"Messieurs, vous avez tout intérêt à rester en bon terme avec moi, en effet je pense devenir la troisième force..." En 1957, le caricaturiste allemand Köhler pose la question du rôle de l'Europe sur la scène internationale.
Le 14 avril 1958, le comité d'action pour les États-Unis d'Europe adopte un projet de résolution sur les relations à établir entre la Communauté économique européenne (CEE) et les pays tiers, en particulier le Royaume-Uni.
"La troisième force-Allez-hepp, Harold !" Le 20 août 1960, le périodique satirique allemand Simplicissimus titre sur la difficile tentative de positionnement international de l'Europe (de bas en haut Harold MacMillan, Charles de Gaulle, Konrad Adenauer) face aux deux grandes puissances que sont les États-Unis (à g. Dwight D. Eisenhower) et l'Union soviétique (Nikita S. Khrouchtchev).
Am 26. Juni 1962 kommentiert Victor Bodson, Vertreter der luxemburgischen sozialistischen Partei im Aktionskomitee für die Vereinigten Staaten von Europa, die am Vortag vom Komitee verabschiedete Erklärung über den Beitrittsantrag des Vereinigten Königreichs zu den Europäischen Gemeinschaften und über die Stärkung der Beziehungen zwischen den Vereinigten Staaten und dem gemeinschaftlichen Europa.
Le 3 mai 1965, le Mouvement européen exprime à Paris son souhait de voir l'Europe se doter d'institutions appropriées en matière de défense et de politique extérieure pour pouvoir jouer un rôle plus important sur la scène internationale.
Tableau indiquant l'accroissement régulier du commerce extérieur de la Communauté européenne et l'importance du commerce par rapport à d'autres pays ou zones économiques.
Tableau indiquant les importations et les exportations de la CEE envers des pays tiers entre 1958 et 1967 et l'importance du commerce avec les autres pays de l'Europe.
Tableau indiquant l'évolution des échanges de la Communauté européenne avec l'ensemble des pays et territoires en voie de développement entre 1958 et 1971.
Le 2 mai 1962, le quotidien bruxellois La Libre Belgique s'interroge sur les relations que devraient entretenir les Six avec les pays éventuellement candidats à l'adhésion ou à une association avec les Communautés européennes indépendamment des positions adoptées par les partis socialistes européens, eu égard notamment à l'Espagne franquiste.