Am 1. Mai 1953 verfasst das Bundeswirtschaftsministerium eine Stellungnahme, in der es seine Haltung zu den Zielen und den Etappen der wirtschaftlichen Integration in Europa darlegt.
Le 30 juin 1954, le comité économique de la commission spéciale créée en 1952 au sein de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, pour étudier le projet de statut de la communauté politique européenne, reçoit une documentation préparée par la délégation belge. Ce document présente l'historique de l'intégration économique débutée en 1943 entre les trois pays du Benelux.
Le 18 septembre 1954, commentant l'échec récent de la Communauté européenne de défense (CED), le quotidien anversois La Métropole plaide pour une relance du processus de construction d'une Europe supranationale dans laquelle les trois pays membres du Benelux sont invités à jouer les premiers rôles.
Lors de son congrès des 1er et 2 octobre 1954, les membres de la Confédération néerlandaise des syndicats (NVV) adoptent une résolution dans laquelle ils se félicitent de la mise en place de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et insistent sur l'importance de l'intégration économique et sociale de l'Europe.
Le 2 décembre 1954, l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) adopte une résolution relative à l'instauration d'un groupe de travail chargé notamment de lui faire rapport sur une éventuelle extension de la compétence matérielle de la Communauté, et d'une manière plus générale, sur une extension du marché commun européen.
Le 9 mai 1955, l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) adopte une résolution par laquelle elle décide de constituer un groupe de travail temporaire chargé notamment de lui faire rapport sur une éventuelle extension de la compétence matérielle de la Communauté, et d'une manière plus générale, sur une extension du marché commun européen.
Le 14 janvier 1955, Hermann J. Abs, membre du comité de direction à la Süddeutschen Bank et président du comité allemand de la Ligue européenne de coopération économique (LECE), passe en revue les différents aspects de la coopération économique en Europe.
Le 5 avril 1955, Pierre Uri, directeur de la division "Économie générale" à la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), rédige une note dans laquelle il décrit notamment les avantages combinés d'une intégration institutionnelle et fonctionnelle des économies européennes dans la perspective d'un marché commun général en Europe.
Le 13 avril 1955, Jean Monnet, président démissionnaire de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), et Pierre Uri, directeur à la Haute Autorité, rédigent ensemble un projet de déclaration des Six sur l'intégration progressive des marchés nationaux.
Le 7 avril 1955, le département "Intégration européenne" du ministère français des Affaires étrangères fait le point sur les voies possibles d'une poursuite de la construction européenne en précisant toutefois sa préférence pour une intégration économique généralisée.
Le 26 janvier 1956, lors d'une réunion du Mouvement européen à Luxembourg, René Mayer, président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), prend la parole pour souligner l'importance d'une relance du processus d'intégration européenne.
En janvier 1956, Hermann J. Abs, membre du comité de direction à la Süddeutschen Bank et président du comité allemand de la Ligue européenne de coopération économique (LECE), se fait l'avocat d'une coopération économique en Europe sur un mode essentiellement libéral en fustigeant à la fois les protectionnismes, l'interventionnisme d'État et le dirigisme supranational.
En 1981, Robert Rothschild, ancien chef de cabinet de Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, retrace le déroulement et les moments forts de la relance européenne et de la négociation du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
En 1981, Joseph Van Tichelen, ancien directeur général du ministère belge des Affaires économiques, rappelle quels furent les enjeux et les étapes successives de la relance européenne et de la négociation du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
En mai 1984, le comte Jean-Charles Snoy et d'Oppuers, ancien président de la délégation belge au Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine et à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque dans le périodique bruxellois La Revue générale ses souvenirs de la relance européenne et de la signature des traités de Rome.
Dans ses Mémoires, le comte Jean-Charles Snoy et d'Oppuers, ancien président de la délégation belge au Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine et à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom et ancien président du Comité intérimaire pour le Marché commun et l'Euratom, retrace le déroulement de la relance européenne et ses temps forts.
Auf einem Kolloquium vom 25. bis 28. März 1987 in Rom anlässlich des dreißigsten Jahrestages der Unterzeichnung der Verträge zur Gründung der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und der Europäischen Atomgemeinschaft (EAG) spricht der ehemalige französische Außenminister Christian Pineau über die Rolle, die der französische Staatspräsident René Coty Anfang 1956 bei der Wiederaufnahme des europäischen Integrationsprozesses spielte.
Anlässlich des dreißigsten Jahrestages der Unterzeichnung der Verträge zur Gründung der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und der Europäischen Atomgemeinschaft (EAG oder Euratom) fand vom 25. bis zum 28. März 1987 in Rom ein Kolloquium statt. In seinem Beitrag erinnert der ehemalige französische Außenminister Christian Pineau an die politische Lage in Frankreich zum Zeitpunkt der Verhandlungen über einen neuen Anlauf für den europäischen Integrationsprozess und fasst die Strategie der französischen Regierung zusammen.
Dans une interview réalisée le 26 mars 1997 à Bruxelles, à l'occasion de la commémoration du quarantième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Hans von der Groeben, ancien président du Comité du marché commun lors de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, résume les différentes étapes et les principales difficultés apparues lors du processus de relance de l'intégration européenne.
Auf einem Kolloquium vom 25. bis 28. März 1987 in Rom anlässlich des dreißigsten Jahrestages der Unterzeichnung der Verträge zur Gründung der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und der Europäischen Atomgemeinschaft (EAG oder Euratom) spricht Hans von der Groeben, ehemaliger Direktor der Unterabteilung für die Europäische Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS) im deutschen Wirtschaftsministerium (1952-1958) und ehemaliger Sprecher der Bundesregierung im Koordinierungsausschuss des Besonderen Ministerrates der Hohen Behörde der EGKS, über die Überlegungen, die auf deutscher Seite über die Wiederaufnahme der europäischen Integration mit dem Ziel der Gründung eines gemeinsamen Marktes angestellt wurden.
Auf einem Kolloquium vom 25. bis 28. März 1987 in Rom anlässlich des dreißigsten Jahrestages der Unterzeichnung der Verträge zur Gründung der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und der Europäischen Atomgemeinschaft (EAG oder Euratom) erläutert Jacques Van Helmont, ehemaliger Mitarbeiter Jean Monnets in der Hohen Behörde der Europäischen Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS), welche Auswirkungen das Scheitern der Ratifizierung des Vertrags zur Gründung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) durch Frankreich auf Beitrag Jean Monnets und der EGKS zur Wiederaufnahme des europäischen Integrationsprozesses hatte.
Auf einem Kolloquium vom 25. bis 28. März 1987 in Rom anlässlich des dreißigsten Jahrestages der Unterzeichnung der Verträge zur Gründung der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und der Europäischen Atomgemeinschaft (EAG oder Euratom) beschreibt Baron Jean-Charles Snoy et d’Oppuers, ehemaliger belgischer Delegationsleiter beim Regierungsausschuss von Messina und bei der Regierungskonferenz für den Gemeinsamen Markt und Euratom, die Haltung des Vereinigten Königreichs und dessen Schatzkanzlers Harold Macmillan gegenüber dem Bericht der Delegationsleiter der Sechs zum Gemeinsamen Markt und Euratom („Spaak-Bericht“).
Auf einem Kolloquium vom 25. bis 28. März 1987 in Rom anlässlich des dreißigsten Jahrestages der Unterzeichnung der Verträge zur Gründung der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und der Europäischen Atomgemeinschaft (EAG oder Euratom) beschreibt Cesidio Guazzaroni, ehemaliger Vize-Kabinettchef der italienischen Außenminister Carlo Sforza, Alcide de Gasperi und Giuseppe Pella und ehemaliger Sekretär der italienischen Delegation bei der Regierungskonferenz für den Gemeinsamen Markt und Euratom, die Herausforderungen der europäischen „Relance“ für Italien im Rahmen seiner Außenpolitik.
Auf einem Kolloquium vom 25. bis 28. März 1987 in Rom anlässlich des dreißigsten Jahrestages der Unterzeichnung der Verträge zur Gründung der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und der Europäischen Atomgemeinschaft (EAG) beschreibt der Niederländer Dirk Spierenburg, ehemaliges Mitglied der Hohen Behörde der Europäischen Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS), die Haltung der niederländischen Behörden und insbesondere des Premierministers Willem Drees gegenüber dem Vorhaben eines gemeinsamen Marktes.
In diesem Interview erzählt Max Kohnstamm, von 1952 bis 1956 Sekretär der Hohen Behörde der Europäischen Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS), wie der Präsident der Hohen Behörde Jean Monnet auf die Weigerung der französischen Nationalversammlung am 31. August 1954 reagierte, den Vertrag über die Europäische Verteidigungsgemeinschaft (EVG) zu ratifizieren.