La négociation de l’Acte unique européen
Interview de Catherine Lalumière: le déroulement du Conseil européen de Milan (Paris, 17 mai 2006)
VidéoDans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes, décrit l'atmosphère et le déroulement du Conseil européen de Milan des 28 et 29 juin 1985, notamment en ce qui concerne, sous l'impulsion de la présidence italienne, la décision des Dix de convoquer une Conférence intergouvernementale (CIG) pour modifier et compléter le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
Interview de Catherine Lalumière: les objectifs de la CIG (Paris, 17 mai 2006)
VidéoDans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes, décrit les enjeux et le déroulement de la Conférence intergouvernementale (CIG) qui, en 1985-1986, a conduit les Douze à conclure l'Acte unique européen (AUE).
Interview de Catherine Lalumière: le Conseil européen de Luxembourg (Paris, 17 mai 2006)
VidéoDans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes, décrit les enjeux et le déroulement du Conseil européen de Luxembourg des 2 et 3 décembre 1985, et notamment la manière avec laquelle les chefs d'État ou de gouvernement des Dix ont finalement débloqué les négociations de la Conférence intergouvernementale (CIG) qui, en 1985-1986, a conduit les Douze à conclure l'Acte unique européen (AUE).
Interview de Catherine Lalumière: les différends franco-allemands lors de la CIG (Paris, 17 mai 2006)
VidéoDans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes, décrit la nature des priorités françaises, notamment dans le domaine social et culturel, lors de la Conférence intergouvernementale (CIG) qui, en 1985-1986, a conduit les Douze à conclure l'Acte unique européen (AUE).
Interview de Catherine Lalumière: l'heureuse année 1985 (Paris, 17 mai 2006)
VidéoDans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État auprès du ministre des Relations extérieures, chargée des Affaires européennes, explique pourquoi l'année 1985 a été qualifiée d'« année heureuse », évoquant la fin de la crise britannique, l'arrivée de Jacques Delors à la Commission, la fin des négociations d'adhésion de l'Espagne et du Portugal, l'adoption du principe de la reconnaissance mutuelle des normes et la convocation de la Conférence intergouvernementale (CIG), qui a conduit les Douze à conclure l'Acte unique européen (AUE) en 1985-1986.