Le 26 février 1969, le quotidien italien Corriere della Sera détaille la complexité du contentieux économique entre la Communauté économique européenne (CEE) et les États-Unis.
Dans ses Mémoires, Henry Kissinger, ancien secrétaire d'État américain, rappelle les difficiles relations commerciales entre les États-Unis et la Communauté économique européenne (CEE) au début des années soixante-dix.
Le 18 janvier 1971, commentant la visite de Phillip Trezise, secrétaire d'État américain aux Affaires économiques, auprès des autorités européennes à Bruxelles, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung revient sur les différends économiques qui opposent les États-Unis et la Communauté économique européenne (CEE).
Le 25 février 1971, le président américain Richard Nixon adresse au Congrès un rapport sur la future politique étrangère des États-Unis et décrit l'état des relations économiques du pays avec la Communauté économique européenne (CEE).
En avril 1971, le président de la Commission européenne, Franco Maria Malfatti, effectue une visite aux États-Unis où il est notamment reçu à la Maison Blanche par le président Richard Nixon.
Le 22 juin 1971, le quotidien français Le Figaro examine les récriminations des agriculteurs et des responsables politiques américains à l'encontre des principes de la Politique agricole commune (PAC) européenne.
En novembre 1971, le mensuel 30 jours d'Europe rappelle les origines des rapports difficiles entre l'Europe et les États-Unis et analyse les griefs commerciaux et monétaires que s'échangent les deux parties.
Le 10 novembre 1971, le quotidien allemand Die Welt décrit les tensions économiques qui opposent les États-Unis à la Communauté économique européenne (CEE).
"Exportateurs US: Er... peut-on en parler?" En novembre 1971, le caricaturiste néo-zélandais Leslie Gibbard illustre les difficiles relations commerciales entre la Communauté économique européenne (CEE) et les États-Unis. A gauche en chef indien, le président américain Richard Nixon.
Le 20 février 1973, Joseph A. Greenwald, chef de la mission américaine auprès des Communautés européennes, décrit devant l'American and Common Market Club de Bruxelles la nature et l'état des relations politiques et économiques entre les États-Unis et les Communautés européennes.
Le 5 avril 1973, William J. Casey, sous-secrétaire américain pour les Affaires économiques, décrit devant le comité pour les Affaires étrangères de la Chambre américaine des députés la ligne de conduite politique des États-Unis face à la Communauté européenne.
Le 23 avril 1973, lors du déjeuner annuel de l'Associated Press à New York, Henry Kissinger, conseiller pour les affaires de sécurité nationale auprès du président américain Richard Nixon, prononce un discours qui met en lumière l'évolution des relations euro-américaines.
Le 20 mars 1974, le caricaturiste néerlandais d'origine berlinoise Fritz Behrendt ironise sur l’évolution des relations entre l'Europe et les États-Unis au cours des 20 dernières années. Si en 1954, les États-Unis dominent les relations avec les pays européens, ces derniers écoutant avec attention les conseils prodigués par l'Oncle Sam, le rapport de force semble s'être inversé en 1974. L'Europe des Six a grandi, elle s'est progressivement unifiée, dispose d'un marché commun et d'un secteur industriel en plein développement et tend à affirmer son indépendance face à l'Oncle Sam. Dans les années soixante-dix, de nombreux pays au sein de la Communauté européenne (CE) contestent l'interdépendance économique, monétaire, commercial et énergétique à l'égard des États-Unis.
Le 21 mars 1974, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung s'interroge sur les tensions entre les États-Unis et la Communauté économique européenne (CEE).
En mai 1974, le mensuel français Le Monde diplomatique analyse l'évolution des capitaux américains investis dans la Communauté européenne entre 1960 et son premier élargissement en 1972.
Au milieu des années soixante-dix, les relations entre les États-Unis et les Communautés européennes se durcissent. L'Europe et l'Oncle Sam se disputent alors le parapluie, symbole de protection et d'indépendance.
Commentant la visite à Washington de Roy Jenkins, président de la Commission européenne, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung s'interroge sur l'évolution des relations économiques et commerciales entre la Communauté économique européenne (CEE) et les États-Unis.
Le 16 décembre 1973, dans sa chronique hebdomadaire sur les ondes de RTL, la journaliste Geneviève Tabouis évoque le sommet européen de Copenhague des 14 et 15 décembre. A cette occasion, elle dresse un bref portrait des relations entre les États-Unis et l'Europe.
Le 18 novembre 1972, l'hebdomadaire français Perspectives économiques s'inquiète de l'issue des futures négociations commerciales du GATT et prévoit une rude bataille entre les négociateurs américains et européens.
Le 10 avril 1973, la Commission européenne transmet au Conseil ses suggestions sur la position à adopter par les Neuf lors des prochaines négociations commerciales et multilatérales du GATT.
Le 15 mai 1973, lors d'une réunion du Conseil des ministres des Communautés européennes, Michel Jobert, ministre français des Affaires étrangères, critique une communication de la Commission sur les orientations générales à adopter par l'Europe des Neuf en prévision des futures négociations commerciales du GATT.
En mai 1973, le mensuel 30 jours d'Europe détaille les mesures envisagées par les États-Unis et par la Communauté économique européenne (CEE) pour éviter toute guerre commerciale entre les deux blocs économiques.
Le 8 septembre 1973, le président américain Richard Nixon se prononce sur l'ouverture prochaine des négociations tarifaires dites du Tokyo Round et réexplique la position des États-Unis en ce qui concerne l'organisation future du commerce mondial.
Le 12 septembre 1973, au cours de la séance inaugurale à Tokyo des négociations commerciales multilatérales du GATT, Valéry Giscard d'Estaing, ministre français de l'Économie et des Finances, donne son interprétation des enjeux de la conférence.
Le 12 septembre 1973, au cours de la séance inaugurale à Tokyo des négociations commerciales multilatérales du GATT, Hans Friderichs, ministre allemand des Finances, s'exprime sur les moyens de renforcer et d'améliorer les règles du commerce international.
Le 12 septembre 1973, lors de l'ouverture à Tokyo des négociations commerciales du GATT, Christopher Soames, vice-président de la Commission européenne, décrit la position des Neuf sur l'organisation du commerce international.
Le 14 septembre 1973, à l'issue de la conférence ministérielle du GATT dite du Tokyo Round, la déclaration officielle fixe les buts à atteindre au cours des prochaines négociations commerciales internationales.
Le 18 juin 1975, le Parlement européen appelle les États membres de la Communauté économique européenne (CEE) engagés dans les négociations multilatérales du GATT à œuvrer en faveur d'une organisation équitable du commerce mondial.
Le 17 janvier 1978, le quotidien français Le Monde décrit les points forts des négociations successives sur le commerce international depuis l'entrée en vigueur, en 1948, de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT).
Dans cette interview, Edmund Wellenstein, qui fut entre 1973 et 1976 directeur général des relations extérieures à la Commission européenne, décrit la position de la Commission européenne dans la négociation du Tokyo Round visant à une libéralisation du commerce mondial via une réduction des droits de douane sur les principaux produits industriels.
Le 17 janvier 1978, le quotidien français Le Monde détaille les principaux sujets de discussion au programme de la phase terminale des négociations du GATT et analyse les décisions adoptées en ce qui concerne l'abaissement des tarifs douaniers.
Le 15 août 1971, dans un discours prononcé à la Nation, le président américain Richard Nixon annonce la mise en place de sa nouvelle politique économique et détaille les mesures envisagées pour accroître la prospérité des États-Unis.
Les 16, 17 et 18 août 1971, la Commission européenne exprime son étonnement face à la décision du président américain Richard Nixon de mettre fin à la convertibilité en or du dollar et de surtaxer les importations de 10 %.
Le 17 août 1971, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung s'interroge sur les conséquences pour le commerce international de la suspension par les États-Unis de la convertibilité en or du dollar.
Le 17 août 1971, le quotidien italien Corriere della Sera s'inquiète des conséquences économiques en Europe et dans le monde de la décision unilatérale des États-Unis de suspendre la convertibilité en or du dollar.
Le 17 août 1971, le quotidien français Le Monde détaille les raisons de l'annonce par les États-Unis de la suppression de la convertibilité en or du dollar et évoque le risque d'une dévaluation de la monnaie américaine.
"La monnaie de référence" Le 17 août 1971, le caricaturiste Murschetz présente dans les colonnes du quotidien allemand Süddeutsche Zeitung la fin de la convertibilité en or du dollar comme un signe avant-coureur de la chute du cours du dollar sur les marchés boursiers mondiaux.
Le 18 août 1971, le Président de la République française commente la décision américaine de mettre fin à la convertibilité en or du dollar et prône la mise en place d'une coopération monétaire plus étroite au niveau communautaire.
Le 24 août 1971, lors d'une réunion du Conseil du GATT à Genève, la Communauté européenne dénonce les mesures protectionnistes en matière de commerce international décidées par le président américain Richard Nixon.
Le 10 septembre 1971, la Commission européenne dresse à l'attention du Conseil de ministres des Communautés européennes les mesures envisagées par l'Europe pour faire face à la décision américaine de mettre fin à la convertibilité du dollar en or.
Le 25 septembre 1971, lors d'une conférence de presse à l'Élysée, le président Georges Pompidou, analyse la politique monétaire des États-Unis et plaide pour une réorganisation du système monétaire international.
Le 25 avril 1994, le quotidien français Le Monde rappelle quelles étaient les motivations américaines pour décider, le 15 août 1971, de suspendre la convertibilité en or du dollar.