Le 5 mai 1955, en prévision de la signature à Vienne du traité d'État sur l'Autriche, le journal autrichien Neuer Kurier illustre la manière dont les États-Unis et l'Union soviétique entourent l'Autriche de leur sollicitude: "Lorsque souffle la brise de mai..."
Am 15. Mai 1955 wird der Staatsvertrag betreffend die Wiederherstellung eines unabhängigen und demokratischen Österreich im Schloss Belvedere in Wien vom österreichischen Bundeskanzler Julius Raab, dem österreichischen Außenminister Leopold Figl, dem französischen Außenminister Antoine Pinay, dem britischen Außenminister Harold Macmillan, dem amerikanischen Außenminister John Foster Dulles, dem sowjetischen Außenminister Wjatscheslaw Molotow, dem sowjetischen Hochkommissar in Österreich Iwan Iljitschow, dem britischen Hochkommissar in Österreich Sir Geoffrey Wallinger, dem Hochkommissar der Vereinigten Staaten in Österreich Llewellyn Thompson und dem stellvertretenden französischen Hochkommissar in Österreich Roger Lalouette unterzeichnet.
Le 15 mai 1955, le traité d'État portant rétablissement d'une Autriche indépendante et démocratique est signé au château du Belvédère à Vienne par Julius Raab, chancelier fédéral autrichien, Leopold Figl, ministre autrichien des Affaires étrangères, Antoine Pinay, ministre français des Affaires étrangères, Harold Macmillan, ministre britannique des Affaires étrangères, John Foster Dulles, ministre américain des Affaires étrangères, Viatcheslav Molotov, ministre soviétique des Affaires étrangères, Ivan Illitchev, Haut Commissaire soviétique en Autriche, Sir Geoffrey Wallinger, Haut Commissaire britannique en Autriche, Llewellyn Thompson, Haut Commissaire des États-Unis en Autriche, et Roger Lalouette, Haut Commissaire adjoint de la République française en Autriche.
Le 15 mai 1955, le traité d'État portant rétablissement d'une Autriche indépendante et démocratique est signé au château du Belvédère à Vienne par Julius Raab, chancelier fédéral autrichien, Leopold Figl, ministre autrichien des Affaires étrangères, Antoine Pinay, ministre français des Affaires étrangères, Harold Macmillan, ministre britannique des Affaires étrangères, John Foster Dulles, ministre américain des Affaires étrangères, Viatcheslav Molotov, ministre soviétique des Affaires étrangères, Ivan Illitchev, Haut Commissaire soviétique en Autriche, Sir Geoffrey Wallinger, Haut Commissaire britannique en Autriche, Llewellyn Thompson, Haut Commissaire des États-Unis en Autriche, et Roger Lalouette, Haut Commissaire adjoint de la République française en Autriche.
Le 15 mai 1955, Leopold Figl (au centre), ministre autrichien des Affaires étrangères, expose à la foule amassée devant le château du Belvédère à Vienne le traité d'État signé le jour même par les représentants des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France et de l'Union soviétique et qui met officiellement fin à la situation de guerre dans l'État alpin.
Am 15. Mai 1955 hält der österreichische Außenminister Leopold Figl im Schloss Belvedere in Wien eine Rede, in der er die Unterzeichnung des Staatsvertrag begrüßt, mit dem Österreich seine volle Souveränität wiedererlangt.
Am 15. Mai 1955 hält der französische Außenminister Antoine Pinay im Schloss Belvedere in Wien eine Rede, in der er die Unterzeichnung des Staatsvertrag begrüßt, mit dem Österreich seine volle Souveränität wiedererlangt.
Am 15. Mai 1955 hält der britische Außenminister Harold Macmillan anlässlich der Feierlichkeiten zur Unterzeichnung des Staatsvertrags in Wien eine Rede, in der er die Tatsache begrüßt, dass Österreich seine Souveränität wiedererlangt, und dem Land die Unterstützung durch das Vereinigte Königreich zusichert.
Am 15. Mai 1955 hält der amerikanische Außenminister John Foster Dulles im Schloss Belvedere in Wien eine Rede, in der er die Unterzeichnung des Staatsvertrag begrüßt, mit dem Österreich seine volle Souveränität wiedererlangt.
Am 15. Mai 1955 bringt die österreichische Wiener Zeitung eine Sonderausgabe zur Unterzeichnung des Staatsvertrages betreffend die Wiederherstellung eines unabhängigen und demokratischen Österreich am selben Tag heraus.
Zehn Jahre nach dem Ende des Zweiten Weltkriegs erlangt Österreich seine Freiheit wieder. Anlässlich dieses Ereignisses kommentiert die österreichische Tageszeitung Neuer Kurier die Reaktionen in der internationalen Presse.
Die Sozialistische Partei Österreichs (SPÖ) unterstreicht im Jahre 1955 ihre Rolle bei der Verfassung des Staatsvertrages, indem sie auf eine Erklärung des Bundespräsidenten von Österreich, Karl Renner, von 1947 hinweist, der die vier Besatzungsmächte mit Elefanten verglich, die das Steuern des österreichischen Ruderbootes unmöglich machten.
Le 16 mai 1955, André François-Poncet, ambassadeur de France à Bonn, décrit à Antoine Pinay, ministre français des Affaires étrangères, les sentiments mitigés des milieux politiques allemands à l'égard du traité d'État autrichien.
Am 16. Mai 1955 analysiert die italienische Tageszeitung Corriere della Sera die geopolitischen und militärischen Konsequenzen der Unterzeichnung des Staatsvertrags am 15. Mai 1955, der die Neutralität Österreichs besiegelt.
Le 10 juin 1955, John Foster Dulles, secrétaire d'État américain, retrace devant le Comité sénatorial américain des Affaires étrangères le processus ayant conduit, le 15 mai 1955 à Vienne, à la signature du traité d'État autrichien.
Am 15. Mai 1955 unterzeichnen Österreich und die Alliierten und Assoziierten Mächte den österreichischen Staatsvertrag. Bruno Kreisky, Staatssekretär in der Regierung Raab, hat an den Verhandlungen mit der Sowjetunion in Moskau und Wien teilgenommen. In seinen Memoiren erinnert er sich.
"De quoi le chancelier peut-il rêver ?" En janvier 1955, le caricaturiste autrichien Ironimus illustre les attentes du chancelier autrichien Julius Raab qui rêve de conclure un traité d'État pour l'Autriche.
En 1955, le Haut Conseil allié se réunit pour la dernière fois à Vienne en application du traité d'État qui rétablit une Autriche indépendante, neutre et démocratique.
Le 27 juillet 1955, en application du traité d'État qui rétablit une Autriche indépendante, neutre et démocratique, les Hauts Commissaires alliés en Autriche tiennent leur dernière assemblée commune à Vienne. De g. à dr.: le Français François Seydoux de Clausonne, le Soviétique Ivan Illitchev, l'Américain James Kedzie Penfield et le Britannique Sir Geoffrey Wallinger.
Le 14 septembre 1955, réunie devant leur quartier général à Vienne, une patrouille interalliée composée, de g. à dr., d'un officier américain, britannique, français et soviétique se félicite de la fin de l'occupation militaire de l'Autriche.
En 1955, ces soldats soviétiques en garnison à Vienne s'apprêtent à rentrer au pays suite à l'entrée en application du traité d'État autrichien du 15 mai 1955 qui rétablit une Autriche indépendante, neutre et démocratique.
En 1955, ces soldats américains en garnison à Vienne s'apprêtent à rentrer au pays suite à l'entrée en application du traité d'État autrichien du 15 mai 1955 qui rétablit une Autriche indépendante, neutre et démocratique.
"50 ans de notre vie". En 1968, le caricaturiste autrichien Ironimus illustre à sa manière cinquante ans (de 1918 à 1968) de la vie politique et militaire de l'Autriche.
Im Rahmen eines Kolloquiums in Österreich im Jahre 1974 zur wirtschaftlichen und politischen Lage in Europa betont der Vorsitzende der internationalen Paneuropa-Union Otto von Habsburg-Lothringen die Notwendigkeit, den neutralen Status Österreichs genau auszulegen, der das Land keinesfalls daran hindert, Mitglied von Organisationen mit wirtschaftlicher oder politischer Ausrichtung zu werden.
Anlässlich des dreißigsten Jahrestages des Staatsvertrages, der am 15. Mai 1955 von Vertretern der Sowjetunion, der Vereinigten Staaten, des Vereinigten Königreichs, Frankreichs und Österreichs in Wien unterzeichnet worden war, erinnert die französische Tageszeitung Le Monde an die Ereignisse, die schließlich zur Neutralität Österreichs führten.