Le 26 avril 1990, à l'issue des 55ème consultations franco-allemandes au Palais de l'Élysée, le président français François Mitterrand et le chancelier allemand Helmut Kohl expriment leur point de vue sur l'union politique de l'Europe et réaffirment l'action des deux pays dans ce sens.
Le 27 novembre 1991, la Commission européenne rappelle les enjeux fondamentaux des projets de traités sur l'Union politique et sur l'Union économique et monétaire (UEM).
En novembre 1991, Enrique Baron Crespo, président du Parlement européen, insiste dans le mensuel Crocodile sur l'importance de définir dans le traité sur l'Union européenne les principes et les structures de la Communauté européenne pour que celle-ci puisse s'affirmer sur la scène européenne et internationale.
Le 13 décembre 1991, le chancelier Helmut Kohl rend compte au Bundestag des résultats enregistrés par les Douze lors du Conseil européen de Maastricht des 9 et 10 décembre 1991.
"Maastricht". En 1991, le caricaturiste Behrendt illustre la route qui mène vers "Maastricht" et vers le traité sur l'Union européenne présentée comme un long chemin semé d'embûches.
"La dernière ligne droite". Le caricaturiste Murschetz souligne les difficultés pour finaliser le traité sur l'Union européenne qui sera signé à Maastricht le 7 février 1992.
Dans cette interview, Jean-Jacques Kasel, directeur des Affaires politiques et culturelles au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères de 1986 à 1992, souligne les difficultés rencontrées pour finaliser le traité sur l'Union européenne signé à Maastricht le 7 février 1992.
Dans cet extrait d'interview, Jacques Delors, président de la Commission des Communautés européennes de 1985 à 1995, évoque les controverses liées à la négociation du Traité de Maastricht, notamment concernant la PESC, les critères de convergence relatifs à l'UEM, la structure de l'Union en forme de « temple », ainsi que le protocole social.
Le 7 février 1992, Aníbal António Cavaco Silva, Premier ministre du Portugal et président en exercice du Conseil des Communautés européennes, prononce un discours dans lequel il souligne l'enjeu politique du traité sur l'Union européenne (UE) signé le même jour par les Douze à Maastricht.
Le 7 février 1992, lors de la signature à Maastricht du traité sur l'Union européenne, Jacques Delors, président de la Commission européenne, détaille les défis futurs de la Communauté européenne.
Le 7 février 1992, lors de la cérémonie de signature à Maastricht du traité sur l'Union européenne, Egon Klepsch, président du Parlement européen, décrit les nouvelles perspectives qui s'ouvrent aux citoyens des Douze.
Le 7 février 1992, à l'occasion de la signature à Maastricht du traité sur l'Union européenne, le quotidien conservateurLa Libre Belgique pointe les faiblesses du traité face aux défis qui attendent les Douze.
Le 7 février 1992, commentant la signature, le jour même, du traité de Maastricht, le quotidien britannique The Guardian analyse la portée du traité sur l'Union européenne.
A l'occasion de la signature, le 7 février 1992, du traité de Maastricht, le quotidien luxembourgeois Luxemburger Wort analyse les répercussions de l'Union européenne sur les Douze.
Le 8 février 1992, le quotidien français Le Monde détaille les échéances et la mise en oeuvre pratique des dispositions contenues dans le traité de Maastricht.
Le 7 février 1992, les ministres des Affaires étrangères et des Finances des douze États membres des Communautés européennes signent à Maastricht le traité sur l'Union européenne (UE).
En 1992, le gouvernement luxembourgeois publie une brochure qui détaille les principales dispositions du traité signé à Maastricht le 7 février 1992 par les Douze.
Dans cette interview, Jacques F. Poos, ancien ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, pointe les origines et l'importance historique du Traité de Maastricht sur l'Union européenne, notamment en matière monétaire et de citoyenneté européenne.