En août 1990, Hans van den Broek, ministre néerlandais des Affaires étrangères, détaille dans la revue Internationale Spectator les structures de sécurité en Europe et évoque le rôle des Pays-Bas dans l’avenir des Communautés européennes.
Le Traité sur l'Union européenne, signé par les Douze à Maastricht le 7 février 1992, prévoit notamment la mise en place d'une politique étrangère et de sécurité commune (PESC).
Schematische Darstellung der Interaktion zwischen den unterschiedlichen Organen der Europäischen Union in den Bereichen der Gemeinsamen Außen- und Sicherheitspolitik, gemäß dem Vertrag über die Europäische Union, der am 7. Februar 1992 unterzeichnet wurde und am 1. November 1993 in Kraft trat.
Le 12 mai 1992, dans le cadre du futur élargissement de l'Union européenne, une note interne de la Commission européenne aborde la question des conséquences politiques et juridiques de l'élargissement sur le domaine de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC).
En juin 1992, le mensuel français Le Monde diplomatique s'interroge sur la possibilité des Douze à parvenir à la mise en oeuvre d'une politique étrangère cohérente au sein des Communautés européennes.
Le 18 décembre 1992, le Parlement européen adopte une résolution dans laquelle il plaide pour la mise en oeuvre par les Douze d'une politique étrangère commune.
Le 26 mai 1995, le quotidien conservateur La Libre Belgique appelle de ses voeux la création d'une armée européenne dans le cadre d'une politique européenne de sécurité.
Le 18 juillet 1996, le Parlement européen adopte une résolution sur les progrès réalisés dans la mise en œuvre de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) au cours de l'année 1995.
"Et maintenant: Uni pour l'Europe !" En 1999, face à l'embrasement des Balkans, le caricaturiste Fritz Behrendt s'interroge sur la réelle capacité d'action de Javier Solana, nommé au poste de Haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune.
Le 4 juillet 1995, Hans van den Broek, membre de la Commission européenne chargé des relations extérieures, souligne dans un discours tenu devant l'Institut Royal des Relations Internationales (IRRI) l'importance des décisions à prendre en matière de politique étrangère et de sécurité commune (PESC) lors de la future Conférence intergouvernementale de 1996.
In diesem Interview spricht der ehemalige luxemburgische Außenminister Jacques F. Poos über die Rolle der Europäischen Politischen Zusammenarbeit (EPZ) in der Außenpolitik, insbesondere in der Gemeinsamen Außen- und Sicherheitspolitik (GASP).
Die Konferenz von Barcelona und die Partnerschaft Europa-Mittelmeer
Le 8 mars 1995, la Commission européenne adresse au Conseil et au Parlement européen une communication dans laquelle elle fait une série de propositions pour la mise en œuvre d'un partenariat euro-méditerranéen.
Le 20 novembre 1995, le quotidien espagnol El País analyse les objectifs de la Conférence de Barcelone des 27 et 28 novembre par laquelle l'Union européenne engage une action d'association euro-méditerranéenne.
En novembre 1995, le mensuel français Le Monde diplomatique analyse les enjeux de la Conférence de Barcelone des 27 et 28 novembre qui concrétise l'action d'association euro-méditerranéenne engagée par l'Union européenne.
Le 21 mai 1996, la déclaration de Bruxelles détaille les décisions prises lors de la conférence ministérielle euro-méditerranéenne de Barcelone dans le domaine de la coopération industrielle.
Le 31 mai 1996, les conclusions de la conférence ministérielle euro-méditerranéenne de Rome portant sur la société de l'information soulignent l'importance de renforcer les coopérations entre les partenaires euro-méditerranéens dans les domaines des télécommunications et des technologies de l'information.
Le 19 mars 1995, le quotidien français Le Monde détaille les enjeux de la future Conférence sur la stabilité en Europe, qui réunit à Paris, les représentants des cinquante-deux pays membres de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
Le 26 avril 1996, le comité de suivi sur l'Europe de l'Est et l'Asie Centrale établit un plan d'action quant aux futures relations entre l'Union européenne et la Russie.