En 1946, Gerard Marinus Nederhorst, membre du Parti travailliste néerlandais (SDAP), rédige une note qui détaille les étapes successives pour parvenir à la création des États-Unis d'Europe.
Le 11 octobre 1946, commentant le discours pro-européen de Winston Churchill, ancien Premier ministre britannique, à l'Université de Zurich, le périodique bruxellois Le Phare Dimanche fait valoir le rôle essentiel de la gauche européenne dans la future mise en place des États-Unis d'Europe.
Lors de la deuxième conférence internationale pour les États-Unis socialistes d'Europe qui a lieu à Montrouge (Paris) les 21 et 22 juin 1947, Marceau Pivert, membre du comité directeur de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), expose les postulats de base du comité international d'étude et d'action pour les États-Unis socialistes d'Europe qu'il préside.
Lors de la deuxième conférence internationale pour les États-Unis socialistes d'Europe qui a lieu à Montrouge (Paris) les 21 et 22 juin 1947, des responsables de partis socialistes, des syndicalistes, des pacifistes, des co-opératistes, des anciens déportés et des intellectuels de quatorze pays européens échangent leurs idées sur la mise en place d'une Europe socialiste unifiée.
Lors de la deuxième conférence internationale pour les États-Unis socialistes d'Europe qui a lieu à Montrouge (Paris) les 21 et 22 juin 1947, des responsables de partis socialistes, des syndicalistes, des pacifistes, des co-opératistes, des anciens déportés et des intellectuels de quatorze pays européens adoptent une résolution qui définit les buts et les enjeux d'une Europe socialiste unifiée.
En août 1947, le Dr. Jacques Robin, membre du comité exécutif international du Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE), dresse le bilan de la deuxième conférence internationale pour les États-Unis socialistes d'Europe qui a lieu à Montrouge (Paris) les 21 et 22 juin 1947.
Le 17 juillet 1948, le leader socialiste Michel Rasquin, président du Mouvement pour les États-Unis socialistes d'Europe (MSEUE) et futur ministre luxembourgeois des Affaires économiques et de la Reconstruction, accorde au quotidien socialiste luxembourgeois Tageblatt un entretien dans lequel il détaille la vision de la gauche européenne sur l'avenir de la construction européenne.
Le 17 juillet 1948, le leader socialiste Michel Rasquin, président du Mouvement pour les États-Unis socialistes d'Europe (MSEUE) et futur ministre luxembourgeois des Affaires économiques et de la Reconstruction, décrit dans les colonnes du quotidien socialiste luxembourgeois Tageblatt les enjeux, notamment internationaux, du congrès du Parti ouvrier socialiste luxembourgeois (LSAP) qui doit s'ouvrir à Luxembourg.
En décembre 1948, le Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE) appelle tous les socialistes du continent à s'unir autour d'un programme d'action socialiste européenne pour trouver une solution collective aux problèmes touchant l'Europe.
En décembre 1948, répondant au questionnaire du mensuel belge Les cahiers socialistes Marceau Pivert, membre du comité directeur de la SFIO (Section française de l'Internationale ouvrière), donne son interprétation de l'intégration européenne.
A l'occasion du congrès organisé en octobre 1949 à Issy-les-Moulineaux (Paris) par le Mouvement socialiste français pour les États-Unis d'Europe, le quotidien français Le Monde s'interroge sur la mission et sur la configuration de la future Europe unie.
Lors du troisième congrès annuel du Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE) qui a lieu à Paris les 5, 6 et 7 novembre 1949, les Français Francis-Louis Closon, directeur de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), et Sébastien Constant présentent un rapport sur les problèmes liés à la planification des industries de base en Europe.
Lors du troisième congrès annuel du Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE) qui a lieu à Paris les 5, 6 et 7 novembre 1949, les participants adoptent une série de résolutions sur la construction européenne.
En 1950, le Français André Philip, membre de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, chef de la délégation française à la Commission économique européenne de l'Organisation des Nations unies et président du Mouvement pour les États-Unis socialistes d'Europe (MSEUE), critique les conceptions du Parti travailliste britannique sur l'unité européenne.
Chef de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) et éditorialiste influent du journal Le Populaire, Léon Blum y expose ses réflexions sur la doctrine socialiste et y défend l'idéal de l'unité européenne.
Le 16 février 1951, Guy Mollet, secrétaire général du Parti socialiste SFIO et ministre d'État chargé du Conseil de l'Europe, prononce une conférence à Paris sur la façon dont les socialistes conçoivent l'union européenne et la création des États-Unis d'Europe.
En septembre 1951, Enrico Gironella, secrétaire général du Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE), publie un tract dans lequel il dessine le rôle des forces socialistes dans l'unification de l'Europe.
Le 16 octobre 1953, cinq jours après la réunion du Comité international du Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE) à La Haye, le Parti socialiste néerlandais Partij van de Arbeid établit un bref rapport sur le congrès du MSEUE.
Le 11 octobre 1953, lors de son congrès à La Haye, le Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE) lance un appel à l'unification européenne.
Le 11 octobre 1953, lors de son congrès à La Haye, le Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE) adopte quatre résolutions sur les enjeux de l'intégration européenne.