Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, Premier ministre de la Belgique en 1981 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, suggère à Herman van Rompuy, président du Conseil européen, de prendre ses distances avec ses origines belges pendant la présidence belge du deuxième semestre 2010 afin d’éviter de prêter le flanc à la critique.

Dans cette interview, Georges Berthoin, chef de cabinet (de 1952 à 1956) de Jean Monnet puis de René Mayer à la présidence de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), décrit le déroulement des négociations, en 1954, et la mise en oeuvre, dès 1955, de l'accord d'association entre la CECA et le Royaume-Uni.

Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, Premier ministre de la Belgique en 1981 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, souligne l’importance de l’intégration européenne pour sauvegarder l’unité d’une Belgique régulièrement en proie à des divisions internes.

Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, Premier ministre de la Belgique en 1981 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, décrit les convictions de Baudouin Ier, roi des Belges de 1951 à 1993, en faveur du processus d’intégration européenne.

Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, Premier ministre de la Belgique en 1981 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, décrit l’intérêt et le niveau de connaissances des députés belges pour les questions européennes et se fait l’avocat d’une plus grande participation des députés nationaux au processus de décision européen.

Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, ministre belge des Finances de 1980 à 1981, Premier ministre en 1981, ministre des Affaires économiques de 1981 à 1985 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, décrit le processus décisionnel au sein du gouvernement belge en matière de politique européenne.

Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, ministre belge des Finances de 1980 à 1981, Premier ministre en 1981, ministre des Affaires économiques de 1981 à 1985 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, revient sur l’impact de la régionalisation en Belgique sur la politique étrangère du pays, notamment lors de Conseils européens concernant des domaines dépendant des compétences des régions.

Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, ministre belge des Finances de 1980 à 1981, Premier ministre en 1981, ministre des Affaires économiques de 1981 à 1985 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, souligne le rôle d’intermédiaire que les petits États membres de l’Union européenne peuvent jouer lors des grandes négociations communautaires et revient sur quelques initiatives prises par la Belgique, notamment la proposition belge faite dans le cadre des négociations menant à la signature du traité de Maastricht sur l’Union européenne.

Dans cet extrait d'interview, Jean-Claude Juncker, Premier ministre du Grand-Duché de Luxembourg et président de l'Eurogroupe, revient sur les circonstances qui ont fait que, lorsqu'il était ministre des Finances et président du Conseil Ecofin en 1991, il s'est intéressé aux travaux du «comité Delors», qui ont ouvert la voie de l'Union économique et monétaire (UEM) dans le traité de Maastricht. Jean-Claude Juncker souligne également les points communs entre les travaux du «comité Delors» et ceux du «groupe Werner» chargé d'élaborer, en 1970, un rapport sur la mise en place par étapes d'une union économique et monétaire de la Communauté européenne.

Dans cet extrait d’interview, Jean-Claude Juncker, Premier ministre du Grand-Duché de Luxembourg et président de l’Eurogroupe, qui en 1991 présida la Conférence intergouvernementale sur l’Union économique et monétaire, revient sur les points les plus sensibles et sur les tensions qui ont émaillé les travaux de cette conférence intergouvernementale. Jean-Claude Juncker évoque notamment la question de l’indépendance de la future banque centrale ainsi que du concept de l’opting out britannique dont il est à l’origine.