Marianne Backes, directrice du CVCE, et René Leboutte de l’Université du Luxembourg, annoncent le déroulement des deux journées consécutives du symposium DHLU 2013 intitulé «L’histoire contemporaine à l’ère digitale».
La première partie du 1er panel du symposium DHLU 2013, présidé par René Leboutte de l’Université du Luxembourg, parcourt la thématique Distant/close reading à travers trois présentations. La première fait intervenir Sacha Zala et Christiane Sibille issus tous deux du groupe de recherche de Dodis, sur leur présentation intitulée Beyond a national historiography? Networking diplomatic documents in the digital age. La deuxième réuni Arianna Betti et Hein van den Berg de l’Université libre d’Amsterdam, autour du sujet Creating a digital history of ideas. Pour clôturer cette partie, Emmanuel Mourlon-Druol de l’Université de Glasgow présente le fruit de son travail intitulé Digital sources in European integration history/international economic history: a frustrated view.
La seconde partie du premier panel du symposium DHLU 2013, modéré par Lars Wieneke, responsable du Information Technology Department du CVCE, aborde la thématique suivante: Research networks in the digital humanities. Sally Chambers, secrétaire générale de DARIAH-EU, présente l’infrastructure de recherche DARIAH – a Digital Research Infrastructure for the Arts and Humanities. Ensuite, Lorna M. Hughes introduit NeDiMAH – Network for Digital Methods in the Arts and Humanities. Pour conclure cette seconde partie, Daniel Alves complète cette introduction par la présentation de son groupe de travail dont il est membre: NeDiMAH workgroup on space and time.
Le 2e panel du symposium DHLU 2013, modéré par Claudine Moulin de l’Université de Trèves aborde la thématique centrale du Distant/close reading à travers trois présentations. La première est menée par Pauline Van Wierst, Sanne Vrijenhoek, Stefan Schlobach et Arianna Betti qui ont développé l’outil: Phil@Scale: Computational methods within philosophy. La deuxième présentation intitulée Humanist-machine interaction for the digital humanities a été abordée par Lars Wieneke, responsable du Information Technology Department du CVCE et Marten Düring, chercheur au CVCE. Pour conclure ce panel, Frederik Elwert de Université de la Ruhr à Bochum a présenté son travail intitulé Network analysis between distant reading and close reading.
La première journée du symposium DHLU 2013 s’est terminée par une keynote de Tim Hitchcock de l’Université de Sussex, avec sa présentation intitulée Big data for dead people: Digital readings and the conundrums of positivism.
René Leboutte de l’Université du Luxembourg et Lars Wieneke, responsable du Information Technology Department du CVCE, tirent les conclusions de la première journée du symposium DHLU 2013.
Le 3e panel du symposium DHLU 2013, modéré par Marten Düring, chercheur au CVCE, aborde la thématique Writing history & assessing scholarship à travers deux présentations. La première est tenue par Luke Kirwan avec son travail intitulé Quantitative historical research in the digital age: Using Databases to drive research forward. La deuxième menée par Eva Wohlfarter, membre du groupe de projet ABaC:us de l’Institut de Linguistique de Corpus et Technologie Textuelle, sur le sujet suivant: Introducing the Austrian Baroque Corpus: Annotation and application of a thematic research collection.
Le 4e panel du symposium DHLU 2013, modéré par Serge Noiret, de l’Institut universitaire européen de Florence, revient sur la thématique centrale Distant/close reading. Dr Waltraud Bayer introduit sa présentation intitulée Digital sources in contemporary post-soviet museum studies. Ian Gregory intervient avec sa présentation Distant and close readings of the geographies in large corpora: Geographical text analysis and place-based reading.
Le 5e panel du symposium DHLU 2013, modéré par Lars Wieneke, responsable du Information Technology Department du CVCE, réuni deux présentations autour du thème Distant/close reading. Dorothée Goetze et Tobias Tenhaef, venant de l’Institut für Historische Friedensforschung (IHF) de l’Université de Bonn, ont exposé leur présentation intitulée How to face the crisis of legitimacy: the transfer and further development of methods of access from printed to digitalized editions. Ce panel se conclu par la présentation de Luis Gil Tiago: «Atlas numérique de l’Amérique portugaise».
Le 6e panel conclut ce symposium DHLU 2013 sur le thème Writing history modéré par Susana Muñoz, responsable du European Integration Studies Department du CVCE. Catherine Jones introduit son travail intitulé Digital history with maps: A case study from WW2 in London. Geert Kessels et Pim van Bree, ingénieurs en logiciels à LAB1100, présentent leurs travaux de recherche sur le sujet suivant: Multiple forms of authorship through the assemblage of historical objects.
Marianne Backes, directrice du CVCE, Tim Hitchcock de l’Université de Sussex et René Leboutte de l’Université du Luxembourg tirent les conclusions du symposium DHLU 2013.