre de la Commission européenne chargé de la justice et des affaires intérieures de 1999 à 2004 et conseiller spécial en 2007 de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, présente les défis de l’agenda interne et externe de la présidence pendant le second semestre de 2007.
Dans cette interview, António Vitorino, membre de la Commission européenne chargé de la justice et des affaires intérieures de 1999 à 2004 et conseiller spécial en 2007 de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, explique les avantages de la nouvelle programmation des activités du Conseil, basé sur un programme de 18 mois préparé pour la première fois par le trio des présidences allemande, portugaise et slovène.
Dans cette interview, António Vitorino, membre de la Commission européenne chargé de la justice et des affaires intérieures de 1999 à 2004 et conseiller spécial en 2007 de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, explique comment un pays de petite ou de moyenne dimension comme le Portugal se prépare à l’exercice d’une présidence semestrielle et souligne les bénéfices de l’expérience acquise et des contacts établis pendant cette période.
Dans cette interview, António Vitorino, membre de la Commission européenne chargé de la justice et des affaires intérieures de 1999 à 2004 et conseiller spécial en 2007 de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, commente l’importance de la collaboration, voire de la complicité, dans les relations entre la présidence portugaise du Conseil et le président de la Commission européenne, José Manuel Durão Barroso.
Dans cette interview, José Medeiros Ferreira, ancien ministre portugais des Affaires étrangères, donne son avis sur l'importance relative des présidences portugaises du Conseil de l'Union européenne. Il explique que le traité de Lisbonne prévoit la création d'un président du Conseil européen, élu pour deux ans et demi, ce qui met fin aux présidences tournantes.
La troisième présidence portugaise (1er juillet-31 décembre 2007)
Dans cette interview, José da Silva Lopes, ancien ministre portugais des Finances et du Commerce extérieur, dresse un bilan positif de l'exercice des présidences portugaises du Conseil de l'Union européenne.
Le 27 juin 2007, à l'Assemblée de la République portugaise, le Premier ministre José Sócrates présente le programme de la présidence du Conseil de l'Union européenne pour le second semestre de l'année 2007. Dans son discours, il insiste sur les trois axes fondamentaux du programme: la réforme des traités, la modernisation des économies et des sociétés européennes et le renforcement du rôle de l'Europe dans le monde.
Le 27 juin 2007, à l'Assemblée de la République portugaise, le Premier ministre José Sócrates présente le programme de la présidence du Conseil de l'Union européenne pour le second semestre de l'année 2007. Dans son discours, il insiste sur les trois axes fondamentaux du programme: la réforme des traités, la modernisation des économies et des sociétés européennes et le renforcement du rôle de l'Europe dans le monde.
Le 28 juin 2007 à Bruxelles, Manuel Lobo Antunes, secrétaire d'État aux Affaires européennes du Portugal, présente devant la presse étrangère les priorités de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne pour le second semestre 2007.
Le 28 juin 2007, dans le bâtiment Justus Lipsius du Conseil de l'Union européenne à Bruxelles, Manuel Lobo Antunes, secrétaire d'État aux Affaires européennes du Portugal, présente les priorités de la présidence portugaise pour le second semestre de l'année. De g. à dr.: Francisco Alegre Duarte, attaché de presse du Secrétaire d'État, Manuel Lobo Antunes, Manuel Carvalho, Porte-parole de la Représentation permanente du Portugal, et Maria Rui, Porte-parole adjoint.
Le 1er juillet 2007, Luís Amado, ministre portugais des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, accorde une interview exclusive à la chaîne de télévision portugaise SIC. Dans cette première partie, il répond aux questions de la journaliste sur les priorités de la présidence portugaise concernant le traité de réforme de l'Union européenne.
Le 1er juillet 2007, Luís Amado, ministre portugais des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, accorde une interview exclusive à la chaîne de télévision portugaise SIC. Dans cette deuxième partie, il répond aux questions de la journaliste sur les objectifs de la présidence portugaise en matière de relations extérieures.
Photo de famille des membres du gouvernement portugais et des membres de la Commission européenne, à l’occasion de la réunion inaugurale de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, tenue à Porto le 2 juillet 2007.
Conférence de presse de José Manuel Barroso, président de la Commission européenne (à g.), et José Sócrates, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, à l'occasion de la réunion inaugurale de la présidence portugaise du Conseil, tenue à Porto le 2 juillet 2007 avec les membres de la Commission européenne et du gouvernement portugais.
José Sócrates, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, présente les priorités de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne pour le deuxième semestre 2007: traité de réforme, relations extérieures, politique d’immigration, politique énergétique, dimension sociale de l’Agenda de Lisbonne et politique maritime. La présentation a lieu le 2 juillet 2007 à l'occasion de la cérémonie d’inauguration de la présidence, réunissant à Porto les membres du gouvernement portugais et les membres de la Commission européenne.
Le 2 juillet 2007 à Porto, lors de la cérémonie d'inauguration de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, José Manuel Durão Barroso, président de la Commission européenne, exprime sa satisfaction concernant la convergence des points de vue de la Commission avec les priorités de la présidence pour le deuxième semestre 2007.
Le 4 juillet 2007, à l'initiative de la présidence portugaise du Conseil de l'Union européenne, a lieu à Lisbonne le premier sommet Union européenne/Brésil. Sur la photo, de g. à dr.: José Manuel Durão Barroso, président de la Commission européenne, Luiz Inácio Lula da Silva, président du Brésil et José Sócrates, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen.
Le 4 juillet 2007, à l'initiative de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, a lieu à Lisbonne le premier sommet Union européenne/Brésil. Sur la photo, de g. à dr.: Luiz Inácio Lula da Silva, président du Brésil, José Sócrates, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, et José Manuel Durão Barroso, président de la Commission européenne.
Le 4 juillet 2007, à l'initiative de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, a lieu à Lisbonne le premier sommet Union européenne/Brésil. De g. à dr., sur la photo de famille prise lors du dîner officiel à Belém: José Sócrates, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, Luiz Inácio Lula da Silva, président du Brésil, Aníbal António Cavaco Silva, président portugais, Nicolas Sarkozy, président français, et José Manuel Durão Barroso, président de la Commission européenne. Au second rang, de g. à dr.: Luis Filipe Marques Amado, ministre des Affaires étrangères du Portugal, Celso Luiz Amorim, ministre des Affaires étrangères du Brésil, Romano Prodi, Premier ministre italien, José Luis Rodríguez Zapatero, Président du gouvernement espagnol, Jan Peter Balkenende, Premier ministre néerlandais, Janez Janša, Premier ministre slovène, Robert Fico, Premier ministre slovaque, et Peter Mandelson, membre de la Commission européenne chargé du Commerce.
Le 4 juillet 2007 à Lisbonne, José Sócrates, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, se félicite du lancement d’un partenariat stratégique avec le Brésil à l’occasion du premier sommet organisé par l’Union européenne avec ce pays à l’initiative de la présidence portugaise du Conseil.
Le 4 juillet 2007 à Lisbonne, Luiz Inácio Lula da Silva, président du Brésil, exprime sa satisfaction pour la conclusion d’un partenariat stratégique avec l’Union européenne qui doit permettre le rapprochement des positions de négociation entre le Brésil et l’Union européenne dans le cadre des Nations Unies et de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
Le 4 juillet 2007 à Lisbonne, José Manuel Durão Barroso, président de la Commission européenne, se félicite de la responsabilité que l’Union européenne et le Brésil assument ensemble pour faire avancer notamment deux questions globales: les négociations multilatérales sur le commerce et les changements climatiques.
Paru le 6 juillet 2007 dans le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung, pendant la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, l’article commente les avantages du poids du Portugal comme ancienne puissance coloniale en Afrique et en Amérique du Sud pour développer les relations extérieures de l’Union européenne, notamment avec un géant émergent comme le Brésil.
Le 11 juillet 2007 à Strasbourg, José Sócrates, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, présente devant le Parlement européen les priorités de la présidence portugaise du Conseil de l'Union européenne pour le deuxième semestre 2007.
Luís Amado, ministre portugais des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l’Union européenne (à dr.), et Álvaro Mendonça e Moura, Représentant permanent du Portugal auprès de l’Union européenne, lors d’une réunion du Conseil Affaires générales et relations extérieures, le 23 juillet 2007 à Bruxelles.
Conférence de presse de Manuel Lobo Antunes, secrétaire d'État aux Affaires européennes du Portugal, Luís Amado, ministre portugais des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, et José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, à l'occasion de l'ouverture de la Conférence intergouvernementale (CIG) chargée de rédiger un "traité modificatif" des traités en vigueur, le 23 juillet 2007 à Bruxelles.
Le 23 juillet 2007 à Bruxelles, lors de la session d’ouverture de la Conférence intergouvernementale pour la réforme des traités, Luís Amado, ministre portugais des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, prononce quelques mots sur le mandat, le calendrier et l’organisation des travaux de la Conférence.
Dans un discours prononcé le 4 septembre 2007 devant le Parlement européen, Aníbal Cavaco Silva, président de la République du Portugal, insiste sur l’importance accordée par la présidence portugaise du Conseil à la cohésion économique et sociale comme pilier fondamental de l’intégration européenne.
La troisième présidence portugaise (1er juillet-31 décembre 2007)
Le 18 octobre 2007, la Conférence intergouvernementale, réunie au niveau des chefs d’État ou de gouvernement lors du sommet informel de Lisbonne, approuve le texte final du traité modifiant le traité sur l'Union européenne et le traité instituant la Communauté européenne.
Le 19 octobre 2007, le quotidien espagnol El País commente l'obtention par les Vingt-sept, sur fond de protestations syndicales à Lisbonne, d'un accord sur le nouveau traité modificatif et se fait l'écho de la satisfaction exprimée par le Premier ministre portugais, José Sócrates, et le président de la Commission européenne, José Manuel Durão Barroso.
Réunis à Lisbonne les 18 et 19 octobre 2007, les chefs d'État ou de gouvernement de l’Union européenne se mettent d’accord sur le nouveau traité modificatif. Dans son édition du 20 octobre, le quotidien français Le Figaro décrit l’enthousiasme des dirigeants européens ainsi que les compromis atteints.
Le 20 octobre 2007, le quotidien Luxemburger Wort commente l'accord sur le traité modificatif obtenu la veille à Lisbonne par la Conférence intergouvernementale des représentants des Vingt-sept. L'article reprend en particulier les commentaires enthousiastes de José Sócrates, Premier ministre portugais, et José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, qui qualifient la journée d'historique pour l'Europe et pour le Portugal.
Le 20 octobre 2007, au lendemain de l’obtention à Lisbonne d’un accord sur le nouveau traité modificatif de l’Union européenne, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung consacre un article au sujet de la stratégie de Lisbonne pour la croissance et l’emploi, auquel les dirigeants européens veulent donner un nouvel élan.
Le 23 octobre 2007 à Strasbourg, José Sócrates, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, présente au Parlement européen l'accord, obtenu lors de la Conférence intergouvernementale, sur le traité modificatif qui doit être signé le 13 décembre à Lisbonne.
Dans cette interview, António Vitorino, membre de la Commission européenne chargé de la justice et des affaires intérieures de 1999 à 2004 et conseiller spécial en 2007 de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne pour la CIG, décrit les principales différences entre le traité constitutionnel de 2004 et le traité modificatif de Lisbonne.
Dans cette interview, António Vitorino, membre de la Commission européenne chargé de la justice et des affaires intérieures de 1999 à 2004 et conseiller spécial en 2007 de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne pour la CIG, décrit les avancées apportées par le traité de Lisbonne dans le domaine de l’espace de sécurité, de liberté et de justice.
La déclaration de Lisbonne, adoptée lors du Sommet réunissant l'Afrique et l’Union européenne les 8 et 9 décembre 2007, souligne l’importance du nouveau partenariat stratégique conclu entre les deux partenaires.
José Sócrates (à g.), Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, et José Eduardo dos Santos, Président de l'Angola, lors du deuxième sommet entre l'Union européenne et l'Afrique, tenu les 8 et 9 décembre 2007 dans le Palácio da Ajuda à Lisbonne.
Photo de famille des chefs d’État ou de gouvernement, prise lors du deuxième sommet entre l'Union européenne et l'Afrique, qui se tient les 8 et 9 décembre 2007 dans le Palácio da Ajuda à Lisbonne.
Le 13 décembre 2007, José Sócrates (à g.), Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, et Luís Amado, ministre des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l’Union européenne, signent pour le Portugal le traité de Lisbonne modifiant le traité sur l'Union européenne et le traité instituant la Communauté européenne.
Le 13 décembre 2007, José Sócrates (à g.), Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, et Luís Amado, ministre des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l’Union européenne, se félicitent de la signature du traité de Lisbonne modifiant le traité sur l'Union européenne et le traité instituant la Communauté européenne.
Déjeuner offert par le président de la République du Portugal, Aníbal Cavaco Silva, aux chefs d’État ou de gouvernement et aux ministres des Affaires étrangères dans le Musée des carrosses à Belém, à l’occasion de la signature du traité de Lisbonne le 13 décembre 2007.
Photo de famille prise à l’occasion de la cérémonie de signature du traité de Lisbonne, qui se tient le 13 décembre 2007 dans le monastère des Hiéronymites de la capitale portugaise.
Le 14 décembre 2007, le Conseil européen se réunit à Bruxelles où il aborde les grandes questions à l’ordre du jour, en particulier les enjeux à long terme, la mondialisation et l’avenir des Balkans occidentaux. Ce Conseil européen a également été l’occasion de revenir sur les principales réalisations de la présidence portugaise et tout particulièrement la signature du traité de Lisbonne.
Le 18 décembre 2007, devant le Parlement européen à Bruxelles, José Sócrates, Premier ministre portugais et président en exercice du Conseil européen, dresse le bilan de la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne.
Le 18 décembre 2007, devant le Parlement européen à Bruxelles, José Manuel Durão Barroso, président de la Commission européenne, salue le travail accompli par la présidence portugaise du Conseil de l’Union européenne, notamment sur le traité de Lisbonne.