Le 3 mai 2000, dans le cadre de la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM), la Commission européenne rend public un rapport dans lequel elle fait état des efforts de convergence économique de la Grèce et de la Suède qui ne font pas partie des onze États de l'Union européenne qui ont adopté la monnaie unique européenne en date du 1er janvier 1999.
Le 28 octobre 1997, le quotidien travailliste britannique The Guardian décrit la stratégie de Gordon Brown, chancelier de l'Échiquier, à l'égard de la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM) et l'éventuelle adoption de l'euro par le Royaume-Uni.
Le 23 février 1999, Tony Blair, Premier ministre britannique, précise à Londres la position du Royaume-Uni face à l'éventuelle adoption de la monnaie unique européenne.
Le 12 septembre 2000, Eddie George, gouverneur de la Banque d'Angleterre, analyse les avantages et les inconvénients de la participation éventuelle du Royaume-Uni à l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 13 juin 2003, l'hebdomadaire français Le Point explique les raisons qui conduisent le Royaume-Uni à repousser à plus tard son éventuelle adhésion à la zone euro sur fond de désaccord entre Tony Blair, Premier ministre, et Gordon Brown, son chancelier à l'Échiquier.
Le 27 octobre 1997, Gordon Brown, chancelier de l'Échiquier, détaille la position du gouvernement britannique à l'égard de la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM) et de l'éventuelle adoption de l'euro par le Royaume-Uni.
Le 18 janvier 2000, Bodil Nyboe Andersen, gouverneur de la Banque nationale du Danemark, dresse un premier bilan sur l'introduction de l'euro dans dix États membres de l'Union européenne et plaide en faveur de l'adoption de la monnaie unique par le Danemark.
Le 30 septembre 2000, Nicole Fontaine, présidente du Parlement européen, commente dans le quotidien français Le Figaro la victoire du "non" lors du référendum organisé la veille au Danemark sur l'adoption de la monnaie unique et insiste sur les avantages de l'euro.
En janvier 2002, Nils Gottfries, professeur d'économie politique à l'Université d'Uppsala et ancien membre de la commission d'enquête suédoise sur l'Union économique et monétaire (UEM), décrit les raisons économiques et politiques qui ont conduit la Suède à ne pas adopter l'euro.
Le 4 septembre 2003, dix jours avant le référendum national sur l'adoption de la monnaie unique, Lars Heikensten, gouverneur de la Banque centrale de Suède, prononce un discours à Stockholm sur les défis de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 19 septembre 2003, l'hebdomadaire français Le Point commente les raisons, notamment économiques, sociales et culturelles, qui expliquent le vote négatif des Suédois, par 56,1 % des voix, à l'issue du référendum organisé le 14 septembre sur l'adoption de la monnaie unique européenne.
Le 25 septembre 2003, Anders Melbourn, directeur de l'Institut suédois de politique internationale, accorde à l'hebdomadaire français Le Nouvel Observateur un entretien dans lequel il commente le résultat négatif du référendum organisé le 14 septembre 2003 en Suède sur l'adoption par le pays de la monnaie unique.