Helmut Kohl, Bundeskanzler von 1982 bis 1998, beschreibt in seinen Erinnerungen die letzten Versuche der Kommunisten in der DDR ihre Macht zu konsolidieren.
«Occident. Polonais, Vietnamiens, Turcs de Bulgarie, Allemands de la Volga, Hongrois de Roumanie, Chinois, réfugiés de la RDA, réfugiés du monde entier.» Le 12 août 1989, suite à l'effondrement progressif des régimes communistes dans l'ancien bloc de l'Est, le caricaturiste néerlandais d'origine berlinoise Fritz Behrendt illustre la question de l'arrivée et de l'accueil de nouveaux réfugiés issus d'Europe centrale et orientale en Occident. Face à l'augmentation des crises migratoires, l'Occident apparaît de plus en plus comme un navire impénétrable. En septembre 1989, près de 6 000 réfugiés est-allemands se rassemblent devant l'Ambassade de la République fédérale d'Allemagne de Prague, espérant pouvoir rejoindre la RFA via la frontière hungaro-autrichienne.
En septembre 1989, la ville de Budapest (place de l'église de la Sainte Famille) accueille de nombreux réfugiés en provenance de la République démocratique allemande (RDA).
En septembre 1989, près de 6000 réfugiés est-allemands se rassemblent devant l'Ambassade de la République fédérale d'Allemagne de Prague, espérant pouvoir rejoindre la RFA via la frontière hungaro-autrichienne ouverte depuis le 10 septembre. Le 30 septembre 1989, le ministre fédéral allemand des Affaires étrangères, Hans-Dietrich Genscher, leur annonce qu'ils sont légalement autorisés par la RDA à émigrer en RFA.
Le 12 octobre 1989, le Parlement européen adopte une résolution relative à l'exode vers la République fédérale d'Allemagne (RFA) de milliers de citoyens est-allemands et dans laquelle il invite le gouvernement de la République démocratique allemande (RDA) à ouvrir la voie des réformes démocratiques.
Le 18 octobre 1989, Egon Krenz succède à Erich Honecker au poste de secrétaire général du comité central du Parti socialiste unifié (SED) de la République démocratique allemande (RDA).
In seiner Ausgabe vom 23. Oktober 1989 berichtet das deutsche Nachrichtenmagazin Der Spiegel über Egon Krenz, den Nachfolger Erich Honeckers als Generalsekretär des Zentralkomitees der Sozialistischen Einheitspartei Deutschlands (SED).
Le 23 octobre 1989, lors des "manifestations du Lundi" à Leipzig, des milliers de personnes manifestent contre la politique du gouvernement est-allemand et appellent à la démocratisation de la République démocratique allemande (RDA).
En octobre 1989, lors des prières pour la paix organisées en l'église Saint-Nicolas à Leipzig et des "manifestations du lundi" sur le "Leipziger Ring", des milliers de personnes manifestent pour la liberté et la démocratie en République démocratique allemande (RDA).
Le 4 novembre 1989, une manifestation regroupant plus de 500.000 personnes se déroule à Berlin-Est. Les manifestants revendiquent davantage de réformes et plus de liberté pour la presse. Sous la pression de la foule regroupée sur l'Alexanderplatz, le pouvoir en place accepte le débat et Günter Schabowski, haut membre du SED (Parti socialiste unifié) de la République démocratique allemande (RDA), prononce un discours, qui sera hué par la foule des manifestants.
"Manifestations du Lundi". Le 6 novembre 1989, des milliers de personnes manifestent pacifiquement à Leipzig contre la politique du gouvernement est-allemand et appellent à la réunification de l'Allemagne divisée.
Le 10 novembre 1989, au lendemain de la chute du mur de Berlin, les dirigeants Est-allemands promettent des élections «libres et secrètes» prévues pour mai 1990. Sur la photo: le discours d'Egon Krenz, secrétaire général du comité central du Parti socialiste unifié (SED) de la République démocratique allemande (RDA).
Le 16 novembre 1989, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe adresse au Comité des ministres une recommandation relative aux événements récents en République démocratique allemande (RDA).
"Un nouveau jour se lève en RDA". En 1989, le caricaturiste Fritz Behrendt représente la chute du régime communiste en République démocratique allemande (RDA) qui annonce la politique de réunification allemande d'Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA).
Am 13. Dezember 1989, in einem Interview mit dem DDR-Fernsehen, erläutert der Bundespräsident Richard von Weizsäcker, die Frage der Deutschen Wiedervereinigung und befürwortet demokratische Veränderungen in der Deutschen Demokratischen Republik.
En 1989, le caricaturiste allemand Hanel décrit le naufrage du régime communiste en République démocratique allemande (RDA) et insiste sur l'aspiration du peuple est-allemand à plus de liberté et de démocratie.
Horst Teltschik, außenpolitischer Berater Helmut Kohls, schildert seine Eindrücke über den Zusammensturz des kommunistischen Regimes in der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) zu Beginn des Jahres 1990.
Le 1er février 1990, Hans Modrow, président du Conseil de ministres de la République démocratique allemande (RDA), présente sa conception en vue de la réalisation de l'unification allemande. Il insiste notamment sur le rôle de l'Allemagne unifiée comme facteur de stabilité, de confiance et de la paix en Europe.
"Après cent ans, le mur existera toujours". En 1988, Erich Honecker, secrétaire général du Parti socialiste unifié (SED) de la République démocratique allemande (RDA), refuse l'idée de voir le mur de Berlin disparaître et se pose en défenseur des valeurs est-allemandes.
Während einer Pressekonferenz des Zentralkomitees der Sozialistischen Einheitspartei Deutschlands – SED, verkündet Günter Schabowski, der Sekretär für Informationswesen im Zentralkomitee der SED, dass Privatreisen von Bürgern der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) ins Ausland ohne Voraussetzungen und unverzüglich unternommen werden können. Diese, zur großen Überraschung aller, abgegebene Erklärung, die auch vorsieht, dass Ausreisen aus der DDR über alle Grenzübergangsstellen zur Bundesrepublik Deutschland (BRD) beispielsweise zu West-Berlin erfolgen können, führt in der Nacht vom 9. zum 10. November 1989 zum Fall der Berliner Mauer.
Dans la nuit du 9 au 10 novembre 1989, le mur de Berlin s'effondre. Pour la première fois depuis 28 ans, tous les Berlinois peuvent circuler librement dans leur ville réunifiée.
Am 9. November 1989 fällt die Berliner Mauer und Tausende von Berlinern bringen ihre Freude zum Ausdruck indem sie auf die Mauer steigen, die seit nun fast dreißig Jahren die Trennung der beiden deutschen Staaten symbolisiert.
Le 9 novembre 1989, la République démocratique allemande (RDA) ouvre ses frontières à Berlin-Ouest et au reste de la République fédérale d'Allemagne (RFA), ce qui provoque de nombreuses manifestations populaires devant la porte de Brandebourg.
Le 9 novembre 1989, le mur de Berlin s'effondre et des milliers de Berlinois expriment leur joie en escaladant le Mur, symbole pendant près de trente ans la séparation des deux États allemands.
Am 10. November 1989, nach der Öffnung der Grenzen der Deutschen Demokratischen Republik (DDR), begrüßt die französische Tageszeitung Le Figaro den Fall der Berliner Mauer und erinnert an die Rolle Egon Krenz’, Generalsekretär der Sozialistischen Einheitspartei Deutschlands (SED), im Öffnungsprozess der DDR.
Le 11 novembre 1989, après la chute du mur de Berlin, le quotidien français Le Figaro titre sur la fin symbolique de la Communauté économique européenne (CEE) et la naissance d'une nouvelle Europe.
Le 1er janvier 1990, deux mois après la chute du mur de Berlin, des milliers de Berlinois manifestent, lors des célébrations du passage à la nouvelle année, leur joie sur le mur qui avait symbolisé pendant presque trente ans la séparation des deux États allemands.
Diese Archivaufnahmen zeigen die Geschichte der Berliner Mauer, von ihrem Bau im August 1961 bis zur ihrem Fall am 9. November 1989. Ein Jahr später, am 3. Oktober 1990, feiert Deutschland begeistert seine Wiedervereinigung.
Dans cet extrait d'interview, Jacques Delors, président de la Commission des Communautés européennes de 1985 à 1995, relate la déclaration qu'il a faite à la Zweites Deutsches Fernsehen (ZDF) au lendemain de la chute du mur de Berlin.