Le 30 janvier 2001, lors d'un discours au Centre français de l'Université de Fribourg-en-Brisgau, Joschka Fischer, ministre allemand des Affaires étrangères, souligne l'importance d'un renforcement du partenariat franco-allemand pour l'avenir de l'intégration européenne.
Le 26 février 2001, lors de la cérémonie de signature du traité de Nice, Jacques Chirac, président de la République française, Lionel Jospin, Premier ministre français, Göran Persson, Premier ministre suédois et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, Nicole Fontaine, présidente du Parlement européen, et Romano Prodi, président de la Commission européenne, se succèdent à la tribune pour saluer la signature du traité et rappeler les futurs défis de l'Union européenne.
Le 26 février 2001, Jacques Chirac, président de la République française, se félicite de la signature du traité de Nice et rappelle les enjeux futurs de l'Union européenne.
Le 26 février 2001, à l'occasion de la signature du traité de Nice, Göran Persson, Premier ministre suédois, souligne l'importance du traité pour préparer l'élargissement de l'Union européenne vers l'Est et pour mieux lutter contre le chômage.
Le 27 février 2001, au lendemain de la signature du traité de Nice, le quotidien britannique The Guardian commente les discussions sur la politique européenne de défense.
Le 9 mai 2001, dans un communiqué à la presse, les Verts français (Parti écologiste) appellent les députés et sénateurs français à ne pas ratifier le traité de Nice.
Le 5 juin 2001, lors de la présentation à l'Assemblée nationale française du projet de loi pour la ratification du traité de Nice, Hubert Védrine, ministre français des Affaires étrangères, détaille les points forts du nouveau traité européen.
Le 5 juin 2001, le quotidien français Le Figaro détaille les diverses positions des députés de l'Assemblée nationale face aux enjeux de la ratification du traité de Nice.
Le 7 juin 2001, Bertie Ahern, Premier ministre irlandais, dépose son bulletin dans l'urne en vue du référendum organisé en Irlande pour la ratification du traité de Nice.
Le 9 juin 2001, le quotidien madrilène El País revient sur les conséquences de la victoire du « non » lors du référendum irlandais relatif à la ratification du traité de Nice. Le choix des Irlandais pose la question de l’avenir du traité.
Le 11 juin 2001, Michel Barnier, commissaire européen chargé de la politique régionale et de la réforme des institutions, accorde au quotidien français Le Figaro, un entretien dans lequel il commente le refus des Irlandais de ratifier le traité de Nice.
Le 12 juin 2001, commentant le référendum organisé le 7 juin en Irlande pour la ratification du traité de Nice, Bertie Ahern, Premier ministre irlandais, déplore le résultat négatif du vote malgré ses appels à voter "oui" au traité.
Le 16 juin 2001, suite au refus du peuple irlandais de ratifier le traité de Nice, le quotidien Luxemburger Wort met en garde ses lecteurs contre une vision trop utilitariste de l'Union européenne.
Le 16 juin 2001, suite au refus des Irlandais de ratifier le traité de Nice, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes, met les Quinze en garde contre la poursuite de leur politique communautaire.
En juillet 2001, suite au refus, le 7 juin, des Irlandais de ratifier le traité de Nice, Rocco Antonio Cangelosi, directeur général pour l'intégration européenne au ministère italien des Affaires étrangères, se penche dans la revue Affari esteri sur le vote des Irlandais et arrive notamment à la conclusion que le fossé entre les institutions de l'Union européenne et les citoyens européens est de plus en plus important.
Le 19 juillet 2002, Dick Roche, ministre irlandais chargé des Affaires européennes, souligne l'importance pour les Irlandais du traité de Nice et de l'Union européenne et met en garde ses concitoyens contre les erreurs de la Grande-Bretagne en matière de politique européenne.
Le 2 septembre 2002, en vue du second référendum irlandais sur le traité de Nice, Bertie Ahern, Premier ministre irlandais, lance la campagne d'information du gouvernement de Dublin sur le traité de Nice et les déclarations de Séville.
Le 21 juin 2002, le gouvernement irlandais fait au Conseil européen de Séville une déclaration dans laquelle il souligne son attachement à la politique de sécurité et de défense de l'Union européenne.
Le 10 septembre 2002, un mois avant l'organisation du second référendum irlandais sur le traité de Nice, le Premier ministre d'Irlande Bertie Ahern souligne devant le Parlement de Dublin l'importance du traité pour la place de l'Irlande en Europe.
Le 20 octobre 2002, au lendemain du second référendum irlandais sur le traité de Nice, Bertie Ahern, Premier ministre irlandais, se félicite du résultat positif du vote.
Le 20 octobre 2002, au lendemain du second référendum en Irlande sur le traité de Nice, des partisans pro-européens irlandais célèbrent le résultat positif du vote.
Le 21 octobre 2002, au lendemain du second référendum irlandais sur le traité de Nice, le quotidien français Le Figaro décrit les réactions que suscite le résultat positif.
Le 21 octobre 2002, à l’issue du second référendum irlandais sur le traité de Nice, le quotidien madrilène El País estime que le fait d'appeler à des référendums successifs alors que le premier n’a pas atteint les résultats escomptés, n’est pas un signal positif pour la démocratie et ne donne pas une bonne image de la politique européenne.
En 2001, Elmar Brok, représentant du Parlement européen à la Conférence intergouvernementale (CIG) de 2000, critique les résultats du Conseil européen de Nice des 7, 8 et 9 décembre 2000 et souligne la nécessité d'adopter la méthode conventionnelle pour la rédaction d'un nouveau traité européen.
En 2001, l'Allemand Klaus Hänsch, membre et ancien président du Parlement européen, accueille favorablement les résultats du Conseil européen de Nice des 7, 8 et 9 décembre 2000 en insistant pour que le nouveau traité souligne des perspectives nouvelles pour l'Union européenne.
En été 2001, suite à la signature le 26 février du traité de Nice, Alain Lamassoure, député européen et ancien ministre français délégué aux Affaires européennes, fait le point dans la revue Commentaire sur l'état de l'Union européenne et montre en quoi le traité marque un recul dans l'évolution des institutions des Quinze.
Le 27 mars 2001, le Comité d'action pour l'Union européenne adopte à Bruxelles un mémorandum sur l'état de l'Union européenne suite aux décisions prises au Conseil européen de Nice des 7 au 9 décembre 2000 et à la signature du traité de Nice le 26 février 2001.
En automne 2001, Jean-Louis Bourlanges, membre du Parlement européen, critique vivement dans la revue Commentaire le traité de Nice et analyse notamment les déséquilibres qu'il crée entre les partenaires européens de même que ses effets négatifs sur le fonctionnement des institutions de l'Union européenne.