Le 13 juin 1994, le quotidien français Le Figaro dresse un inventaire détaillé des difficultés à surmonter pour réussir l'adhésion des pays de l'Est à l'Union européenne.
Le 30 novembre 1994, Edouard Balladur, Premier ministre français, prévoyant dans le futur un processus d'élargissement de l'Union européenne vers l'Est du continent, propose dans le colonnes du quotidien français Le Monde d'y répondre par l'organisation de l'Union européenne sous la forme de cercles concentriques.
Le 2 mars 1995, Jacques Santer, président de la Commission européenne, prononce devant le Parlement européen un discours dans lequel il pointe les problèmes posés par l'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
En 1995, le caricaturiste allemand Hanel illustre les lenteurs, sous le regard méfiant de Boris Eltsine, président de la fédération de Russie, du processus d'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 14 décembre 1996, à l'issue du Conseil européen de Dublin, l'Allemand Klaus Hänsch, président du Parlement européen, tient une conférence de presse au cours de laquelle il plaide pour de nouvelles réformes institutionnelles afin de permettre à l'Union européenne de fonctionner après son prochain élargissement.
Le 14 décembre 1996, à l'issue du Conseil européen de Dublin, Jacques Santer, président de la Commission européenne, tient une conférence de presse au cours de laquelle il dévoile le calendrier devant mener au prochain élargissement de l'Union européenne et exprime son soutien aux nécessaires réformes institutionnelles.
Le 28 juin 1997, à la suite du Conseil européen d'Amsterdam des 16 et 17 juin, l'hebdomadaire portugais Expresso souligne les difficultés qui attendent les pays d'Europe centrale et orientale (PECO) dans leur marche vers l'adhésion à l'Union européenne.
Le 7 novembre 1997, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe adopte une recommandation détaillée relative à l'élargissement à l'Est de l'Union européenne.
En février 1999, le mensuel français Le Monde diplomatique analyse les enjeux et les risques de l'élargissement de l'Union européenne à vingt-cinq pour les dix nouveaux adhérents comme pour les Quinze.
Le 22 mai 1999, le quotidien Luxemburger Wort publie un article de l'Archiduc Otto de Habsbourg, député européen sortant et président de l'Union paneuropéenne internationale, qui dénonce les obstacles à l'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 9 décembre 1994, le quotidien français Le Monde publie un article de Raymond Barre, ancien Premier ministre français et Bronislaw Geremek, historien et homme politique polonais, qui proposent une stratégie afin de réussir l'intégration des pays d'Europe centrale et orientale (PECO) dans l'Union européenne.
Le Conseil européen de Copenhague (21 et 22 juin 1993)
Le 18 mai 1993, en vue de la réunion du Conseil européen à Copenhague les 21 et 22 juin 1993, la Commission européenne adresse au Conseil une communication dans laquelle elle détaille les progrès réalisés dans le développement d'un partenariat entre la Communauté et l'Europe centrale et orientale.
Le 21 juin 1993, lors du Conseil européen de Copenghague, Alain Juppé, ministre français des Affaires étrangères, tient une conférence de presse dans laquelle il annonce notamment la décision prise par les Douze de se donner pour objectif l'adhésion de certains pays d'Europe centrale et orientale (PECO) à l'Union européenne.
Les 21 et 22 juin 1993, le Conseil européen de Copenhague fait le point sur le déroulement des négociations d'élargissement de l'Union européenne avec l'Autriche, la Finlande, la Suède et la Norvège et définit notamment les critères économiques et politiques de l'adhésion à l'UE pour les pays associés de l'Europe centrale et orientale (PECO).
Lors du Conseil européen de Copenhague des 21 et 22 juin 1993, les Douze invitent notamment la Commission européenne à préparer un rapport sur une stratégie à long terme de développement de la croissance, de la compétitivité et de l'emploi. Ils confirment que l'adhésion de l'Autriche, de la Finlande, de la Suède et de la Norvège sera effective en 1995 et fixent les critères économiques et politiques d'adhésion des pays associés d'Europe centrale et orientale (PECO) à l'Union européenne.
"Maman !" En 1993, le caricaturiste allemand Behrendt illustre la position difficile dans laquelle se trouve l'Union européenne confrontée aux nombreuses demandes d'adhésion émanant des pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 22 juin 1993, à l'occasion de l'ouverture du Conseil européen de Copenhague, le quotidien français Le Monde souligne l'impatience de certains pays d'Europe centrale et orientale (PECO) face aux lenteurs du processus d'élargissement de l'Union européenne
Le 23 juin 1993, commentant les résultats engrangés lors du Conseil européen de Copenhague des 21 er 22 juin 1993, le quotidien espagnol El País examine les décisions prises par les Douze en vue de l'élargissement futur des Communautés européennes vers les pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 28 juin 1993, Jean-Luc Dehaene, Premier ministre de Belgique, analyse dans les colonnes du quotidien espagnol El País les résultats engrangés par les Douze lors du Conseil européen de Copenhague des 21 et 22 juin.
Le Conseil européen d'Essen (9 et 10 décembre 1994)
Le 9 décembre 1994, le quotidien bruxellois La Libre Belgique analyse l'éventail des décisions adoptées par le Conseil européen d'Essen en ce qui concerne le processus d'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 9 décembre 1994, le quotidien français Le Monde évoque les grands dossiers européens à traiter lors du Conseil européen d'Essen des 9 et 10 décembre et notamment celui relatif à l'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 10 décembre 1994, commentant le Conseil européen d'Essen, le quotidien français Libération expose les enjeux de l'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO), notamment ceux relatifs à la Politique agricole commune (PAC) et à l'aide structurelle aux régions défavorisées.
Le 10 décembre 1994, commentant le Conseil européen d'Essen, le quotidien belge Le Soir expose les difficultés économiques de l'intégration de certains pays d'Europe centrale et orientale (PECO) dans l'Union européenne.
Les 9 et 10 décembre 1994, lors du Conseil européen d'Essen, les Douze décident notamment d'utiliser les ressources du programme PHARE (Pologne-Hongrie: assistance à la restructuration des économies) comme instrument de la stratégie de rapprochement des pays associés d'Europe centrale et orientale (PECO) à l'Union européenne en vue de leur adhésion future.
Le Conseil européen d'Essen (9 et 10 décembre 1994)
Lors du Conseil européen d'Essen (9-10 décembre 1994), les Douze définissent une stratégie de préadhésion pour préparer les pays d'Europe centrale et orientale (PECO) à l'intégration progressive de l'acquis communautaire dans leur droit national.
Lors du Conseil européen d'Essen (9-10 décembre 1994), les Douze définissent une stratégie de préadhésion pour préparer les pays d'Europe centrale et orientale (PECO) à l'intégration progressive de l'acquis communautaire dans leur droit national. De g. à dr.: Klaus Kinkel (ministre allemand des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l’Union européenne), Helmut Kohl (chancelier allemand et président en exercice du Conseil européen), Theodor Waigel (ministre allemand des Finances).
Le 23 juin 1995, le quotidien français Le Monde évoque les défis du prochain élargissement de l'Union européenne et insiste notamment sur l'impatience de certains pays candidats à l'adhésion.
Le Conseil européen de Luxembourg (12 et 13 décembre 1997)
Le 4 décembre 1997, à l'occasion d'une visite en Estonie, Pierre Moscovici, ministre délégué français chargé des Affaires européennes, expose à Tallinn les priorités de la France en ce qui concerne l'élargissement et l'approfondissement de l'Union européenne.
Les 12 et 13 décembre 1997, le Conseil européen de Luxembourg décide notamment de lancer le processus global d'adhésion des dix États candidats d'Europe centrale et orientale (PECO) et de Chypre à l'Union européenne.
Lors du Conseil européen de Luxembourg (12-13 décembre 1997), les Quinze lancent le processus global d'adhésion des dix États candidats d'Europe centrale et orientale et Chypre à l'Union européenne.
Le 12 décembre 1997, dans un entretien accordé au quotidien Luxemburger Wort, Jacques F. Poos, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, évoque les enjeux du prochain élargissement de l'Union européenne.
Le 12 décembre 1997, commentant les enjeux du Conseil européen de Luxembourg des 12 et 13 décembre, l'hebdomadaire allemand Die Zeit décrit les incertitudes de l'Union européenne face à son futur élargissement à l'Est ainsi qu'à la mise en oeuvre de l'Union économique et monétaire (UEM) et critique le manque d'initiatives du gouvernement allemand sur les dossiers européens.
Le 12 décembre 1997, à l'occasion du Conseil européen de Luxembourg, Jean-Claude Juncker, Premier ministre luxembourgeois et président en exercice du Conseil, prend position sur l'élargissement de l'Union européenne et souligne la situation particulière de la Turquie.
Le 12 décembre 1997, commentant les enjeux du Conseil européen de Luxembourg, le quotidien français Libération analyse l'attitude des Quinze face au futur élargissement de l'Union européenne.
Le 13 décembre 1997, le quotidien français Le Monde détaille les enjeux et les défis de l'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO), à Malte et à Chypre.
Le 13 décembre 1997, le chancelier allemand Helmut Kohl dresse un bilan positif des travaux du Conseil européen de Luxembourg (9-10 décembre) en ce qui concerne l'élargissement de l'Union européenne.
Le 14 décembre 1997, dans un entretien accordé à la RFI (Radio France internationale), Pierre Moscovici, ministre français délégué chargé des Affaires européennes, commente les résultats du Conseil européen de Luxembourg sur le processus d'élargissement de l'Union européenne.
Le 14 décembre 1997, le quotidien La Libre Belgique commente les décisions adoptées par le Conseil européen de Luxembourg en ce qui concerne l'ouverture des négociations d'adhésion à l'Union européenne avec Chypre, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, la Slovénie et l’Estonie.
Le 15 décembre 1997, Bronislaw Geremek, ministre polonais des Affaires étrangères, accorde au quotidien belge Le Soir un entretien au cours duquel il commente les décisions adoptées à l'issue du Conseil européen de Luxembourg en ce qui concerne le prochain élargissement de l'Union européenne.
Le 15 décembre 1997, commentant le Conseil européen de Luxembourg des 12 et 13 décembre, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung souligne les défis auxquels seront confrontés les pays candidats et l'Union européenne dans le cadre de son élargissement à l'Est.
Le Conseil européen de Helsinki (10 et 11 décembre 1999)
Les 10 et 11 décembre 1999, le Conseil européen d'Helsinki décide notamment de lancer les négociations d'adhésion à l'Union européenne avec la Roumanie, la Slovaquie, la Lettonie, la Lituanie, la Bulgarie et Malte. En établissant qu'au cours des négociations chaque pays candidat sera apprécié selon ses particularités, le Conseil européen réaffirme le principe de différenciation.
Le Conseil européen d'Helsinki (10-11 décembre 1999) décide d'élargir la procédure de négociation d'adhésion avec six pays candidats (Malte, Roumanie, Bulgarie, Slovaquie, Lettonie et Lituanie) et accorde à la Turquie le statut de « pays candidat » sans, pour autant, ouvrir des négociations d'adhésion ni fixer d'échéance précise.
Le 11 décembre 1999, Jan Kulakowski, secrétaire d'État polonais chargé des négociations d'adhésion de la Pologne à l'Union européenne, accorde au quotidien français Le Monde un entretien au cours duquel il livre ses impressions sur le processus d'élargissement de l'UE.
Le 16 décembre 1999, le chancelier allemand Gerhard Schröder détaille les résultats engrangés lors du Conseil européen d'Helsinki (10-11 décembre), qui prévoit notamment l'ouverture des négociations d'adhésion à l'Union européenne avec la Roumanie, la Slovaquie, la Lettonie, la Lituanie, la Bulgarie et Malte, et s'étend sur le cas spécifique de la Turquie.
En avril 2000, le mensuel Revue du Marché commun et de l'Union européenne publie un entretien avec Günter Verheugen, commissaire européen chargé de l'élargissement de l'Union européenne, qui s'explique sur les décisions adoptées en décembre 1999 à l'issue du Conseil européen d'Helsinki.
Le Conseil européen de Göteborg (15 et 16 juin 2001)
Lors du Conseil européen de Göteborg des 15 et 16 juin 2001, les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze définissent les orientations concernant notamment l'avenir de l'Europe, les prochaines étapes de l'élargissement de l'Union européenne et la modernisation de ses institutions.
Lors du Conseil européen de Göteborg des 15 et 16 juin 2001, les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze définissent les orientations concernant les prochaines étapes de l'élargissement, le débat sur l'avenir de l'Union européenne, le développement durable, les questions économiques et sociales et les relations extérieures de l'Union européenne.
Le 19 juin 2001, le quotidien économique belge L'Écho commente les décisions du Conseil européen de Göteborg en ce qui concerne l'élargissement de l'Union européenne.
Le Conseil européen de Göteborg (15 et 16 juin 2001)
Le 21 juin 2001, le chancelier allemand Gerhard Schröder prononce devant le Bundestag un discours dans lequel il dresse un bilan positif des résultats engrangés à l'issue du Conseil européen de Göteborg en ce qui concerne l'élargissement de l'Union européenne.
Le 21 juin 2001, l'hebdomadaire allemand Die Zeit exprime sa déception face aux résultats engrangés à l'issue du Conseil européen de Göteborg des 15 et 16 juin en ce qui concerne l'élargissement de l'Union européenne.
Dans son édition de l'été 2001, la revue des fédéralistes L'Europe en formation critique la faiblesse des résultats engrangés lors du Conseil européen de Göteborg des 15 et 16 juin 2001.
Le Conseil européen de Laeken (14 et 15 décembre 2001)
Le 13 décembre 2001, commentant le Conseil européen qui doit s'ouvrir le lendemain à Laeken, l'hebdomadaire allemand Die Zeit pointe les enjeux auxquels les Quinze doivent faire face.
Le 13 décembre 2001, commentant l'ouverture du sommet de Laeken, le quotidien belge Le Soir détaille l'état de préparation des pays candidats à l'adhésion à l'Union européenne.
Lors du Conseil européen de Laeken des 14 et 15 décembre 2001, les Quinze donnent leur accord à l'adhésion des États candidats à l'Union européenne s'ils poursuivent leurs efforts de mise à niveau avec les pays membres.
Un an après la Conférence intergouvernementale de décembre 2000 à Nice, qui lançait «Le débat sur l'avenir de l'Union européenne», la Déclaration de Laeken du 15 décembre 2001 réaménage et concrétise les questions soulevées à Nice sur la réforme des institutions. La répartition des compétences entre l'Union et les États membres, la simplification des instruments législatifs de l'Union, l'équilibre institutionnel et l'efficacité du processus décisionnel, et la constitutionnalisation des traités sont les questions essentielles à débattre au sein d'une convention sur l'avenir de l'Europe qui tient sa séance inaugurale à Bruxelles le 28 février 2002.
Le 12 décembre 2002, commentant le Conseil européen de Copenhague, le périodique français L'Express s'interroge sur les répercussions politiques et institutionnelles du futur élargissement de l'Union européenne.
Le Conseil européen de Copenhague des 12 et 13 décembre 2002 clôture les négociations avec dix États candidats et fixe la date de l’adhésion de Chypre, de la République tchèque, de l'Estonie, de la Hongrie, de la Lettonie, de la Lituanie, de Malte, de la Pologne, de la République slovaque et de la Slovénie au 1er mai 2004.
Lors du Conseil européen de Copenhague des 12 et 13 décembre 2002, les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze entendent le rapport de Valéry Giscard d'Estaing sur l'avancement des travaux de la Convention européenne avant de se pencher notamment sur l'élargissement de l'Union européenne et sur la politique étrangère et de sécurité commune (PESC).
Le 13 décembre 2002, commentant les conclusions du Conseil européen de Copenhague, le quotidien français Le Monde s'interroge sur les nouveaux défis de l'Union européenne élargie.
Le 13 décembre 2002, commentant les conclusions du Conseil européen de Copenhague, le quotidien belge Le Soir dresse le portrait d'une Union européenne élargie à vingt-cinq États membres.
Au lendemain du Conseil européen de Copenhague des 12 et 13 décembre 2002, le quotidien britannique The Guardian réagit aux conclusions de la Présidence sur l'élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États membres tout en s'intéressant à la candidature turque.
Le 16 décembre 2002, Noëlle Lenoir, ministre française déléguée aux Affaires européennes, commente les décisions du Conseil européen de Copenhague en ce qui concerne l'élargissement de l'Union européenne.
Le 16 décembre 2002, Tony Blair, Premier ministre britannique, tient en marge du Conseil européen de Copenhague une conférence de presse au cours de laquelle il insiste notamment sur la portée historique des décisions adoptées par les Quinze en ce qui concerne l'élargissement de l'Union européenne.
Le 18 décembre 2002, Anders Fogh Rasmussen, Premier ministre danois et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, décrit devant le Parlement européen la nature des décisions adoptées à l'issue du Conseil européen de Copenhague, notamment en ce qui concerne l'élargissement de l'Union européenne.
"Bienvenue au Club". A l'issue du Conseil européen de Copenhague des 12 et 13 décembre 2002, le caricaturiste allemand Hanel ironise sur l'état de la "Maison Europe" face aux enjeux du prochain élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États membres.