Le 21 mai 1946, le quotidien catholique Luxemburger Wort s'interroge sur le sens historique de l'unité européenne face aux blocs américain et soviétique.
Le 14 juillet 1946, jour de la fête nationale française, Winston Churchill, ancien Premier ministre britannique, rend visite à la ville de Metz. Après avoir passé les troupes en revue avec Robert Schuman, député de la Moselle et le général Julliot, gouverneur de Metz, il y prononce un discours en faveur de l'unité européenne.
Le 14 juillet 1946, jour de la fête nationale française, Winston Churchill, ancien Premier ministre britannique, prononce à Metz un discours en faveur de l'unité européenne.
Le 15 juillet 1946, le quotidien français Le Courrier de Metz illustre en une la visite historique de l'ancien Premier ministre britannique Winston Churchill à Metz et souligne l'importance de son discours en faveur de l'unité européenne.
Le 27 août 1946, faisant le compte de la Seconde Guerre mondiale, le quotidien allemand Aachener Nachrichten s'interroge sur le sens de l'unité européenne et sur le retour aux valeurs humaines.
Le 11 octobre 1946, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le périodique Paraat, organe de presse du parti socialiste néerlandais, s'interroge sur le sens de l'idéal d'unité européenne.
En avril 1947, le publiciste Emery Reves, auteur de l'ouvrage à succès Anatomie de la paix, plaide pour l'établissement d'un gouvernement fédéral international dans les colonnes de la revue française Fédération.
Le 31 mai 1947, l'hebdomadaire viennois Die österreichische Furche critique le manque d'initiative des gouvernements européens pour parvenir à la réalisation indispensable d'une fédération en Europe.
Le 11 avril 1948, le ministre d'État luxembourgeois Pierre Dupong prononce une allocution radiodiffusée dans laquelle il insiste sur la nécessité d'aboutir à une solidarité européenne pour mettre un terme définitif aux conflits armés en Europe.
Le 9 mai 1948, l'hebdomadaire bruxellois Le Phare Dimanche commente avec un certain scepticisme les initiatives en faveur de l'unité européenne et insiste surtout sur la nécessité de garantir la sécurité de l'Europe contre l'URSS.
Le 18 juillet 1948, le comte Carlo Sforza, ministre italien des Affaires étrangères, prononce à l'Université de Pérouse un discours dans lequel il retrace l'évolution historique de l'idée européenne et appelle ses concitoyens à œuvrer activement pour l'unification du continent.
Le 3 septembre 1948, citant le journaliste américain Walter Lippmann, le quotidien britannique Daily Mail commente le comportement du gouvernement travailliste vis-à-vis de l'unité de l'Europe. Il remarque que l'aide Marshall et l'Union occidentale resteront sans effet si le Premier ministre Clement Attlee et le Ministre des Affaires étrangères Ernest Bevin ne changent pas de politique intérieure et étrangère.
"L'Europe - C'est moi !" Le 19 novembre 1948, le caricaturiste britannique David Low illustre Charles de Gaulle, président du gouvernement provisoire de la République française de 1944 à 1946, qui expose sa conception très personnelle de l'idée d'Europe au président américain Harry Truman et à Clement Attlee, Premier ministre britannique.
Le 6 septembre 1950, la revue néerlandaise Internationale Spectator fait un bilan des différents mouvements qui défendent l'unité de l'Europe et souligne les obstacles auxquels ils se heurtent.
Dans cette interview, Paul Collowald, ancien journaliste au quotidien Le Nouvel Alsacien et ancien correspondant du quotidien Le Monde en Alsace pour les questions européennes, évoque la portée politique du discours prononcé le 14 juillet 1946, jour de la fête nationale française, à Metz par Winston Churchill, ancien Premier ministre britannique, en faveur de l'unité européenne.
Dans cet entretien privé, l'Archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine, président de l'Union paneuropéenne internationale, distingue la vision technocratique de l'Europe unie de Jean Monnet de la perception plus prophétique du comte Richard Coudenhove-Kalergi, fondateur de l'Union Paneurope.
Dans cette interview, le journaliste Jean-Pierre Gouzy, ancien membre de l'exécutif du Mouvement français pour les États-Unis d'Europe et de l'Union française des fédéralistes, pointe les raisons de la multiplication des mouvements pro-européens après la Seconde Guerre mondiale.
Dans cette interview, le journaliste Jean-Pierre Gouzy, ancien membre de l'exécutif du Mouvement français pour les États-Unis d'Europe et de l'Union française des fédéralistes, rappelle les origines du courant pro-européen en France après la Seconde Guerre mondiale.
Dans cette interview, le journaliste Jean-Pierre Gouzy, ancien membre de l'exécutif du Mouvement français pour les États-Unis d'Europe et de l’Union française des fédéralistes, explique les motivations de son engagement fédéraliste européen.