Am 24. Juli 1957 verfasst Pierre Uri, Leiter der Abteilung „Gesamtwirtschaft“ bei der Hohen Behörde der Europäischen Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS), für Jean Monnet, Präsident des Aktionskomitees für die Vereinigten Staaten von Europa einen Vermerk, in dem er eine Reihe von Argumenten für einen einzigen Sitz aller Organe der EGKS, der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und der Europäischen Atomgemeinschaft (Euratom) entwickelt.
Im Juli 1957 zieht der Wirtschaftsexperte Fernand Baudhuin, Professor an der Katholischen Universität Löwen, eine Bilanz der Benelux-Zusammenarbeit, indem er sie mit der künftigen Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) vergleicht.
Im September 1957 beschreibt der Wirtschaftsexperte Maurice Masoin, Professor an der Katholischen Universität Löwen und Generalsekretär des Institut international des finances publiques (IIFP), in der Militärzeitschrift Mars et Mercure die Bedeutung der bevorstehenden Gründung der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) für die belgischen Industriellen.
Du 29 novembre au 1er décembre 1957, à la veille de l'entrée en vigueur des traités de Rome, les membres de la Seconde Table Ronde étudient l'avenir de l'Europe et de ses institutions et font une série de recommandations aux gouvernements intéressés, ainsi qu'aux institutions européennes.
Le 24 décembre 1957, évoquant les négociations en cours sur le futur siège des institutions de la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le caricaturiste français Lap illustre son projet de capitale européenne.
Am 30. Dezember 1957 richtet Walter Hallstein, Staatssekretär im Auswärtigen Amt, ein Schreiben an Bundeskanzler Konrad Adenauer, in dem er ihn über den Stand der Verhandlungen über die Personalfragen in den neuen Gemeinschaftsorganen informiert.
"La famille européenne... Bon appétit !" Le 11 janvier 1958, évoquant l'entrée en vigueur de la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA), le caricaturiste néerlandais Opland illustre les avantages qu'espèrent tirer les États membres des Communautés : la Belgique mange du charbon et de l'acier, la France consomme l'Euratom, l'Allemagne profite du Marché commun, l'Italie dévore les investissements de la Banque européenne d'investissement (BEI) tandis que les Pays-Bas sont représentés sous la forme d'un signet inséré dans le volume du droit européen et que le maigre chat Sicco Mansholt, membre néerlandais et vice-président de la Commission de la CEE, doit se contenter des restes.
Le 15 janvier 1958, le caricaturiste d’origine espagnole César ironise sur les négociations diplomatiques en cours devant déterminer le futur siège des institutions de la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Anlässlich der konstituierenden Sitzung der Räte der EWG und Euratoms am 25. Janaur 1958 hält Enrico Medi, Vizepräsident der Kommission der Europäischen Atomgemeinschaft (EAG oder Euratom), eine Rede vor den Mitgliedern der zukünftigen europäischen parlamentarischen Versammlung in Brüssel. Darin unterstreicht er die Bedeutung der Forschung im atomaren Bereich vor allem für die Energieerzeugung.
En septembre 1958, le théoricien trotskiste Ernest Mandel propose dans la revue bimensuelle Socialisme, publiée par le Parti socialiste belge, une analyse critique du libéralisme économique tel qu'il ressort du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
En septembre 1958, Victor Larock, ministre belge des Affaires étrangères, décrit dans la revue bimensuelle Socialisme, publiée par le Parti socialiste belge, la manière dont la ville de Bruxelles a été, du moins temporairement, désignée par les Six pour accueillir les institutions des Communautés européennes.