Dans cette interview, Paul Collowald, ancien journaliste au quotidien Le Nouvel Alsacien et ancien correspondant du quotidien Le Monde en Alsace pour les questions européennes, explique les origines de son engagement européen après la Seconde Guerre mondiale.
Dans cette interview, Paul Collowald, entré en avril 1958 au service commun de presse et d'information des Communautés européennes à Luxembourg, explique comment il a été appelé à Bruxelles, en 1959, par Robert Marjolin, vice-président de la Commission de la Communauté économique européenne (CEE), afin de participer à la mise en place de son service de presse et revient sur les principales étapes de sa carrière au sein de cette institution.
Dans cette interview, l'ancien journaliste français Paul Collowald, entré en avril 1958 au service commun de presse et d'information des Communautés européennes à Luxembourg, évoque la nature de ses activités, notamment auprès de la jeunesse, des milieux universitaires et de l'éducation, de la presse et des syndicats européens.
À l'occasion du cinquantième anniversaire de la séance constitutive de l'Assemblée parlementaire européenne, Paul Collowald, ancien correspondant du quotidien français Le Monde à Strasbourg et ancien fonctionnaire des institutions communautaires, décrit, dans le quotidien La Libre Belgique du 28 février 2008, les premiers pas des assemblées du Conseil de l'Europe et des Communautés européennes.
Le 3 décembre 1999, à la veille du Conseil européen d'Helsinki et trente ans après le sommet de La Haye, Paul Collowald, ancien porte-parole adjoint de la Commission européenne, commente dans le quotidien La Libre Belgique l'association de la jeunesse à l'évolution de la construction européenne.
Le 17 octobre 1996, le quotidien Luxemburger Wort revient sur une conférence donnée par Paul Collowald, ancien directeur à la direction générale de l'information de la Commission européenne, à l'occasion de la célébration du cinquantième anniversaire de la fondation du Mouvement universel pour une confédération mondiale.
Le 2 juin 1994, Paul Collowald, ancien porte-parole adjoint de la Commission européenne, décrit dans le quotidien La Cité les relations problématiques entre l'Union européenne et les médias.
Le 14 mars 1991, Paul Collowald, ancien porte-parole adjoint de la Commission européenne, retrace dans le quotidien La Libre Belgique l’emploi de l'expression 'maison commune' depuis sa première utilisation par le chancelier allemand Konrad Adenauer en 1951.
Le 29 septembre 1983, après le Conseil européen de Stuttgart et à l'occasion du vingtième anniversaire de la mort de Robert Schuman, Paul Collowald, ancien directeur à la direction générale de l'information de la Commission européenne, souligne dans le quotidien La Libre Belgique le rôle essentiel de l'ancien ministre français des Affaires étrangères pour l'Europe.
Dans cette interview, Paul Collowald, ancien journaliste au quotidien Le Nouvel Alsacien et ancien correspondant du quotidien Le Monde en Alsace pour les questions européennes, décrit les préparatifs et les enjeux politiques et économiques de la déclaration Schuman du 9 mai 1950.
Le 9 mai 1950, la déclaration prononcée dans le salon de l'Horloge du Quai d'Orsay par Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, donne le coup d'envoi décisif de la construction de l'Europe communautaire.
Dans cette interview, Paul Collowald, ancien journaliste au quotidien Le Nouvel Alsacien et ancien correspondant du quotidien Le Monde en Alsace pour les questions européennes, décrit l'attitude des Strasbourgeois à l'égard de l'installation du Conseil de l'Europe dans leur ville et particulièrement le 10 août 1949 à l'occasion de la première séance de l'Assemblée consultative dans l'aula de l'Université.
Le 5 mai 1949, dix États signent à Londres le Statut du Conseil de l'Europe visant à encadrer la collaboration européenne dans les domaines politique, économique, social, culturel, scientifique, juridique ou administratif. Le Statut de l'organisation entre en vigueur le 3 août 1949.
Le 5 mai 1949, les ministres des Affaires étrangères de la Belgique, du Danemark, de la France, de l'Irlande, de l'Italie, du Luxembourg, de la Norvège, des Pays-Bas, du Royaume-Uni et de la Suède signent au Palais St. James de Londres le traité portant création du Conseil de l'Europe.
Dans cette interview, Paul Collowald, ancien journaliste au quotidien Le Nouvel Alsacien et ancien correspondant du quotidien Le Monde en Alsace pour les questions européennes, explique le contexte historique dans lequel est né le projet de la Communauté européenne de défense (CED) et revient sur le vote de l'Assemblée nationale française contre la ratification du traité instituant la CED.
Le 24 octobre 1950, René Pleven, président du Conseil des ministres français et ancien ministre de la Défense nationale, expose devant l'Assemblée nationale française la création d'une armée européenne pour éviter le réarmement allemand demandé par les États-Unis.
Pour Pierre Mendès France, président du Conseil et ministre français des Affaires étrangères, les jeux sont déjà faits quelques jours avant le vote de l'Assemblée nationale: la France ne ratifiera pas le traité CED.
Dans cette interview, Paul Collowald, ancien porte-parole adjoint de la Commission européenne, présente les différentes étapes de la mise en place du service de presse de la Commission européenne.
Dans cette interview, Jacques-René Rabier, directeur du service d'information de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) de 1953 à 1958 et Directeur général du Service de presse et d'information des Communautés européennes de 1958 à 1973, décrit la nature de la politique d'information sur les activités des Communautés européennes.
Dans cette interview, Paul Collowald, ancien membre du service de presse de la Commission de la Communauté économique européenne (CEE), décrit l'attitude de Walter Hallstein et de la Commission qu'il préside lors de la crise politique de la chaise vide en 1965.
Du 30 juin 1965 au 29 janvier 1966, en désaccord avec la Commission des Communautés européennes sur le financement de la Politique agricole commune (PAC), les représentants de la France cessent de participer à Bruxelles aux réunions des organes communautaires de nature intergouvernementale.
Les 17-18 et 28-29 janvier 1966, réuni en session extraordinaire à Luxembourg, le Conseil de ministres de la Communauté économique européenne (CEE) entend les demandes françaises sur la mise en oeuvre de la règle du vote à la majorité et sur le rôle de la Commission européenne. Le "compromis de Luxembourg" met ainsi fin à la "crise de la chaise vide" ouverte depuis le 30 juin 1965.
Dans cette interview, Paul Collowald, ancien porte-parole adjoint de la Commission européenne, évoque l'action de Raymond Barre à son poste de vice-président de la Commission en charge des Affaires économiques et monétaires de 1967 à 1972.
Le 12 février 1969, la Commission européenne présente au Conseil un mémorandum sur la coordination des politiques économiques et sur la coopération monétaire au sein de la Communauté. Le Conseil adopte le mémorandum, dit Plan Barre, le 17 juillet 1969.
Le 8 octobre 1970, Raymond Barre, vice-président de la Commission européenne en charge des Affaires économiques et financières, explique aux auditeurs de RTL la teneur des propositions d'Union économique et monétaire contenues dans le rapport Werner.
Dans cette interview, Paul Collowald, alors directeur de cabinet de Pierre Pflimlin, président du Parlement européen, évoque le rôle discret mais important exercé par Pierre Pflimlin de 1984 à 1987 en tant que président du Parlement européen et en particulier sa contribution à la prise de conscience du pouvoir budgétaire du Parlement au moment de la signature du budget communautaire.