Dans cet extrait d’interview, Philippe de Schoutheete, représentant permanent de la Belgique auprès de l’Union européenne de 1987 à 1997, revient sur le contexte des Conférences intergouvernementales qui conduiront au traité de Maastricht, et notamment sur la position de la Belgique en faveur de la dimension politique exprimée dans un mémorandum (29 mars 1990) dont il était le principal rédacteur.

Dans cet extrait d’interview, Philippe de Schoutheete, représentant permanent de la Belgique auprès de l’Union européenne de 1987 à 1997, décrit l’organisation et la représentation belges au cours des deux conférences intergouvernementales qui ont abouti au traité de Maastricht, en soulignant le rôle particulièrement proactif de la représentation permanente dans la définition des positions belges.

Dans cet extrait d’interview, Philippe de Schoutheete, représentant permanent de la Belgique auprès de l’Union européenne de 1987 à 1997, évoque le caractère très secret des travaux du comité Delors qui ont précédé la Conférence intergouvernementale (CIG) sur l’Union économique et monétaire (UEM), ce qui était accepté afin d’en favoriser le succès.

Dans cet extrait d’interview, Philippe de Schoutheete, représentant permanent de la Belgique auprès de l’Union européenne de 1987 à 1997, rappelle les problèmes subsistant lors de la Conférence intergouvernementale (CIG) sur l’Union économique et monétaire (UEM), suite au rapport Delors, notamment d’ordre institutionnel, et quant à la non participation éventuelle de certains États membres.

Le 21 juillet 1994, en séance plénière du Parlement européen, Gijs de Vries, député européen et président du groupe des libéraux, démocrates et réformateurs (ELDR), s'exprime à Strasbourg sur la nomination de Jacques Santer au poste de président de la prochaine Commission européenne.

Dans cet extrait d’interview, Philippe de Schoutheete, représentant permanent de la Belgique auprès de l’Union européenne de 1987 à 1997, évoque les origines et les raisons de l’émergence du principe de subsidiarité comme principe fondamental de l’Union européenne.

Dans cet extrait d’interview, Philippe de Schoutheete, représentant permanent de la Belgique auprès de l’Union européenne de 1987 à 1997, relate les difficultés qu’a suscité en Belgique la reconnaissance du droit de vote aux élections locales en faveur des résidents étrangers communautaires, tant lors de la négociation du traité de Maastricht que de sa mise en œuvre.

Dans cet extrait d’interview, Philippe de Schoutheete, représentant permanent de la Belgique auprès de l’Union européenne de 1987 à 1997, revient sur les circonstances du « lundi noir » (30 septembre 1991) de la présidence néerlandaise qui, suite à certains malentendus, a soumis un nouveau projet de traité, plus « intégrationniste » (image de l’arbre) que la proposition luxembourgeoise antérieure (image du temple grec), mais finalement seulement soutenu par la Belgique. L’approche luxembourgeoise sera consacrée dans le traité de Maastricht.

Dans cet extrait d’interview, Philippe de Schoutheete, représentant permanent de la Belgique auprès de l’Union européenne de 1987 à 1997, souligne le rôle capital joué par Helmut Kohl dans l’aboutissement du traité, évoque le rôle joué par les pays du Benelux, et relate l’implication particulière des ministres des finances et des affaires étrangères, qui ne sera plus aussi importante dans les CIG suivantes.

Dans cet extrait d’interview, Philippe de Schoutheete, représentant permanent de la Belgique auprès de l’Union européenne de 1987 à 1997, rappelle deux grands succès de la présidence belge de 1993, d’une part la conclusion d’un accord interinstitutionnel avec le Parlement européen sur les perspectives financières 1993 – 1999, d’autre part la répartition des fonds structurels qui s’ensuivit, notamment grâce à l’intercession du ministre des Affaires étrangères Willy Claes, et de Jacques Delors, président de la Commission européenne.