En 1996, le Fonds de cohésion communautaire permet de financer une partie de la construction d'une nouvelle route d'accès au port de Belview en Irlande.
Le 17 septembre 1998, Pierre Moscovici, ministre français délégué chargé des Affaires européennes, répond à une question écrite au Sénat sur la réforme des fonds structurels communautaires.
Le 17 décembre 1998, le quotidien français Le Figaro dresse la liste des difficultés auxquelles se trouve confrontée la réforme des fonds structurels européens.
Le 11 février 1999, lors de la deuxième consultation nationale sur la réforme des fonds structurels, le Français Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes, détaille l'état de la négociation sur les objectifs des fonds structurels européens.
En février 1999, Eneko Landaburu Illarramendi, Directeur général de la DG XVI en charge de la Politique régionale et de cohésion auprès de la Commission européenne, commente les dispositions de l'Agenda 2000 et met en lumière les enjeux de la politique de cohésion économique et sociale européenne.
Le 30 mars 1999, au lendemain du Conseil européen de Berlin, le quotidien français Le Figaro évoque les enjeux de la répartition de fonds structurels européens et se penche en particulier sur le cas de l'Espagne.
"Désolé, Monsieur, mais ceux du Fonds de cohésion doivent prendre place dans le pigeonnier" Les caricaturistes espagnols Ventura et El Burladero ironisent sur le statut de l'Espagne en tant que pays bénéficiaire net par rapport à l'Allemagne, la France et le Royaume-Uni.
Le 11 décembre 1998, le quotidien français Le Monde décrit les enjeux de la réforme des fonds structurels européens et évoque la difficulté à établir une nouvelle répartition des aides aux régions les moins favorisées de l'Union européenne.
Le 26 octobre 1999, le quotidien français Le Monde analyse les objectifs et les conditions d'octroi du Fonds européen de développement régional (Feder), du Fonds social européen (FSE) et du Fonds européen d'orientation et de garantie agricole (Feoga).
En décembre 2002, le gouvernement français rédige un mémorandum dans lequel il propose de réformer la politique de cohésion économique et sociale dans une Union européenne élargie sur la base de trois principes généraux.
Le 23 juin 2004, lors d'une réunion présidée par Anne Anderson, représentante permanente de l'Irlande auprès de l'Union européenne, Jacques Barrot, commissaire européen chargé de la politique régionale, Stavros Dimas, commissaire européen chargé de l'emploi et des affaires sociales, Franz Fischler, commissaire européen chargé de l'agriculture, du développement rural et de la pêche, Péter Bálazs, commissaire européen adjoint à Jacques Barrot, et Sandra Kalniete, commissaire européen adjoint à Franz Fischler, entérinent les programmes de développement en faveur des dix nouveaux États membres de l'Union européenne dans le cadre des « Fonds structurels 2004-2006 » avec les représentants permanents de la République tchèque, de Chypre, de l'Estonie, de la Hongrie, de la Lettonie, de la Lituanie, de Malte, de la Pologne, de la Slovaquie et de la Slovénie.