Le 30 janvier 1975, Claude Cheysson, membre de la Commission européenne, Garret FitzGerald, ministre irlandais des Affaires étrangères et président du Conseil des ministres de la CEE, et Babakar Ba, ministre des Finances du Sénégal et président du Conseil des ministres des États ACP (pays d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique), discutent du problème du sucre dans les échanges commerciaux CEE-ACP.
In einer am 12. Februar 1975 gehaltenen Rede zeigt sich Hans-Jürgen Wischnewski, Staatsminister im Auswärtigen Amt, zufrieden über den Erfolg der Verhandlungen über die Zusammenarbeit zwischen der Europäischen Gemeinschaft und den AKP-Staaten.
Am 27. Februar 1975 bringt die togolesische Presse die Verhandlungen zur Erarbeitung eines Abkommens zwischen der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und 46 Ländern aus Afrika, den karibischen und pazifischen Inseln (AKP) auf ihre Titelseite. Lomé, die Hauptstadt Togos wird so für einige Tage «die Hauptstadt der Zusammenarbeit zwischen 508 Millionen Menschen». Das Lomé-Abkommen sieht unter anderem ein System der Zusammenarbeit vor, das Entwicklungshilfe, industrielle und technische Handelskooperation und finanzielle Unterstützung miteinander verbindet. So gewährleistet es, dass Exporteinnahmen trotz des Risikos schlechter Ernten und sinkender Preise stabil bleiben.
Le 28 février 1975, quarante-six États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) et les neuf États membres de la Communauté économique européenne (CEE) signent à Lomé (Togo) une convention de coopération.
Le 28 février 1975, le général Étienne Eyadema, président de la République et chef du gouvernement du Togo, accueille Claude Cheysson, commissaire européen au Développement, et François-Xavier Ortoli, président de la Commission européenne, à leur arrivée à Lomé pour la cérémonie de signature de la première convention CEE-ACP.
Le 28 février 1975, François-Xavier Ortoli, président de la Commission des Communautés européennes, prononce un discours lors de la cérémonie de signature à Lomé de la première convention de coopération entre les États membres de la CEE et les pays ACP.
Am 28. Februar 1975 hält Babacar Ba, Präsident der 46 AKP-Staaten (AKP = Gruppe der afrikanischen, karibischen und pazifischen Staaten) und Wirtschaftsminister von Senegal, eine Rede zur Unterzeichnung des wirtschaftlichen Kooperationsabkommens zwischen den neun EWG-Staaten und den AKP-Ländern.
Le 1er mars 1975, le quotidien français Le Monde décrit les principales dispositions de la première convention de Lomé signée le 28 février 1975 dans la capitale togolaise entre quarante-six États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) et les neuf États membres de la Communauté économique européenne (CEE).
En mai 1977, le mensuel 30 jours d'Europe dresse un bilan provisoire positif de l'application de la première convention de Lomé de coopération CEE-ACP.
Tableau indiquant l'évolution de la politique de coopération développée par la Communauté économique européenne (CEE) entre l'entrée en vigueur des traités de Rome et juin 1977.
In diesem Interview erläutert Jean-Jacques Kasel, Legationsattaché des luxemburgischen Außenministeriums von 1973 bis 1976, die Verhandlungsthemen, die zur Unterzeichnung des ersten Lomé-Abkommens zwischen 44 Staaten aus Afrika, den karibischen und pazifischen Inseln (AKP) und den neun Mitgliedstaaten der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) geführt haben.
Le 31 octobre 1979, les hôtesses togolaises arborant la tenue traditionnelle d'accueil africaine aux couleurs du partenariat CEE-ACP assistent à la signature officielle de la deuxième convention de Lomé.
Le 31 octobre 1979, Pierre Bernard-Reymond, secrétaire d'État français auprès du ministre des Affaires étrangères (affaires européennes), accorde au quotidien conservateur français Le Figaro un entretien portant sur la deuxième convention de Lomé du 31 octobre 1979 qui fixe pour cinq ans les relations commerciales entre les neuf États membres de la Communauté économique européenne (CEE) et cinquante-sept États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP).
Le 31 octobre 1979, Simone Veil, présidente du Parlement européen, salue la signature de la deuxième convention de Lomé qui, pour les cinq années à venir, définit les relations commerciales entre les neuf États membres de la Communauté économique européenne (CEE) et cinquante-sept États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP).
Le 31 octobre 1979, la deuxième convention de coopération économique entre les neuf États membres de la Communauté économique européenne (CEE) et cinquante-sept pays d'Afrique, du Pacifique et des Caraïbes (ACP) est signée à Lomé (Togo).
En janvier 1980, le mensuel 30 jours d'Europe commente les principales dispositions de la deuxième convention de Lomé, signée le 31 octobre 1979, qui régit pour cinq ans les relations commerciales entre les neuf États membres de la Communauté économique européenne (CEE) et cinquante-sept États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP).
Le 31 octobre 1979, la population togolaise accueille favorablement la signature à Lomé de la deuxième convention qui lie les Neuf à cinquante-sept pays de la zone ACP (Afrique-Caraïbes-Pacifique).