Le mémorandum américain d'action pour la sécurité nationale n°255 décrit les conditions d'utilisation du célèbre "téléphone rouge", ligne de communication directe et sécurisée entre la Maison Blanche à Washington et le Kremlin à Moscou afin de prévenir, dans un contexte de Guerre froide, toute attaque atomique entre les deux super puissances.
Ce document, issu des archives américaines, précise les positions et l'attitude à adopter par le président américain John F. Kennedy lors de sa rencontre à Vienne avec le premier secrétaire du Parti communiste de l'URSS Nikita Khrouchtchev les 3 et 4 juin 1961.
Les 3 et 4 juin 1961, John F. Kennedy, président des États-Unis, rencontre à Vienne Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS), sans que cette entrevue ne mette fin aux tensions entre les deux blocs.
Les 3 et 4 juin 1961, le président américain John F. Kennedy et le premier secrétaire du Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS), Nikita Khrouchtchev, se rencontrent à Vienne pour tenter d'apaiser les tensions entre les deux superpuissances.
Le 25 novembre 1961, le président américain John F. Kennedy accorde au rédacteur en chef du journal soviétique Izvestia une interview dans laquelle il s'exprime sur les relations soviéto-américaines et sur les crises de la Guerre froide.
"Khrouchtchev: la porte des négociations est toujours ouverte". En 1962, le caricaturiste Behrendt ironise sur la réelle volonté du leader soviétique, Nikita Khrouchtchev, d'entamer un dialogue entre l'Est et l'Ouest.
"Course aux armements". En mars 1962, le caricaturiste Abu dénonce, dans le journal du dimanche britannique The Observer, la course suicidaire aux armements entre les États-Unis et l'Union soviétique.
Le 23 octobre 1968, l'ambassadeur du Luxembourg à Moscou adresse à Pierre Grégoire, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, une lettre dans laquelle il évoque les risques d'un retour à la Guerre froide.