Protocole (n°19) annexé au Traité instituant la Communauté européenne par le Traité sur l'Union européenne signé à Maastricht le 7 février 1992 et fixant les statuts de l'Institut monétaire européen (IME).
Le 12 janvier 1994, commentant l'inauguration à Francfort de l'Institut monétaire européen (IME), le quotidien français Le Monde en décrit les missions et les compétences dans le cadre du passage, le 1er janvier 1994, à la deuxième phase de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 15 février 1996, le baron Alexandre Lamfalussy, président à Francfort de l'Institut monétaire européen (IME), prononce devant l'Institut d'études bancaires et financières de Paris un discours dans lequel il décrit notamment le rôle de l'IME dans la préparation de la mise en place de la future Banque centrale européenne (BCE) et dans l'introduction de la monnaie unique européenne.
Le 22 septembre 1997, Wim Duisenberg, président de l'Institut monétaire européen (IME), prononce lors d'un séminaire bancaire international à Hong Kong un discours dans lequel il décrit les missions et le rôle de l'IME dans la mise en oeuvre du Système européen de banques centrales (SEBC), dans la préparation de l'Union économique et monétaire (UEM) et dans l'introduction de l'euro.
In Frankfurt am Main beherbergte der Eurotower ab dem 1. Januar 1994 das Europäische Währungsinstitut (EWI), bevor er am 30. Juni 1998 zum Sitz der Europäischen Zentralbank (EZB) wurde.
Dans cette brochure, publiée en 1997, sont notamment décrites les étapes successives de la réalisation de l'Union économique et monétaire (UEM) ainsi que les attributions, l'organisation et le fonctionnement de l'Institut monétaire européen (IME).
Dans cette interview, Alexandre Lamfalussy, directeur général de la Banque des règlements internationaux (BRI) de 1985 à 1993 et président de l'Institut monétaire européen (IME) de 1994 à 1997, explique les objectifs, la mise en place et les méthodes de travail de l'IME.
Dans cette interview, Alexandre Lamfalussy, directeur général de la Banque des règlements internationaux (BRI) de 1985 à 1993 et président de l'Institut monétaire européen (IME) de 1994 à 1997, décrit les principales décisions prises durant son mandat à la présidence de l'IME, et notamment les instruments de la politique monétaire ainsi que la préparation d'une stratégie de politique monétaire européenne.
Die zweite Phase der WWU (01.01.1994 - 31.12.1998)
Le 7 février 1992, les représentants des Douze signent à Maastricht le traité sur l'Union européenne. Entré en vigueur le 1er novembre 1993, il établit une Union économique et monétaire (UEM) comportant, à terme, une monnaie unique.
Cet article du quotidien français Le Monde s'interroge sur les relations entre la marche vers l'euro et la réunification de l'Allemagne et plus généralement la fin de la division du continent européen.
Le 21 décembre 1993, Jean-Jacques Rey, directeur de la Banque nationale de Belgique (BNB), dresse devant la section belge de la Ligue européenne de coopération économique (LECE) un état des lieux de l'Union économique et monétaire (UEM) à la veille du passage, le 1er janvier 1994, à sa deuxième phase.
Vor dem Übergang zur zweiten Stufe der Wirtschafts- und Währungsunion (WWU) nimmt der Rat am 22. Dezember 1993 eine Empfehlung über die Grundzüge der Wirtschaftspolitik in der Gemeinschaft und den zwölf Mitgliedstaaten an.
Am 4. Januar 1994 analysiert die französische Tageszeitung Le Monde die wirtschaftlichen und institutionellen Herausforderungen, die sich aus dem Übergang zur zweiten Stufe der Wirtschafts- und Währungsunion (WWU) ergeben
Le 6 janvier 1994, l'hebdomadaire économique français L'Expansion dresse le portrait du baron belge Alexandre Lamfalussy qui, depuis le 1er janvier, préside à Francfort l'Institut monétaire européen (IME) chargé notamment d'assurer la transition vers la phase finale de l'Union économique et monétaire (UEM) et de préparer l'introduction de la monnaie unique européenne.
Le 13 décembre 1996, en marge du Conseil européen de Dublin, le baron belge Alexandre Lamfalussy, président à Francfort de l'Institut monétaire européen (IME) du 1er janvier 1994 au 30 juin 1997, présente à la presse le projet des billets de la monnaie unique libellés en euros.
Am 13. Dezember 1996 stellt der Präsident des Europäischen Währungsinstituts (EWI), der Belgier Alexandre Lamfalussy, der Presse am Rande des Europäischen Gipfels von Dublin die Muster der zukünftigen Euro-Banknoten vor.
Am 31. Mai 1995 gibt Yves-Thibault de Silguy, Europäischer Kommissar für wirtschaftliche und finanzielle Angelegenheiten, Währungsfragen, Kredite, Investitionen und Eurostat, in Brüssel eine Pressekonferenz, auf der er die Vorzüge der einheitlichen europäischen Währung aufzählt und den Zeitplan für die schrittweise Realisierung der Wirtschafts- und Währungsunion (WWU) vorstellt.
Le 13 juin 1996, commentant les avancées de l'Union économique et monétaire (UEM), l'hebdomadaire économique français L'Expansion pointe les difficultés à mettre en place un "gouvernement économique européen" capable de contre-balancer l'indépendance de la Banque centrale européenne (BCE) en matière de politique monétaire.
Le 23 septembre 1996, le quotidien irlandais The Irish Times salue les progrès réalisés par les ministres des Finances des Quinze, réunis à Dublin le 21 septembre, sur la voie de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 23 septembre 1996, au lendemain de la réunion à Dublin des ministres des Finances des États membres de l'Union européenne, le quotidien britannique The Guardian commente les obstacles auxquels les Quinze risquent de se heurter dans la mise en oeuvre de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 25 septembre 1996, le quotidien madrilène El País commente le consensus arraché le 21 septembre à Dublin par les ministres des Finances des Quinze en matière d'Union économique et monétaire (UEM).
Die zweite Phase der WWU (01.01.1994 - 31.12.1998)
Am 14. November 1996 kündigt der Präsident der Europäischen Kommission Jacques Santer die Einführung des Euros und später die Einführung der Eurobanknoten und -münzen an und schildert die wirtschaftlichen, währungspolitischen und politischen Vorteile der gemeinsamen Währung für die Länder der Europäischen Union, die Mitglied der Eurozone sind.
Am 14. November 1996 zählt Yves-Thibault de Silguy, Europäischer Kommissar für wirtschaftliche und finanzielle Angelegenheiten, Währungsfragen, Kredite, Investitionen und Eurostat, eine Liste der Vorteile des Euro auf und beschreibt die Kommunikationsstrategie der Kommission, mit der den europäischen Bürgern die Etappen für den Übergang zur gemeinsamen Währung erklärt werden sollen.
Le 28 janvier 1997, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe adopte une résolution sur les conséquences de l'Union économique et monétaire (UEM) et de l'introduction d'une monnaie unique en Europe.
Le 26 mai 1997, Ferdinando Riccardi, rédacteur en chef de l'Agence Europe à Bruxelles, se félicite des signes favorables au passage, au 1er janvier 1999, à la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM) et à l'introduction de l'euro.
En 1997, Yves-Thibault de Silguy, membre de la Commission européenne chargé notamment des Affaires économiques, financières et monétaires, définit dans le mensuel fédéraliste Crocodile les enjeux liés aux aspects pratiques de la transition progressive vers l'Union économique et monétaire (UEM) et de l'introduction de l'euro.
In diesem Interview spricht Jacques Santer, ehemaliger Präsident der Europäischen Kommission, über Meilensteine der zweiten und dritten Stufe der Wirtschafts- und Währungsunion (WWU) zwischen 1995 und 1999.
Le 7 décembre 1994, commentant l'état de préparation du Luxembourg à la deuxième phase de l'Union économique et monétaire (UEM), François Biltgen, avocat et député chrétien social, prononce devant l'Association luxembourgeoise des juristes de banque un discours dans lequel il décrit les objectifs du projet de loi qu'il a déposé devant la Chambre des députés afin, notamment, de réformer le statut et les missions de l'Institut monétaire luxembourgeois (IML).
«Union monétaire: “Je ne crois pas que l'engin volera déjà en 2000!”». En 1995, le caricaturiste allemand Hanel ironise sur les doutes et sur les inquiétudes des citoyens européens quant à la mise en place prochaine d'une véritable Union économique et monétaire (UEM) au sein de l'Union européenne. Le chancelier allemand Helmut Kohl pilote l'avion, secondé dans sa mission par le président français Jacques Chirac.
Le 23 février 1995, Jean-Claude Juncker, Premier ministre et ministre des Finances luxembourgeois, prononce devant les membres de la Banque nationale de Belgique (BNB) un discours dans lequel il porte un regard critique sur l'évolution vers une union économique et monétaire européenne.
En 1996, la section britannique du Mouvement européen publie une brochure d'information qui vante les effets de l'Union économique et monétaire (UEM) sur l'économie du Royaume-Uni et qui refute les arguments des adversaires de la monnaie unique.
En novembre 1996, commentant les préparatifs de l'Union économique et monétaire (UEM), le mensuel français Le Monde diplomatique reproche vivement aux autorités allemandes de chercher à imposer à leurs partenaires de l'Union européenne leurs conceptions économiques et monétaires.
Le 3 mars 1997, à l'occasion de l'assemblée inaugurale à Bruxelles du Commissariat général à l'euro, Guy Quaden, directeur de la Banque nationale de Belgique (BNB) et commissaire général à l'euro, prononce un discours dans lequel il retrace les dernières avancées de l'Union économique et monétaire (UEM) et détaille l'état de préparation de la Belgique à l'introduction de l'euro en précisant les missions du Commissariat général à l'euro.
En septembre 1997, la délégation luxembourgeoise du Groupe parlementaire du parti des socialistes européens (PSE) publie une brochure qui explique les différentes étapes de l'Union économique et monétaire (UEM) et de la mise en place de la monnaie unique, l'euro.
Le 1er octobre 1998, Jean-Luc Dehaene, Premier ministre de Belgique, prononce devant le Forum Euro Entreprises réuni à La Hulpe un discours dans lequel il pointe les avantages de la monnaie unique tout en insistant sur l'importance, pour les pays de la future zone euro, de coordonner leurs politiques économiques et sur la nécessité d'assurer une représentation efficace de la zone euro sur la scène monétaire internationale.
En 1998, Erling Olsen, président du Parlement danois (Folketing), expose ses idées sur les relations entre le Danemark et l'Union économique et monétaire (UEM).
En 1998, Max Baehring, président de l'Union des ouvriers métallurgistes danois, plaide en faveur de la participation du Danemark à l'Union économique et monétaire (UEM).
En 1998, Kjell-Olof Feldt, président du Conseil des gouverneurs de la Banque nationale de Suède, expose les arguments en faveur de la participation de son pays à l'Union économique et monétaire (UEM).
Die neuerliche Anpassung des Europäischen Währungssystems
En septembre 1990, Miguel Beleza, ministre portugais des Finances, analyse dans la revue économique portugaise Cadernos de Economia les conditions nécessaires pour une adhésion du Portugal au Système monétaire européen (SME).
En septembre 1990, la revue économique portugaise Cadernos de Economia considère l'adhésion du Portugal au Système monétaire européen (SME) comme une étape importante dans le processus d'intégration européenne.
Le 30 octobre 1992, face aux turbulences monétaires qui affectent certains pays membres des Communautés européennes, le Parlement européen adopte une résolution sur le développement et sur les perspectives du Système monétaire européen (SME) et de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 23 novembre 1992, Jacques Delors, président de la Commission européenne (à g.), s'entretient avec Henning Christophersen, vice-président de la Commission (à dr.), peu avant l'ouverture à Bruxelles du Conseil Ecofin pendant lequel les ministres des Finances des Douze vont tenter de trouver une solution à la crise monétaire européenne.
Le 11 février 1993, Jacques de Larosière, gouverneur de la Banque de France, accorde au quotidien français Le Figaro une interview dans laquelle il commente la politique monétaire de la France face à la crise qui touche le Système monétaire européen (SME).
Die neuerliche Anpassung des Europäischen Währungssystems
Le 8 avril 1993, lors de sa déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale française, le nouveau Premier ministre français Édouard Balladur présente notamment la stabilité et la solidité du franc comme un élément important du Système monétaire européen (SME).
Le 2 août 1993, Helmut Schlesinger, président de la Bundesbank (à g.), et Theodor Waigel, ministre allemand des finances (à dr.), tiennent à Bonn une conférence de presse conjointe au cours de laquelle ils commentent notamment la décision des ministres des Finances et des gouverneurs des Banques centrales des Douze d'élargir temporairement la marge de fluctuation des monnaies au sein du Système monétaire européen (SME).
Le 3 août 1993, le quotidien français Le Figaro commente la décision des ministres des Finances et des gouverneurs des Banques centrales des Douze d'élargir à 15% les marges de fluctuation des monnaies qui participent au Système monétaire européen (SME) pour faire face à la crise des changes.
Le 16 août 1993, dans une interview accordée au quotidien régional "Sud-Ouest", François Mitterrand, président de la République française, analyse la crise du Système monétaire européen (SME) et insiste sur l'action du couple franco-allemand en faveur de la construction européenne.
Le 16 septembre 1993, le Parlement européen adopte une résolution sur la crise monétaire qui affecte le Système monétaire européen (SME) et s'inquiète des conséquences politiques et économiques de la crise pour les douze États membres des Communautés européennes.
Le 23 octobre 1993, face aux crises monétaires à répétition touchant le Système monétaire européen (SME), le quotidien français Le Monde détaille notamment les difficultés liées à la mise en place en Europe d'une Union économique et monétaire (UEM).
Der Europäische Rat von Madrid (15. und 16. Dezember 1995)
Le 13 décembre 1995, à la veille du Conseil européen de Madrid, Alexandre Lamfalussy, président de l'Institut monétaire européen, se montre confiant que le sommet donnera une grande impulsion à la réalisation d'une monnaie unique.
Le nom 'euro' est adopté par les Quinze pour qualifier la nouvelle monnaie européenne lors du Conseil européen de Madrid des 15 et 16 décembre 1995. De g. à dr.: Hans van den Broek, membre de la Commission européenne chargé des relations extérieures; Jacques Santer, président de la Commission européenne; Felipe González, Premier ministre espagnol et Javier Solana, ministre espagnol des Affaires étrangères.
Am 16. Dezember 1995 geben der spanische Finanzminister Pedro Solbes Mira, Yves-Thibault de Silguy, Europäischer Kommissar für wirtschaftliche und finanzielle Angelegenheiten, Währungsfragen, Kredite, Investitionen und Eurostat, und der Präsident der Europäischen Kommission Jacques Santer nach dem Europäischen Rat von Madrid nacheinander die Entscheidung der Fünfzehn für den „Euro“ als Bezeichnung für die neue europäische Währung bekannt.
Le 16 décembre 1995, le président français Jacques Chirac tient une conférence de presse dans laquelle il rend compte des résultats engrangés à l'issue du Conseil européen de Madrid.
Le 15 décembre 1995, dans un entretien accordé au quotidien luxembourgeois Luxemburger Wort, le Premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, expose les multiples enjeux du prochain Conseil européen de Madrid.
Le 15 décembre 1995, commentant le Conseil européen de Madrid, le quotidien britannique The Guardian détaille la position du Premier ministre John Major par rapport à l'introduction d'une monnaie unique en Europe.
Le 15 décembre 1995, le quotidien La Libre Belgique commente les enjeux de la réunion des chefs d'État ou de gouvernement des Quinze lors du Conseil européen de Madrid des 15 et 16 décembre.
Le 16 décembre 1995, commentant les enjeux du Conseil européen de Madrid des 15 et 16 décembre, le quotidien britannique The Guardian salue la décision des chefs d'État ou de gouvernement des Quinze qui ont adopté le terme "euro" pour qualifier la future monnaie unique européenne.
Le 16 décembre 1995, au lendemain du Conseil européen de Madrid, le quotidien irlandais The Irish Times commente les décisions prises par les chefs d'État et de gouvernement des Quinze, dont celle de donner le nom de 'euro' à la monnaie européenne.
Le 16 décembre 1995, commentant les décisions adoptées par les Quinze lors du Conseil européen de Madrid, Dick Spring, ministre irlandais des Affaires étrangères, évoque dans les colonnes du quotidien britannique The Guardian les répercussions négatives pour son pays d'un refus du Royaume-Uni de participer à l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 16 décembre 1995, au lendemain du Conseil européen de Madrid, le quotidien irlandais se montre favorable à la participation de l'Irlande à l'Union économique et monétaire.
Der Europäische Rat von Madrid (15. und 16. Dezember 1995)
Le 17 décembre 1995, le quotidien espagnol El País décrit les décisions adoptées par les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze lors du Conseil européen de Madrid des 15 et 16 décembre.
Le 18 décembre 1995, le journal belge La Libre Belgique décrit les négociations des chefs d'État et de gouvernement au Conseil européen de Madrid qui ont abouti à la décision de donner le nom "euro" à la monnaie unique européenne.
Le 19 décembre 1995, commentant les résultats du Conseil européen de Madrid, le quotidien français Le Monde analyse les difficultés liées à la mise en place de l'Union économique et monétaire (UEM).
Der Europäische Rat von Dublin (13. und 14. Dezember 1996)
Le 12 décembre 1996, John Bruton, Premier ministre de l'Irlande, explique dans le quotidien irlandais The Irish Times les enjeux de la réunion des chefs d'État et de gouvernement à Dublin les 13 et 14 décembre.
Le 13 décembre 1996, le quotidien français Le Monde titre sur les difficiles négociations des ministres des Finances de l'Union européenne sur le pacte de stabilité.
Le 14 décembre 1996, le quotidien irlandais The Irish Times salue les mesures adoptées relatives à l'Union économique et monétaire (UEM) au Conseil européen de Dublin.
Le 18 décembre 1996, lors d'une session parlementaire à la Chambre des députés espagnols, le Premier ministre José Maria Aznar détaille les résultats des travaux du Conseil européen de Dublin relatifs à la mise en place d'une Union monétaire et économique.
Am 14. Dezember 1996 gibt der spanische Premierminister José Maria Aznar nach dem Europäischen Rat von Dublin eine Pressekonferenz, auf der seiner Befriedigung über die Fortschritte der Fünfzehn in Fragen wie dem Kampf gegen den Terrorismus und der Wirtschafts- und Währungsunion (WWU) Ausdruck verleiht.
Am 14. Dezember 1996 gibt der deutsche Bundeskanzler Helmut Kohl nach dem Europäischen Gipfel von Dublin eine Pressekonferenz, auf der seiner Befriedigung über die von den Fünfzehn erzielten Ergebnisse Ausdruck verleiht.
Der Europäische Rat von Amsterdam (16. und 17. Juni 1997)
Au Conseil européen de Luxembourg des 12 et 13 décembre 1997, les Quinze se mettent d'accord sur les modalités de participation et de fonctionnement du Conseil de l'euro par rapport, notamment, au Conseil des ministres de l'Économie et des Finances (Ecofin).
Le 13 décembre 1997, le quotidien français Libération commente l'attitude de Tony Blair, Premier ministre britannique, et le compromis passé, lors du Conseil européen de Luxembourg des 12 et 13 décembre, entre le Royaume-Uni et ses partenaires européens en ce qui concerne les modalités de participation et de fonctionnement du Conseil de l'euro par rapport, notamment, au Conseil des ministres de l'Économie et des Finances (Ecofin).
Le 15 décembre 1997, commentant les résultats du Conseil européen de Luxembourg des 12 et 13 décembre, Philippe Maystadt, vice-Premier ministre et ministre des Finances et du Commerce extérieur de la Belgique, décrit dans les colonnes du quotidien belge Le Soir les difficultés et les enjeux du Conseil de l'euro par rapport, notamment, au Conseil des ministres de l'Économie et des Finances (Ecofin).
Le 15 décembre 1997, le quotidien français Le Figaro pointe les contradictions de Tony Blair, Premier ministre britannique, et du Royaume-Uni notamment en ce qui concerne l'adoption de l'euro et le fonctionnement du Conseil informel de l'euro.