Adressée à René Pleven, président du Conseil et ancien ministre de la Défense, cette note anonyme examine les conditions d'acceptation par la France du réarmement allemand dans un cadre européen.
Le 24 octobre 1950, René Pleven, président du Conseil des ministres français et ancien ministre de la Défense nationale, expose devant l'Assemblée nationale française la création d'une armée européenne pour éviter le réarmement allemand demandé par les États-Unis.
"L'armée atlantique-Le meilleur cheval de l'écurie". Le 28 octobre 1950, le caricaturiste néerlandais Opland ironise sur le plan présenté par René Pleven, président du Conseil des ministres français et ancien ministre de la Défense nationale, concernant la création d'une armée européenne.
Le 30 octobre 1950, Albert Wehrer, ministre du Luxembourg à Bonn adresse un rapport à Joseph Bech, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, dans lequel il rend compte d'une discussion qu'il a eue avec Jean Monnet sur la question du réarmement allemand et du Plan Pleven.
Le 2 novembre 1950, l'hebdomadaire allemand Die Zeit fait part de son scepticisme quant aux principales dispositions du plan de René Pleven, président du Conseil des ministres français et ancien ministre de la Défense nationale, qui détaille les conditions d'un réarmement militaire allemand dans un cadre européen.
Le 8 novembre 1950, à l'occasion d'une déclaration gouvernementale sur le Plan Pleven, Heinrich von Brentano, président du groupe parlementaire du Parti chrétien-démocrate (CDU), prononce un discours sur la contribution allemande à la défense de l'Europe.