Programme du symposium: "L'histoire contemporaine à l'ère digitale" organisé par l'Université du Luxembourg (Master en Histoire européenne contemporaine) et le Centre Virtuel de la Connaissance sur l'Europe (CVCE) en octobre 2009.
Marianne Backes, Directrice du CVCE, Rolf Tarrach, recteur de l’Université du Luxembourg, et René Leboutte de l’Université du Luxembourg, annoncent le déroulement des deux journées du symposium intitulé L’histoire contemporaine à l’ère digitale.
Dans ce second panel de la troisième partie du symposium, présidé par Marianne Backes, directrice du Centre Virtuel de la Connaissance sur l’Europe (CVCE), Richard Hacken de la Brigham Young University revient sur l’évolution de la documentation en ligne de l’Histoire contemporaine durant les douze dernières années. Enrica Salvatori de l’Università di Pisa évoque l’enseignement de l’Histoire par et en dehors d’Internet.
Dans ce premier panel de la troisième partie du symposium, présidé par René Leboutte de l’Université du Luxembourg, Paul Arthur de l’Umeå University compare l’Histoire numérique en Australie et en Nouvelle-Zélande. Marie-Pierre Besnard de l’IUT de Saint-Lô parle de l’expérience du e-musée. Puis Cristina Blanco Sio-Lopez du Centre Virtuel de la Connaissance sur l’Europe (CVCE) et Milagros García Pérez de la Biblioteca Municipal de Estudios Locales reviennent sur la coopération entre la Biblioteca Municipal de Estudios Locales et les chercheurs en Histoire contemporaine. Enfin, Grégory Miura de l’Université de Bordeaux III et de l’Observatoire des Mondes Numériques en Sciences Humaines (OMNSH), évoque l’archéologie du web comme science auxiliaire d’une Histoire du temps présent.
Dans ce premier panel de la deuxième partie du symposium, présidé par René Leboutte de l’Université du Luxembourg, Genaro Oliveira de l’University of Auckland revient sur le développement des différents logiciels permettant une nouvelle écriture de l’Histoire. Puis Gerben Zaagsma de l’University College London évoque le traitement de l’histoire juive européenne sur Internet. Enfin, Olivier Le Deuff de Lyon III examine l’utilisation des nouveaux outils et notamment du web 2.0 dans l’écriture contemporaine de l’Histoire.
Dans sa présentation, Gino Roncaglia de l’Università della Tuscia énonce les différents principes et outils du web 2.0 en mentionnant son apport auprès des nouveaux chercheurs.
Dans sa présentation, Marin Dacos, Directeur du Centre pour l'édition électronique ouverte (CLEO), insiste sur l’idée de développement d’une cyberinfrastructure de la discipline historique en rappelant les fondements de celle-ci et ses nécessaires adaptations au monde numérique.
Dans sa conclusion, Marianne Backes, directrice du Centre Virtuel de la Connaissance sur l’Europe (CVCE), revient sur les communications des deux journées du symposium et particulièrement sur l’idée d’un manifeste comme point de départ d’une réflexion interdisciplinaire autour des nouvelles technologies et de l’Histoire contemporaine.
Dans ce premier panel de la première partie du symposium, présidé par Philippe Rygiel de l’Université Paris I, Andreas Bagias du Centre Archivistique et Documentaire (CARDOC) expose l’organisation et exploitation des archives du Parlement Européen dans un environnement électronique, Annick Batard de l’Université de Paris XIII dénonce l’emprise du web sur la presse écrite généraliste française et Tsuriel Rashi (Lifshitz College of Education) revient sur l’importance de la construction d’une mémoire numérique face au négationnisme.