Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, membre du Parlement européen de 1984 à 1999 (Parti populaire européen – PPE), de 1999 à 2004 (Mouvement des Citoyens pour le Changement – MCC), de 2004 à 2009 et depuis 2014 (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe – ADLE) ainsi que président de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures de 2008 à 2009, explique le rôle d’arbitrage joué par la Conférence des présidents des commissions (CPC) au Parlement européen. Gérard Deprez souligne que la CPC règle de nombreux conflits concernant la répartition des compétences et des attributions entre les différentes commissions au sein du Parlement européen.

Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, membre du Parlement européen de 1984 à 1999 (Parti populaire européen – PPE), de 1999 à 2004 (Mouvement des Citoyens pour le Changement – MCC), de 2004 à 2009 et depuis 2014 (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe – ADLE) et président de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures de 2008 à 2009, explique le concept de citoyenneté européenne. Gérard Deprez souligne que, selon lui, la citoyenneté européenne ne se substitue pas à la citoyenneté nationale.

Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, membre du Parlement européen de 1984 à 1999 (Parti populaire européen – PPE), de 1999 à 2004 (Mouvement des Citoyens pour le Changement – MCC), de 2004 à 2009 et depuis 2014 (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe – ADLE), président de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures de 2008 à 2009, partage ses souvenirs sur la création de la fonction du coordinateur de l'Union européenne pour la lutte contre le terrorisme en 2004. Gérard Deprez décrit les personnalités de Gijs de Vries, qui occupait ce poste de 2004 à 2007, et de Gilles de Kerchove, qui exerce cette fonction depuis 2007.

Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, membre du Parlement européen de 1984 à 1999 (Parti populaire européen – PPE), de 1999 à 2004 (Mouvement des Citoyens pour le Changement – MCC), de 2004 à 2009 et depuis 2014 (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe – ADLE) ainsi que président de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures de 2008 à 2009, revient sur la politique d’immigration de l’Union européenne en contestant l’image répandue d’une "Europe-forteresse". Gérard Deprez cite des chiffres et aborde la politique d’immigration de l’Union européenne, notamment concernant l’immigration clandestine.

Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, membre du Parlement européen de 1984 à 1999 (Parti populaire européen – PPE), de 1999 à 2004 (Mouvement des Citoyens pour le Changement – MCC), de 2004 à 2009 et depuis 2014 (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe – ADLE) ainsi que président de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures de 2008 à 2009, mentionne les progrès réalisés pour la liberté de circulation par l’établissement de l’espace Schengen. Gérard Deprez explique que la création d’Europol et d’Eurojust améliore la coordination policière et judiciaire, mais il souligne aussi les progrès lents en matière de politique d’immigration de l’Union européenne.

Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, membre du Parlement européen de 1984 à 1999 (Parti populaire européen – PPE), de 1999 à 2004 (Mouvement des Citoyens pour le Changement – MCC), de 2004 à 2009 et depuis 2014 (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe – ADLE), président de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures de 2008 à 2009 ainsi que délégué général du Parti démocrate européen (PDE) depuis 2004, s’exprime sur les questions de l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne et des frontières de l’Europe. Gérard Deprez précise son opposition à l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne en avançant des arguments, notamment le nationalisme turque.

Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, président du Parti social-chrétien (PSC) de 1981 à 1996, membre du Parlement européen de 1984 à 1999 (Parti populaire européen – PPE), de 1999 à 2004 (Mouvement des Citoyens pour le Changement – MCC), de 2004 à 2009 et depuis 2014 (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe – ADLE) et délégué général du Parti démocrate européen (PDE) depuis 2004, donne son avis sur la mise en place d’un président permanent du Conseil européen par le traité de Lisbonne, entré en vigueur le 1^er décembre 2009. Gérard Deprez souligne son estime pour la personne d’Herman Van Rompuy, Premier ministre belge de 2008 à 2009, président du sommet de la zone euro depuis 2011 et président du Conseil européen de 2009 à 2014. Enfin, Gérard Deprez revient sur l’importance de la zone euro, élément clé, selon lui, de l’Union européenne.

Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, membre du Parlement européen de 1984 à 1999 (Parti populaire européen – PPE), de 1999 à 2004 (Mouvement des Citoyens pour le Changement – MCC), de 2004 à 2009 et depuis 2014 (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe – ADLE) et délégué général du Parti démocrate européen (PDE) depuis 2004, partage ses réflexions sur l’avenir et les futurs contours de l’Union européenne. Gérard Deprez souligne la nécessité d’établir une gouvernance économique et budgétaire de la zone euro, une véritable coopération et une gestion européenne au niveau de la politique d’immigration et la mise en place d’une capacité européenne de défense. Enfin, Gérard Deprez plaide pour une construction européenne à plusieurs vitesses.

Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, conseiller politique du Parti social-chrétien (PSC) en charge des relations internationales de 1974 à 1979, président du PSC de 1981 à 1996 et membre du Parlement européen de 1984 à 1999 pour le Parti populaire européen (PPE), évoque ses souvenirs des tensions au sein du Parti populaire européen entre Leo Tindemans, Premier ministre belge de 1974 à 1978 et Wilfried Martens, Premier ministre belge de 1979 à 1981 (avril) et de 1981 (décembre) à 1992, lors de la nomination du président du groupe parlementaire du PPE au Parlement européen en 1994. Gérard Deprez revient également sur les conséquences du choix de Wilfried Martens pour le groupe parlementaire du PPE, Wilfried Martens étant alors simultanément président du PPE.

Dans cet extrait d'interview, Gérard Deprez, membre du Parlement européen de 1984 à 1999 (Parti populaire européen – PPE), de 1999 à 2004 (Mouvement des Citoyens pour le Changement – MCC), de 2004 à 2009 et depuis 2014 (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe – ADLE), partage ses réflexions sur la faible valorisation du travail des députés nationaux et européens qui s’occupent des affaires internationales. Gérard Deprez ajoute que, selon lui, les députés peuvent surmonter cette faible valorisation en faisant un bon travail individuel et des contributions significatives.