En mai 1945, la porte de Brandebourg, située à l’ouest du centre-ville de Berlin, est entourée par un champ de ruines et porte les traces des derniers combats entre l'armée allemande et les troupes soviétiques.

En 1944, la petite ville normande de Coutances est très durement touchée par les bombardements alliés.

En mai 1940, les raids aériens et les bombardements opérés par la Luftwaffe détruisent une grande partie du centre historique de Rotterdam.

En 1945 à l'issue de la Seconde Guerre mondiale, la ville de Berlin offre un visage de désolation, les destructions et les ruines sont omniprésentes dans la capitale allemande.

En septembre 1944, devant l'avancée des troupes alliées au Luxembourg, l'occupant nazi en retraite fait sauter le pont de Dommeldange entrainant la destruction totale de l'ouvrage et d'importants dégâts aux habitations avoisinantes. Près de 200 maisons de ce quartier de Luxembourg-ville ont été touchées par les effets de la déflagration dont près de 30 ont dû être entièrement démolies par la suite.

En octobre 1946, Jos Schroeder, commissaire général à la Reconstruction au Luxembourg, dresse le bilan des destructions matérielles subies par le Grand-Duché et détaille les premières mesures envisagées pour la reconstruction du pays.

Le 3 avril 1946, à l'occasion de l'ouverture de la Conférence extraordinaire du ravitaillement de l'Europe en céréales, le ministre des Affaires étrangères britannique, Ernest Bevin, souligne l'importance d'oeuvrer en commun pour mettre fin à la pénurie de vivres en Europe.

Le 3 avril 1946, lors de la Conférence de Londres sur le ravitaillement en céréales de l'Europe, le Commission des céréales du Combined Food Board expose la situation du ravitaillement en Europe et décrit le travail accompli par cet organisme depuis sa création.

Le 3 avril 1946, à la Conférence de Londres sur le ravitaillement, Guillaume Konsbruck, ministre luxembourgeois du Ravitaillement, de l'Approvisionnement et des Affaires économiques, expose la situation agricole du Luxembourg au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

"Après Schuman, Queuille promet la baisse". Le 15 janvier 1949, l'hebdomadaire messin Le Patriote mosellan, d'obédience communiste, s'insurge contre les augmentations des prix des produits alimentaires et énergétiques et pointe l'incapacité des gouvernements Schuman et Queuille à freiner cette tendance.