Ce document de 1956, probablement de janvier, détaille les instructions pour la délégation française en vue des négociations pour le marché commun et l'Euratom à la conférence de Bruxelles, les 11 et 12 février 1956.
Le 10 février 1956, Christian de Margerie, chargé d'affaires de France en République fédérale d'Allemagne (RFA), adresse à Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères, un télégramme dans lequel il expose la position des autorités ouest-allemandes à la veille de la conférence des Six à Bruxelles sur les projets de Marché commun et d'Euratom.
Les 11 et 12 février 1956, les ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) se réunissent à Bruxelles afin de dresser un premier bilan des travaux menés au sein du Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine.
Composition des délégations des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) qui participent, les 11 et 12 février 1956, à la conférence de Bruxelles sur le Marché commun et l'Euratom.
Les 11 et 12 février 1956, les ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) se réunissent à Bruxelles pour examiner l'état d'avancement des travaux sur les projets de Marché commun et d'Euratom. A l'issue de leur réunion, ils font part de leurs conclusions à la presse.
Le 15 février 1956, le service de coopération économique du ministère français des Affaires étrangères rédige une note qui détaille les résultats de la conférence, les 11 et 12 février à Bruxelles, des ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 23 février 1956, après la conférence des Six à Bruxelles les 11 et 12 février et face aux réticences de l'opinion française à l'égard du Marché commun, les services du Quai d'Orsay préconisent la constitution d'une commission de spécialistes pour réaliser une étude de caractère technique sur le Marché commun.
Le 9 février 1956, à la veille de la conférence à Bruxelles des ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) sur la relance européenne, le quotidien communiste français L'Humanité dénonce les dangers du futur pool atomique.
Le 12 février 1956, commentant la réunion à Bruxelles des ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), le quotidien italien Il nuovo Corriere della Sera décrit l'état d'avancement des négociations sur la relance européenne.
Le 20 février 1956, après la conférence des Six à Bruxelles, Paul Struye, sénateur catholique belge et membre de l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), analyse dans les colonnes du quotidien La Libre Belgique la question de la relance européenne et les débats sur le principe de la supranationalité.
Le 14 février 1956, le quotidien français L'information rend compte des résultats de la conférence qui, les 11 et 12 février 1956, a réuni à Bruxelles les ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) au sujet de l'Euratom.
Le 22 février 1956, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel commente la position des uns et des autres sur le projet de Communauté atomique européenne lors de la réunion à Bruxelles des ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 14 février 1956, le quotidien français Le Monde se penche sur les difficultés auxquelles se heurtent les ministres des Affaires étrangères des Six dans la mise en œuvre des solutions examinées à Bruxelles au sein du Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine et placé sous la présidence de Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères.
Le 18 février 1956, commentant les résultats de la conférence à Bruxelles des ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), l'hebdomadaire catholique belge La Relève dresse un bilan mi-figue mi-raisin des travaux en cours au sein du Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine et pointe notamment les enjeux de la méthode à suivre pour réaliser l'Euratom.
Le 14 février 1956, soit deux jours après la réunion à Bruxelles des six ministres des Affaires étrangères des États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), la Confédération internationale des syndicats chrétiens (CISL) fait le point sur l'état d'avancement des travaux en cours au sein du comité Spaak.
En mars 1956, André Renard, secrétaire général adjoint de la Fédération générale des travailleurs de Belgique (FGTB) et président du Comité consultatif de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), publie dans la revue bruxelloise Synthèses un article dans lequel, déplorant les méthodes de travail du comité Spaak, il insiste sur la nécessité d'associer étroitement les organisations syndicales des Six au processus de la relance européenne et à la mise en œuvre d'un marché commun.