Le 10 mai 1950, le comte Carlo Sforza, ministre italien des Affaires étrangères, exprime sa gratitude envers Robert Schuman et l'assure de son soutien à l'égard de l'initiative franco-allemande.
Le 12 mai 1950, le caricaturiste du quotidien socialiste italien Avanti critique la proposition du ministre français des Affaires étrangères Robert Schuman visant la mise en commun de la production franco-allemande du charbon et de l'acier, un plan tout au service des intérêts américains.
Le 17 mai 1950, le quotidien socialiste italien Avanti commente la déclaration Schuman et examine les avantages et les dangers d'une mise en commun de la production franco-allemande du charbon et de l'acier.
Le 22 juin 1950, le quotidien socialiste italien Avanti s'interroge sur les possibles enjeux politiques et économiques du plan Schuman et pointe les difficultés de la mise en oeuvre du projet français.
Le 10 décembre 1951, Alcide de Gasperi, président du Conseil et ministre italien des Affaires étrangères, prononce devant l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe un discours dans lequel il insiste sur la volonté politique nécessaire pour le succès du plan Schuman.