Le 16 juin 1992, le quotidien irlandais The Irish Times incite les Irlandais à se prononcer en faveur du traité de Maastricht lors du référendum populaire.
En septembre 1992, le mensuel français Le Monde diplomatique critique la politique d'information du gouvernement et des médias français autour du référendum organisé le 20 septembre sur le traité de Maastricht.
Le 5 mai 1992, Philippe Séguin, qui fait campagne pour le "non" au référendum sur le traité de Maastricht prononce un discours à l'Assemblée nationale française, dans lequel il met en garde contre les dangers d'une ratification du nouveau traité européen.
Le 5 mai 1992, Pierre Bérégovoy, Premier ministre français, rappelle à la tribune de l'Assemblée nationale, les enjeux de la ratification du traité de Maastricht.
En septembre 1992, commentant le référendum populaire organisé en France pour la ratification du traité sur l'Union européenne, le caricaturiste allemand Walter Hanel évoque les risques encourus par l'Europe des Douze en cas de victoire des partisans du "non". En arrière-plan, les principaux dirigeants européens ont les traits tirés et s'inquiètent pour l'avenir de l'Europe. De gauche à droite: le président français François Mitterrand, le chancelier Helmut Kohl, le président de la Commission européenne Jacques Delors et le Premier ministre britannique John Major.
Le 15 avril 1992, Ernest Cartigny, membre du Groupe du Rassemblement démocratique et européen, prend la parole au Sénat français sur la question de la ratification du traité de Maastricht.
"Le chaperon rouge". En 1992, dans le cadre des débats sur la ratification du traité sur l'Union européenne, le caricaturiste français Pinatel s'inspire du conte du petit chaperon rouge pour illustrer les craintes des Français à l'encontre du futur traité européen, symbolisé ici par le loup de "Maastricht".
En septembre 1992, le périodique Revue du Marché commun et de l'Union européenne réfléchit sur les conséquences des résultats serrés du référendum populaire français sur la ratification du traité de Maastricht et pose la question de la relance de l'intégration européenne.
Le 17 avril 1992, dans son éditorial, Emanuele Gazzo, rédacteur en chef de l'Agence Europe, confirme l'engagement total du président français François Mitterrand dans la construction de l'Europe unie et la ratification du traité de Maastricht.
Le 19 septembre 1992, le caricaturiste néerlandais d'origine berlinoise Fritz Behrendt ironise sur les craintes et hésitations des Français à l'encontre du futur traité européen de «Maastricht» symbolisé ici par une jeune mariée, qui porte une écharpe «Vive l'Europe». Cette dernière attend avec appréhension la réponse de son prétendant, qui coiffé d'un béret et tenant un panier à courses (baguettes, vins) avec l'inscription «Vive la France», semble hésiter quant à la réponse à fournir: «Faut-il accepter cette union, oui ou non?» Le référendum français du 20 septembre 1992, aboutit finalement à la victoire du «oui», qui l’emporte de justesse avec 51,04 % des suffrages exprimés.