Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981, se souvient des origines de ses convictions européennes, de ses espérances dans la reconstruction européenne et de la réconciliation franco-allemande. Il évoque par ailleurs la nécessité de militer pour l’Europe à différents niveaux.

Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981, évoque les raisons politiques et techniques de la création du secrétariat d’Etat aux Affaires européennes en 1979, notamment l’intérêt de Valéry Giscard d’Estaing pour la construction européenne et la présidence française du Conseil des Communautés européennes. Il nuance également le poids de ce secrétariat en rappelant l’influence gaulliste dans la majorité présidentielle de l’époque.

Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981, relate la mise en place et le fonctionnement du secrétariat d’Etat aux Affaires européennes. Il souligne par ailleurs les difficultés d’action au coeur du pouvoir en raison d’une hiérarchie très prégnante et de la position délicate du secrétariat au sein du gouvernement. Il cite cependant son intervention au cours des renégociations de la convention de Lomé.

Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981, se remémore les réunions des Conseils des ministres européens en insistant sur la connaissance personnelle des uns et des autres et rappelle sa conviction de l’importance de la construction européenne.

Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981, décrit la portée des convictions et des travaux de Valéry Giscard d’Estaing, de Raymond Barre et d’Helmut Schmidt quant à la mise en place du système monétaire européen, étape primordiale de la monnaie unique.

Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981, mentionne l’aspect fondamental de la réconciliation franco-allemande et de son rôle moteur dans la construction européenne, en renvoyant dos à dos le nationalisme et l’impérialisme antérieurs à cette réconciliation.

Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981, décrit les relations franco-britanniques durant les renégociations des accords de Lomé et souligne les convergences entre les points de vue britanniques et français à ce propos.

Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981 et député européen de 1984 à 1986 et de 1989 à 1999, se remémore la politique européenne de François Mitterrand qu’il juge positive dans son ensemble, en insistant sur le rôle de Jacques Delors à la Commission européenne. Cependant il rappelle la position timorée de l’ancien Président français lors de la réunification allemande et de l’entrée de pays de l’Est dans la Communauté.

Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981 et sénateur des Hautes-Alpes de 2007 à 2014, retrace succinctement le parcours européen de Jacques Chirac depuis «l’appel de Cochin» jusqu’à sa présidence française et son engagement dans les affaires européennes.

Dans cet extrait, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d’État auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes de 1979 à 1981 et sénateur des Hautes-Alpes depuis 2007, relate l’intérêt presque exclusivement financier que représente l’Europe dans les collectivités territoriales en nuançant son propos par l’apport des jumelages au niveau local.