En juin 1948, Denis de Rougemont, rapporteur un mois plus tôt de la commission culturelle du congrès européen de La Haye, définit ce qui fait à ses yeux la spécificité de l'identité culturelle et personnaliste de l'Europe.
L'écrivain suisse Denis de Rougemont assiste au Congrès de Montreux. Fédéraliste convaincu, il condamne le scepticisme, voire l'hostilité, d'une grande partie de l'opinion qui, selon lui, accumule les clichés à l'encontre des projets d'unification européenne.
En 1948, oscillant entre amusement et admiration, l'essayiste et militant fédéraliste suisse Denis de Rougemont décrit l'assistance du congrès de l'Europe à La Haye en mai 1948.
En 1950, le mensuel Fédération reproduit le discours que l'essayiste et militant fédéraliste suisse Denis de Rougemont a prononcé le 8 décembre 1948 à Lausanne en ouverture de la conférence européenne de la culture.
Au Congrès de Montreux du 27 au 31 août 1947, l'écrivain suisse Denis de Rougemont expose les fondements spirituels du fédéralisme dont la Confédération helvétique pourrait servir de modèle.
En 1948, Denis de Rougemont, délégué général de l'Union européenne des fédéralistes (UEF), rend compte des tensions doctrinales qui ont émaillé le congrès européen de La Haye et insiste notamment sur l'importance de l'approche fédérale pour construire une Europe unie.
En octobre 1949, l'essayiste et militant fédéraliste suisse Denis de Rougemont commente la réunion inaugurale de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe à Strasbourg et évoque les débats entre fédéralistes et unionistes sur l'avenir du continent européen.
Le 7 octobre 1950, lors de l'inauguration du Centre européen de la culture à Genève, l'essayiste et militant fédéraliste suisse Denis de Rougemont prononce un discours dans lequel il pointe les tâches essentielles du Centre placé sous sa direction.
Le 9 décembre 1949, commentant l'ouverture la veille de la conférence européenne de la culture, la Gazette de Lausanne publie un échange de lettres entre l'essayiste suisse Denis de Rougemont et l'écrivain roumain Virgil Gheorghiu qui décrit les raisons pour lesquelles il hésite à s'y rendre. En réponse, Denis de Rougemont détaille les raisons d'espérer et appelle Gheorghiu à devenir un "pessimiste actif".