Le 9 avril 1975, en marge des négociations entamées en juillet 1973 à Helsinki et poursuivies à Genève par la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), le Parlement européen se félicite du processus de détente internationale et demande un approfondissement de la coopération entre l'Ouest et l'Est.
Am 25. Juli 1975 kommt Hans-Dietrich Genscher, Bundesminister des Auswärtigen, in einer vor dem Bundestag gehaltenen Rede auf die Ergebnisse der Konferenz zur Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa (KSZE) zurück.
Le 30 juillet 1975, ouvrant à Helsinki la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), Harold Wilson, Premier ministre britannique, prononce un discours centré sur l'esprit de détente entre l'Est et l'Ouest.
In einer am 30. Juli 1975 abgegebenen Erklärung unterstreicht Bundeskanzler Helmut Schmidt die Ergebnisse der Konferenz zur Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa und fordert deren schnelle Durchführung zur Fortführung der Entspannungspolitik zwischen Ost und West.
"Helsinki - le sommet de la non obligation" : un sommet qui s'apparente à une farce et fragilement bâti sur un château de cartes, telle est la vision critique que porte le caricaturiste Köhler sur la Conférence sur la coopération et la sécurité en Europe (CSCE) réunie à Helsinki du 30 juillet au 1er août 1975.
Le 31 juillet 1975, prenant part à Helsinki à la phase finale de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), Leonid Brejnev, premier secrétaire du parti communiste de l'Union soviétique, se félicite des résultats obtenus sur le plan diplomatique.
Le 1er août 1975, les chefs d'État et de gouvernement des trente-cinq pays participants à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) signent à Helsinki l'Acte final qui consacre notamment l'inviolabilité des frontières existantes, développe les échanges économiques et favorise la libre circulation des idées et des personnes.
Présents du 30 juillet au 1er août 1975 à Helsinki pour la signature de l'Acte final de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), le président américain Gerald R. Ford et Leonid Brejnev, premier secrétaire du Parti communiste de l'Union soviétique, échangent leurs points de vue.
Présent le 1er août 1975 à Helsinki pour la signature de l'Acte final de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), le président américain Gerald R. Ford défend les valeurs démocratiques et de liberté et invite à la poursuite du processus de détente entre l'Est et l'Ouest.
En mars 1976, le caricaturiste Horst Haitzinger ironise sur la "pleine application en RDA" des résolutions adoptées par la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), notamment le VIIème principe de l'Acte final d'Helsinki en vertu duquel l'Union soviétique et ses États satellites s'engagent à respecter les droits de l'homme et les libertés fondamentales.
"Vœux d'anniversaire". Le 22 décembre 1976, plus d'un an après la signature à Helsinki, de l'acte final de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), le caricaturiste néerlandais d'origine berlinoise Fritz Behrendt ironise sur la question de la réelle application du VIIe principe de l'acte final, qui stipule que «les États participants reconnaissent l'importance universelle des droits de l'homme et des libertés fondamentales, dont le respect est un facteur essentiel de la paix, de la justice et du bien-être nécessaires pour assurer le développement de relations amicales et de la coopération entre eux, comme entre tous les États.» L'Union soviétique sous les traits imposants de son leader Leonid Brejnev, en grande uniforme bardée de médailles, ne semble pas prêt à s'engager à respecter les droits de l'homme et les libertés fondamentales dans les États satellites du bloc de l’Est (États baltes, Bulgarie, Pologne, Hongrie, Tchécoslovaquie, Roumanie) ou à donner une suite positive à toute revendication en la matière.
En mars 1978, le caricaturiste allemand Walter Hanel illustre l'échec de la réunion de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) à Belgrade.
Dans ses Mémoires, Leo Tindemans, ancien Premier ministre de Belgique, explique l'importance de la signature, le 1er août 1975, de l'Acte final d'Helsinki qui institue la Conférence pour la sécurité et la coopération en Europe (CSCE).
In diesem Interview spricht der ehemalige belgische Premierminister Leo Tindemans über die Herausforderungen der Konferenz über Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa (KSZE), deren Schlussakte am 1. August 1975 in Helsinki unterzeichnet wurde.
Le 16 février 1969, des troupes américaines participent à trois jours d'exercices militaires dans la région de Grünewald, qui est le plus grand secteur boisé à l'ouest de la ville Berlin. Malgré la détente, les forces occidentales stationnées à Berlin-Ouest restent en alerte et assurent la défense des secteurs occidentaux de la ville.
Le 17 mars 1969, dans un message adressé à tous les pays européens, les États membres du Pacte de Varsovie se prononcent pour l'établissement de relations de bon voisinage avec l'Occident et appellent à la mise en place d'une conférence sur la sécurité en Europe.
Le 22 mars 1972, le quotidien italien Corriere della Sera décrit les critiques de Leonid Brejnev, Premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, à l'encontre de la Communauté économique européenne (CEE).
Auf einer Europa-Konferenz am 13. November 1972 im Palais Palffy in Wien beschreibt Edmund P. Wellenstein, der Delegationschef der Europäischen Kommission für die Erweiterungsverhandlungen der Europäischen Gemeinschaften, die Entscheidungen, die auf dem Pariser Gipfel vom 19., 20. und 21. Oktober 1972 bezüglich der wirtschaftlichen Zusammenarbeit zwischen den Mitgliedern der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und den osteuropäischen Ländern getroffen worden waren.
Le 9 mars 1973, le quotidien belge La Libre Belgique s'interroge sur l'ouverture prochaine d'une véritable négociation entre la Communauté économique européenne (CEE) et le Conseil d'assistance économique mutuelle (COMECON) sur la question des échanges commerciaux.
Am 4. August 1973 kommentiert der luxemburgischen Außenminister und Außenhandelsminister Gaston Thorn auf RTL seine kürzliche Reise in die UdSSR und spricht über die möglichen Beziehungen zwischen den Neun und den Mitgliedstaaten des Rats für gegenseitige Wirtschaftshilfe (Comecon).
En janvier 1974, malgré la détente qui semble régner entre les deux blocs, les exercices militaires se poursuivent aussi bien au sein de l'Alliance atlantique que du Pacte de Varsovie. Sur la photo, des troupes soviétiques d'une unité anti-aérienne s'entrainent à la guerre chimique.
Le 17 octobre 1974, à l'occasion de la future visite officielle de François Ortoli, président de la Commission européenne, à Moscou, le quotidien néerlandais De Volkskrant commente les tentatives de rapprochement entre la CEE et le Conseil d'assistance économique mutuelle (COMECON).
Dans cette interview, Jean-Jacques Kasel, attaché de légation au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères de 1973 à 1976, évoque la nature des relations existant entre la Communauté économique européenne (CEE) et le Conseil d'assistance économique mutuelle (COMECON) dans le contexte particulier des années soixante-dix.
En septembre 1975, l'hebdomadaire satirique soviétique Krokodil présente les agissements du Pentagone - QG du Département américain de la Défense - comme une pierre d'achoppement dans le processus de détente entre l'Est et l'Ouest.
En novembre 1975, le mensuel français Le Monde diplomatique compare la Communauté économique européenne (CEE) avec le Conseil d'assistance économique mutuelle (COMECON) et analyse les possibilités d'une coopération éventuelle entre les deux organisations.
Le 18 février 1976, le quotidien La Libre Belgique s'interroge sur les raisons qui poussent le Comecon à chercher un rapprochement avec les pays membres de la Communauté économique européenne (CEE).
"Un an après Helsinki - A la vôtre - à d'autres succès". Un an après la fin de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), Fritz Behrendt fustige la détente de façade entre l'Est et l'Ouest.
Im November 1977 berichtet das deutsche Nachrichtenmagazin Der Spiegel über die Verhandlungen zwischen der Sowjetunion und der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) über ein zukünftiges Fischereiabkommen.
En juin 1978, le mensuel économique suisse Vision s'interroge sur l'éventuelle instauration d'échanges commerciaux entre les pays du bloc de l'Est et les États membres de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 3 juillet 1958, les gouvernements américain et britannique signent un accord de coopération pour l’emploi de l’énergie atomique à des fins de défense mutuelle. L'accord porte notamment sur l’échange d’informations confidentielles concernant l’emploi et la fabrication d’armes nucléaires. Le traité entre en vigueur le 4 août 1958.
Le traité d'interdiction partielle des essais nucléaires, signé le 5 août 1963 à Moscou par le Royaume-Uni, l'Union soviétique et les États-Unis, et entré en vigueur le 10 octobre 1963, oblige les États membres à ne pas réaliser d'explosion nucléaire dans l'atmosphère, dans l'espace extra-atmosphérique et sous l’eau. Les explosions souterraines ne sont pas interdites, à condition qu’elles ne provoquent pas de déchets radioactifs en dehors des limites territoriales de l'État qui a effectué l'explosion.
Le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), signé le 1er juillet 1968 à Londres, Moscou et Washington et entré en vigueur le 5 mars 1970, repose sur trois piliers: la non-prolifération, le désarmement et les utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire. Il interdit aux cinq États dotés de l’arme nucléaire ayant fait exploser un engin nucléaire avant le 1er janvier 1967 (EDAN) – États-Unis, URSS, Royaume-Uni, Chine, France – de livrer du matériel ou des renseignements aux autres États, non dotés de l'arme nucléaire (ENDAN). Les derniers s'engagent à ne pas fabriquer d'armes nucléaires et à ne pas essayer de s'en procurer. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) vérifie que les États signataires du traité respectent leurs engagements.
Le 18 juin 1973, le président américain Richard Nixon (au centre) reçoit Leonid Brejnev (à g.), Premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, à la Maison Blanche.
Le 19 juin 1973, le président américain Richard Nixon (à g.) reçoit à Washington Leonid Brejnev (à dr.), Premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, pour régler la question de la limitation des armes nucléaires.
Le 22 juin 1973, Henry Kissinger, assistant du président américain pour les questions de sécurité nationale répond aux questions des journalistes, après la signature entre les États-Unis et l'Union soviétique d'un accord sur la prévention de la guerre nucléaire.
Le 22 juin 1973, le président américain Richard Nixon (à dr.) et le Premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique Leonid Brejnev (accoudé à la table) se rendent en Californie à bord de l'avion présidentiel "Spirit of 76".
Le 24 juin 1973, lors de sa visite officielle aux États-Unis, Leonid Brejnev, premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, prononce un discours, dans lequel il met en lumière la volonté de détente des deux superpuissances.
Le 25 juin 1973, à l'issue de la visite de Leonid Brejnev, premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, auprès du président américain Richard Nixon, les deux chefs d'État publient un communiqué conjoint détaillant les efforts de détente entre leurs deux pays.
Le 25 janvier 1973, lors de la conférence de presse clôturant la visite officielle aux États-Unis, du premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, Leonid Brejnev, Henry Kissinger, assistant du président américain pour les questions de sécurité nationale répond aux questions des journalistes sur la nouvelle détente entre les deux superpuisssances.
En juillet 1973, le périodique satirique soviétique Krokodil titre sur les efforts de désarmement des États-Unis et de l'Union soviétique, qui le 22 juin 1973, ont signé à Washington un important accord sur la prévention de la guerre nucléaire qui symbolise le nouveau climat international de coexistence pacifique.
"Et j'avais l'intention d'aller cueillir des champignons !" Pour le quotidien satirique moscovite Krokodil, la signature, le 22 juin 1973 à Washington, de l'Accord américano-soviétique sur la prévention de la guerre nucléaire fait reculer le spectre de la destruction atomique.
En avril 1970, Kurt Waldheim (au centre de l'estrade), ministre autrichien des Affaires étrangères, accueille à Vienne les délégations américaines et soviétiques pour les négociations sur le désarmement.
Le 20 avril 1970, les délégations américaine et soviétique entament au château du Belvédère à Vienne des négociations sur les accords SALT I de non-prolifération des armes atomiques.
Le 26 mai 1972, le président américain Richard Nixon et son homologue soviétique Leonid Brejnev signent à Moscou un accord ABM limitant les missiles de défense antibalistique à base de têtes nucléaires.
Les 28-29 mai 1972, au lendemain de la signature du traité américano-soviétique de limitation des systèmes de missiles antibalistiques, le quotidien français Le Monde dresse un état des lieux de la "course aux armements" et détaille les mesures annoncées pour limiter les armes nucléaires.
En juillet 1972, le mensuel français Le Monde diplomatique analyse la portée de l'accord SALT I signé à Moscou le 26 mai 1972 entre les États-Unis et l'Union soviétique et qui limite les missiles de défense antibalistique à base de têtes nucléaires.
Le 25 janvier 1973, malgré la signature en mai 1972 de l'accord SALT I sur la limitation des armements nucléaires offensifs, le caricaturiste Lang estime que l'avenir du processus de désarmement entre les États-Unis et l'Union soviétique reste compromis.
Dans ses Mémoires, Henry Kissinger, ancien secrétaire d'État américain, rappelle la complexité des négociations entre les États-Unis et l'Union soviétique au sujet de la limitation des armes stratégiques et souligne l'impact de ces négociations sur le concept américain de défense nationale.
«Bon, alors commencez...» Le 26 février 1977, dans le cadre des négociations sur la limitation des armes stratégiques, mieux connues par l'acronyme SALT (Strategic Arms Limitation Talks), le caricaturiste d'origine néerlandaise Fritz Behrendt ironise sur la méfiance persistante entre les États-Unis (à gauche, le président Carter) et l'Union soviétique (à droite, le leader soviétique Brejnev) en matière de désarmement.
Le 22 juin 1973, à l'occasion de la visite officielle aux États-Unis de Leonid Brejnev, premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, Henry Kissinger, assistant du président américain pour les affaires de sécurité nationale, répond aux questions des journalistes quant à la relance des négociations sur la limitation des armements SALT II.
En juin 1978, les États-Unis et l'Union soviétique réaffirment l'importance de poursuivre le processus de désarmement dans le domaine des armes stratégiques offensives.
Le 4 mai 1979, le caricaturiste Behrendt s'interroge, dans les colonnes du quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, sur la volonté réelle du président américain Jimmy Carter et de Leonid Brejnev, secrétaire général du parti communiste d'Union soviétique, d'appliquer sur le terrain l'accord de désarmement SALT II.
Am 10. Mai 1979 zeigt die deutsche Tageszeitung Frankfurter Allgemeine Zeitung die Grenzen des SALT II Abkommens, welches am 18. Juni 1979 in Wien unterschrieben wird, und äußert seine Bedenken über das Ende des Wettrüstens.
Für das deutsche Nachrichtenmagazin Der Spiegel stellt das am 18. Juni 1979 unterzeichnete SALT II-Abkommen vor allem einen neuen Anreiz zum Wettrüsten dar.
Le 18 juin 1979, le président américain Jimmy Carter et Leonid Brejnev, premier secrétaire du parti communiste soviétique, ajoutent au traité SALT II de limitation des armements stratégiques un protocole additionnel qui fixe une série de plafonds précis d'armements autorisés.
Le 18 juin 1979, dans le cadre des négociations sur le désarmement, les États-Unis et l'Union soviétique dresse un tableau de leur stock respectif d'armements stratégiques.
Le 18 juin 1979, quelques heures après avoir signé à Vienne les accords SALT II de limitation des armements stratégiques, le président américain Jimmy Carter décrit devant le Congrès des États-Unis l'importance de ce nouvel accord de désarmement.
Le 18 juin 1979, le président américain Jimmy Carter et Leonid Brejnev, premier secrétaire du parti communiste d'Union soviétique, signent à Vienne le traité SALT II de limitation des armements stratégiques.
Le 3 octobre 1979, le quotidien belge Le Soir décrit la réaction du président américain Jimmy Carter face à la présence militaire soviétique à Cuba et analyse les mesures qu'il compte prendre pour éviter l'échec des accords SALT II relatifs à la limitation des armements stratégiques.