Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, revient sur les origines et les objectifs de la Convention sur l'avenir de l'Europe qui débute ses travaux le 27 février 2002.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, évoque les raisons pour lesquelles Valéry Giscard d'Estaing est nommé président de cette Convention.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, explique la méthode de travail mise en place au sein de la Convention par son président Valéry Giscard d'Estaing pour parvenir à un consensus.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, décrit les différentes composantes politiques et institutionnelles représentées au sein de la Convention, le rôle du PPE, et finalement les principaux clivages au sein de la Convention.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, revient sur ce qui, selon lui, constitue les deux échecs majeurs des travaux de la Convention: la représentation des États membres à la Commission européenne et le système de ratification des traités à l'unanimité des États membres de l'Union européenne.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, explique comment la Convention a adopté le concept d'une constitution, et comment elle a retenu l'option d'un texte unique qui intègre et remplace tous les traités antérieurs.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, souligne les avantages liés à la méthode de travail utilisée lors du déroulement de la Convention.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, insiste sur la nécessité d'uniformiser le processus de ratification des traités européens dans tous les États membres de l'Union européenne, soit par l'intermédiaire des parlements nationaux, soit par le recours à un referendum dans tous les pays, au même moment, en fonction du degré d'importance de la révision.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, évoque les suites politiques liées aux résultats des référendums organisés le 29 mai en France et le 1er juin aux Pays-Bas pour la ratification du traité établissant une Constitution pour l'Europe, ainsi que la crise actuelle liée au « non » irlandais sur traité de Lisbonne.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, souligne les différences essentielles entre un traité et une constitution. Parce qu'il repose sur la confiance, le concept de constitution aurait contribué au « non » français