Réunis à Yalta, en Crimée, du 4 au 11 février 1945, Winston Churchill, Franklin D. Roosevelt et Joseph Staline scellent notamment le sort réservé à l'Allemagne nazie après la guerre et prévoient la constitution de gouvernements démocratiques dans les pays libérés.
Réunis à Yalta du 4 au 11 février 1945, Winston Churchill, Franklin D. Roosevelt et Joseph Staline décident du sort réservé à l'Allemagne nazie après la guerre et de l'avenir des pays libérés.
Du 4 au 11 février 1945, Winston Churchill, Franklin D. Roosevelt et Joseph Staline se rencontrent à Yalta, en Crimée, pour discuter notamment du sort futur de l'Allemagne et de la Pologne.
Réunis à Yalta, en Crimée, du 4 au 11 février 1945, Winston Churchill, Franklin D. Roosevelt et Joseph Staline se concertent sur le sort futur de l'Allemagne nazie et prévoient la formation de gouvernements démocratiques dans l'Europe libérée.
Le 1er mars 1945, le président américain, Franklin D. Roosevelt, prononce à Washington un discours devant le Congrès américain auquel il expose le résultat des discussions de la Conférence de Yalta avec le Premier ministre britannique, Winston Churchill, et le Maréchal soviétique, Joseph Staline.
Le 29 mars 1945, le président américain Franklin D. Roosevelt adresse une lettre au premier secrétaire du Parti communiste de l'Union soviétique, Joseph Staline, lui enjoignant de respecter les décisions prises lors de la Conférence de Yalta au sujet de la question polonaise.
Réunis à Yalta du 4 au 11 février 1945, Winston Churchill, Franklin D. Roosevelt et Joseph Staline décident du sort réservé à l'Allemagne nazie après la guerre et de l'avenir des pays libérés.
Le 10 février 1945, l'hebdomadaire anglais The New Statesman and Nation se penche sur les enjeux politiques de la Conférence de Yalta qui réunit le Premier ministre britannique Winston Churchill, le président américain Franklin D. Roosevelt et le Premier secrétaire du parti communiste soviétique Joseph Staline.
Le 13 février 1945, le quotidien luxembourgeois Luxemburger Wort commente les résultats de la Conférence de Yalta et s'interroge sur le sort de l'Allemagne d'après-guerre.
Le 14 février 1945, le journaliste et diplomate Wladimir d'Ormesson dresse dans les colonnes du quotidien conservateur français Le Figaro un premier bilan des résultats de la Conférence de Yalta.
Le 14 février 1945, commentant les résultats de la Conférence de Yalta, le quotidien français Le Monde s'interroge sur le rôle que la France entend jouer pour régler la question de l'Allemagne et pour assurer l'organisation de la paix.
Le 27 février 1945, après la conférence de Yalta, le quotidien néerlandais Het Parool pose la question de l'avenir politique de l'Europe et de l'Allemagne.
Le 27 février 1945, le Premier ministre britannique Winston Churchill détaille les principaux résultats de la Conférence de Yalta devant la Chambre des Communes. Le sort de l'Allemagne et la question polonaise retiennent particulièrement son attention.
Dans ses Mémoires, James F. Byrnes, ministre des Affaires étrangères du président américain Harry S. Truman de 1945 à 1947, se souvient des négociations sur les questions allemande et polonaise lors de la Conférence de Yalta, du 4 au 11 février 1945.
Dans ses Mémoires, Winston Churchill se souvient de la Conférence de Yalta, en février 1945, et des discours sur le sort à réserver à l'Allemagne après la fin de la guerre.
Du 4 au 11 février 1945, la Conférence de Yalta réunit Winston Churchill, Franklin D. Roosevelt et Joseph Staline qui doivent décider du sort de l'Europe. Quarante ans plus tard, André Fontaine remet en question la portée effective de la conférence dans un article publié le 5 février 1985 dans le quotidien français Le Monde.