Le 10 juin 1977, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung commente l'étude de trois chercheurs à l'Institut de la CDU qui établissent que les partis politiques ont difficilement accès à la majorité parlementaire dans un système électoral au suffrage universel direct.
Le 30 novembre 1977, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung estime que la première élection du Parlement européen au suffrage universel direct pourrait modifier les structures des partis politiques en Europe occidentale.
Dans cette interview, Jacques F. Poos, député européen de 1999 à 2004, décrit le rôle des groupes politiques dans le fonctionnement interne du Parlement européen.
Le 14 mars 1977, EUSO, Europe socialiste, périodique du groupe socialiste au Parlement européen, interroge Willy Claes et André Cools, coprésidents du Parti socialiste belge (PSB), sur les enjeux politiques de la première élection, en juin 1979, du Parlement européen au suffrage universel direct.
Le 6 juin 1977, le Groupe du parti des socialistes européens adopte son programme politique en prévision des premières élections, en juin 1979, du Parlement européen au suffrage universel direct.
En prévision des premières élections du Parlement européen au suffrage universel direct (juin 1979), le parti travailliste irlandais détaille, en février 1979, sa vision de la construction de l'Europe et du rôle que l'Irlande peut y jouer.
En 1977, le Parti travailliste britannique publie une brochure qui détaille son programme électoral en prévision des premières élections du Parlement européen au suffrage universel direct.
Le 26 octobre 1977, EUSO, Europe Socialiste, périodique du groupe socialiste au Parlement européen, critique le programme politique de ses adversaires dans la perspective de l'élection de l'Assemblée au suffrage universel direct.
Le 24 juin 1978, lors d'une réunion à Bruxelles des partis socialistes européens, Willy Brandt, président du Parti social-démocrate allemand, prononce un discours sur l'importance de la politique étrangère de la Communauté européenne.
Les 23 et 24 juin 1978, lors d'une réunion à Bruxelles des dirigeants socialistes des pays membres de la Communauté européenne, Joop den Uyl, président du Parti socialiste néerlandais, souligne la nécessité de construire une Europe du plein-emploi.
Le 24 juin 1978, les dirigeants sociaux-démocrates des pays membres des Communautés européennes lancent officiellement à Bruxelles leur campagne électorale en vue de la première élection, un an plus tard, du Parlement européen au suffrage universel direct.
Réuni en congrès à Bruxelles du 10 au 15 janvier 1979, le Groupe du parti des socialistes européens adopte à l'unanimité son appel aux urnes pour l'élection prochaine du Parlement européen au suffrage universel direct.
Le 7 juin 1979, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung passe au crible les ambitions politiques des socialistes allemands en prévision de la première élection du Parlement européen au suffrage universel direct.
Ancien vice-président du Parti ouvrier socialiste luxembourgeois (LSAP), le député européen Jacques F. Poos dresse un bilan sans concession du rôle et du fonctionnement du parti socialiste européen en comparaison au groupe socialiste du Parlement européen.
Dans son éditorial du 28 avril 1970, Emanuele Gazzo, rédacteur en chef de l'Agence Europe, salue la création, la veille à Bruxelles, d'une Conférence des groupes parlementaires et des partis démocrates-chrétiens des six États membres des Communautés européennes, préfiguration d'une fédération européenne démocrate-chrétienne.
Le 20 novembre 1976, le député belge Charles-Ferdinand Nothomb, président du Parti social-chrétien (PSC), se félicite dans les colonnes du quotidien belge Le Soir de la création, quatre mois plus tôt, du parti des démocrates-chrétiens européens en vue de la première élection, initialement prévue pour 1978, du Parlement européen au suffrage universel direct.
Le 25 avril 1978, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung commente la création de l'Union démocratique européenne dans la perspective de la première élection, en juin 1979, du Parlement européen au suffrage universel direct.
Le 23 février 1979, le Parti populaire européen (PPE) dévoile à Bruxelles son programme politique en prévision de la première élection, en juin 1979, du Parlement européen au suffrage universel direct.
En février 1979, en prévision de la première élection du Parlement européen au suffrage universel direct, le Fine Gaël, parti irlandais de centre-droit, fait une déclaration sur le rôle passé et futur des démocrates-chrétiens dans la construction européenne.
En février 1979, le Fianna Fáil, parti conservateur irlandais, dévoile son programme politique pour la première élection du Parlement européen au suffrage universel direct.
Logo du Parti populaire européen (PPE) qui remporte 107 sièges à l'issue de la première élection, en juin 1979, du Parlement européen au suffrage universel direct.
Le 7 décembre 1982, le chancelier allemand Helmut Kohl, ancien président de la Christlich-Demokratische Union (CDU), prend la parole lors d'un congrès du Parti populaire européen (PPE) à Bagnolet, dans la banlieue parisienne.
Dans cette interview, Jacques Santer, ancien président du Parti chrétien-social luxembourgeois (CSV), évoque les enjeux et les objectifs de la création, le 8 juillet 1976 à Luxembourg, du Parti populaire européen (PPE).
Dans cette interview, Jacques Santer, ancien président du Parti chrétien-social luxembourgeois (CSV) et ancien président du Parti populaire européen (PPE), évoque la doctrine et la conception démocrate-chrétienne de l'Europe unie en rappelant les difficultés rencontrées par le PPE pour intégrer les partis conservateurs de l'Espagne, du Portugal et des pays d'Europe centrale et orientale.
Dans cette interview, Hans-August Lücker, ancien président du groupe démocrate-chrétien au Parlement européen, ancien vice-président de l'Union européenne des démocrates-chrétiens (UECD) et rédacteur des statuts du Parti populaire européen (PPE), évoque les enjeux et le processus de création en 1976 du PPE.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999 et actuellement membre du bureau politique du Parti populaire européen (PPE), décrit l'évolution du PPE, son identité et son idéologie politique.
Le 21 juillet 1975, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung rend compte de l'intention des partis libéraux des pays membres de la Communauté économique européenne (CEE) de constituer une fédération libérale européenne afin de mieux coordonner leur politique en ce qui concerne les questions communautaires.
Le 26 mars 1976, les responsables libéraux européens constituent à Stuttgart une Fédération des partis libéraux et démocratiques de la Communauté européenne et définissent comme principal objectif politique la transformation de la Communauté européenne en une Union européenne dotée d'une Constitution libérale et démocratique.
Le 29 mars 1976, commentant les préparatifs de la première élection du Parlement européen au suffrage universel direct, le quotidien catholique La Libre Belgique rend compte de la constitution d'une fédération libérale européenne qui regroupe les partis libéraux de huit des neuf États membres de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 23 avril 1977, commentant les préparatifs de la première élection du Parlement européen au suffrage universel direct, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung décrit le contenu du programme politique de la fédération des partis libéraux d'Europe qui s'est réunie dix jours plus tôt à Bonn.
Affiche électorale du groupe des libéraux et démocrates européens (LDE) qui, à l'issue de la première élection du Parlement européen au suffrage universel direct (juin 1979), remporte trente-neuf sièges au sein de l'Assemblée.
"Cheval troyen". En juin 1977, le caricaturiste Horst Haitzinger illustre la méfiance qui règne tant en Europe occidentale qu'en Europe de l'Est à l'égard de l'eurocommunisme.
"Après quelques revers...l'eurocommunisme... s'est bien rétabli". En mai 1979, commentant les préparatifs liés à la première élection du Parlement européen au suffrage universel direct, le caricaturiste Behrendt prend exemple sur le Parti communiste français pour dénoncer un eurocommunisme qui n'agirait que pour les intérêts politiques de l'URSS.