Le 29 juin 1944, le président américain Franklin D. Roosevelt, accueille les participants à la conférence monétaire de Bretton Woods (New Hampshire) pour la mise en place d'un nouveau système monétaire international.
Le 1er juillet 1944, l'Américain Henry Morgenthau Jr., secrétaire d'État au Trésor, expose les enjeux de la conférence internationale sur la coopération monétaire qui s'ouvre à Bretton Woods (New Hampshire).
Le 20 juillet 1944, la première commission créée par la conférence de Bretton Woods (New Hampshire) dresse un bilan positif des travaux relatif à l'établissement d'un Fonds monétaire international (FMI).
Le 20 juillet 1944, les délégués de quarante-quatre pays signent à Bretton Woods (New Hampshire) les Accords qui créent le système de l'étalon de change-or et qui font du dollar américain la seule monnaie de réserve convertible en or.
Le 21 juillet 1944, la deuxième commission instaurée par la conférence monétaire de Bretton Woods (New Hampshire) adopte un rapport relatif à la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD).
Le 21 juillet 1944, à l'occasion de la conférence de Bretton Woods, le rapport de la commission III détaille les mesures pour intensifier la coopération financière et monétaire internationale.
Le 22 juillet 1944, à l'occasion de son discours de clôture, Henry Morgenthau Jr., secrétaire américain au Trésor et président de la Conférence de Bretton Woods, se félicite de la mise en place du Fonds monétaire international et de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement.
En 1944, à l'issue de la conférence monétaire de Bretton Woods (New Hampshire), John Maynard Keynes, économiste de renommée internationale et conseiller financier du Trésor britannique, prononce un discours dans lequel il souligne l'urgence de mettre en place une Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD).
Le 7 mars 1945, dans un discours prononcé à Washington devant le Comité des banques et des monnaies de la Chambre des représentants, Henry Morgenthau Jr., Secrétaire américain au Trésor, décrit l'importance économique et politique des Accords de Bretton Woods.
Le 26 juillet 1945, le quotidien français Le Monde commente la ratification par le Sénat américain des Accords monétaires de Bretton Woods et décrit le rôle prépondérant du dollar et des États-Unis dans le nouveau système monétaire international.
Le 5 juin 1947, George Marshall, secrétaire d'État américain, prononce à l'université Harvard (Massachusetts) un discours dans lequel il propose à tous les pays européens affaiblis par la guerre une importante aide économique.
Le 5 juin 1947, l'université Harvard (Massachusetts) accueille le secrétaire d'État américain George C. Marshall qui y prononce un discours dans lequel il propose aux pays d'Europe une assistance économique et financière conditionnée par une coopération européenne plus étroite.
Le 5 juin 1947, George C. Marshall, secrétaire d'État américain, prononce à l'université Harvard (Massachusetts) un discours dans lequel il propose aux pays d'Europe une assistance économique et financière conditionnée par une coopération européenne plus étroite. Au centre, C. Marshall tenant un chapeau à la main et discutant avec le général Omar Nelson Bradley, héros de la Seconde Guerre mondiale.
Le 6 juin 1947, le quotidien luxembourgeois Luxemburger Wort analyse le discours prononcé la veille par le secrétaire d'État américain George Marshall à Harvard et dresse un parallèle entre l'aide américaine promise à l'Europe et les tentatives soviétiques d'ériger une fédération balkanique.
Le 6 juin 1947, au lendemain du discours du secrétaire d'État américain George Marshall à Harvard, le quotidien néerlandais De Volkskrant s’interroge sur la mise en application du programme d’aide des États-Unis à l’Europe.
Le 10 juin 1947, le quotidien allemand Die Welt s'interroge sur les enjeux et l'application du futur programme d'aide à la reconstruction proposé par George Marshall, secrétaire d'État américain à l'Europe.
Le 18 juin 1947, le diplomate André François-Poncet décrit dans le quotidien français Le Figaro les difficultés auxquelles l'Europe est confrontée pour répondre à la proposition du secrétaire d'État américain George Marshall.
Le 2 juillet 1947, Joseph M. Jones, assistant spécial du secrétaire d'État américain George C. Marshall, décrit le rôle qu'il a personnellement joué dans la préparation du discours prononcé le 5 juin 1947 à l'université Harvard par G. C. Marshall.
Le 7 novembre 1947, l'hebdomadaire français La Tribune des Nations détaille les propos de Virgil Jordan, président du National Industrial Conference Board aux États-Unis, qui insiste sur les dangers du plan Marshall pour le tissu économique et industriel américain.
Le 21 novembre 1947, le "train de l'amitié", chargé de nourriture récoltée par des citoyens américains pour l'Europe ravagée par la guerre, quitte New York sur un cargo à travers le fleuve Hudson.
Le 24 novembre 1947, Jim Carey, secrétaire général du Congress for Industrial Organisation (CIO) défend, dans les colonnes du quotidien socialiste français Le Populaire, le Plan Marshall contre les critiques formulées à son encontre par certains milieux syndicaux européens.
Le 26 novembre 1947, l'agent immobilier Ray Moseley s'inquiète auprès du président américain Harry Truman de l'aide financière accordée par les États-Unis aux pays européens au détriment des ménages américains. Dans sa réponse datée du 1er décembre 1947, Harry Truman rappelle que la plupart des pays européens, ravagés par la guerre, ont un besoin urgent de l'aide économique américaine.
Le 19 décembre 1947, le président américain Harry S. Truman expose devant le Congrès les enjeux de la reconstruction économique de l'Europe et détaille l'aide accordée par les États-Unis pour relever l'économie européenne.
"Une fois passé le portier". Le 7 janvier 1948, dans le cadre des débats au Congrès américain sur l’approbation du plan Marshall, le caricaturiste britannique Leslie Gilbert Illingworth illustre l’impatience des pays européens face à l'aide financière et économique américaine.
"Union occidentale de rugby". Le 8 mars 1948, face à la menace du bloc soviétique, le caricaturiste britannique Leslie Gilbert Illingworth illustre les efforts de Georges Marshall, secrétaire d'État américain pour rassembler autour de lui les pays d'Europe occidentale et créer ainsi un front uni face aux dangers du communisme.
"Le loup et les petites chèvres. Hier un conte et aujourd'hui ?" En mars 1948, évoquant le plan Marshall, le caricaturiste allemand Lang illustre la solidarité qui lie les pays d'Europe occidentale qui s'unissent pour protéger l'Allemagne convalescente de la menace soviétique.
Le 3 avril 1948, le président américain Harry Truman signe la loi instaurant l'Economic Cooperation Administration (ECA) destinée à gérer le programme d'aide matérielle et financière accordée aux pays européens par les États-Unis.
Le 5 juin 1947, le secrétaire d'État américain George C. Marshall propose une assistance économique et financière à tous les pays d'Europe. Ils seront seize à accepter le European Recovery Program (ERP) ou plan Marshall.
Le 9 avril 1948, le président américain Harry Truman (à dr.) nomme Paul Hoffman (à g.) au poste d'administrateur de l' "Economic Cooperation Administration" (ECA) chargée de la répartition des fonds fournis par le Plan Marshall.
Le 21 avril 1948, le quotidien libéral belge La Dernière Heure publie les chiffres provisoires concernant les attributions financières faites par les États-Unis aux pays européens dans le cadre du plan Marshall d'aide à l'Europe.
"Le vent d'Ouest- Et maintenant au travail". En juillet 1948, le caricaturiste britannique Leslie Gilbert Illingworth illustre l'aide économique fournie par les États-Unis dans le cadre du plan Marshall et souligne l’importance de la reconstruction de l’Europe.
"Marathon". En août 1948, le caricaturiste anglais Ernest Howard Shepard souligne le rôle de Paul Hoffman, administrateur de l' "Economic Cooperation Administration" (ECA) chargée de la répartition des fonds fournis par le plan Marshall, dans la reconstruction économique de l'Europe occidentale.
Le 29 novembre 1948, le président américain Harry Truman (à g.) réunit George C. Marshall, Paul Hoffmann et Averell Harriman dans le bureau ovale de la Maison Blanche pour discuter de la mise en place du plan Marshall d'aide à l'Europe.
Le 14 janvier 1949, George Marshall, secrétaire d'État américain, adresse à Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, une lettre dans laquelle il le remercie pour l'aide apportée dans le cadre de la reconstruction de l'Europe.
Le 30 octobre 1952, George C. Marshall accorde à Harry B. Price une interview au cours de laquelle l'ancien secrétaire d'État américain retrace les origines du Plan Marshall et décrit le rôle important de George Kennan et d'Arthur Vandenberg dans l'élaboration du European Recovery Program (ERP).
Dans ses Mémoires, Harry S. Truman, ancien président des États-Unis, évoque les raisons de la mise en place d'une aide économique américaine en faveur de l'Europe au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Dans cette interview, Leo Tindemans, ancien attaché des services économiques du ministère belge de l'Agriculture, évoque l'aide économique apportée après la Seconde Guerre mondiale par les États-Unis aux pays européens à travers les crédits du plan Marshall.
Dans cette interview, Hans-August Lücker, ancien directeur de la Chambre agricole bavaroise, et, à ce titre, auteur d'un mémorandum sur l'utilisation des aides du plan Marshall dans l'agriculture, évoque la nécessité, après la Seconde Guerre mondiale, de faire du secteur agricole un secteur économique performant et rentable dans le cadre d'une économie sociale de marché.
Le 16 avril 1948, les représentants des seize États européens qui ont accepté l'aide du plan Marshall signent à Paris la convention instituant l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) qui entrera en vigueur le 1er juillet 1948.
Le 16 avril 1948, les représentants des seize États européens qui ont accepté l'aide du plan Marshall signent à Paris la convention instituant l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) qui entrera en vigueur le 1er juillet 1948. Georges Bidault, ministre français des Affaires étrangères, paraphe la convention au nom de la France.
Le 16 avril 1948, Paul-Henri Spaak, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la Belgique, signe au château de la Muette à Paris la Convention instituant l'Organisation européenne de coopération économique (OECE).
Le 16 avril 1948, les représentants de l'Autriche, de la Belgique, du Danemark, de la France, de la Grèce, de l'Irlande, de l'Islande, de l'Italie, du Luxembourg, de la Norvège, des Pays-Bas, du Portugal, du Royaume-Uni, de la Suède, de la Suisse, de la Turquie et les commandants en chef des zones d'occupation en Allemagne de la France, du Royaume-Uni et des États-Unis signent à Paris la convention portant création de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) qui entre en vigueur le 1er juillet 1948.
Le 24 août 1948, le gouvernement italien adresse au gouvernement français un mémorandum dans lequel il souligne le rôle important de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) présentée comme un levier essentiel à l'unification européenne.
Signé à Paris le 16 octobre 1948 par les représentants de l'Autriche, de la Belgique, du Danemark, de la France, de la Grèce, de l'Irlande, de l'Islande, de l'Italie, du Luxembourg, de la Norvège, des Pays-Bas, du Portugal, du Royaume-Uni, de la Suède, de la Suisse, de la Turquie et par les commandants en chef des zones d'occupation en Allemagne de la France, du Royaume-Uni et des États-Unis et par le commandant de la zone anglo-américaine du territoire libre de Trieste, le premier Accord de paiements et de compensations entre les pays européens vise à instaurer un système régional de paiements pour favoriser l'expansion des échanges intra-européens.
Le 30 décembre 1948, l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) rend public son rapport intérimaire sur les problèmes de la reconstruction économique de l'Europe d'après-guerre.
Le 30 décembre 1948, l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) rend public son rapport intérimaire sur le programme de relèvement européen consacré à la situation économique de l'Autriche.
Le 30 décembre 1948, l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) rend public son rapport intérimaire sur le programme de relèvement économique des pays du Benelux.
Le 30 décembre 1948, l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) rend public son rapport intérimaire sur le programme de relèvement économique de l'Italie.
Le 30 décembre 1948, l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) rend public son rapport intérimaire sur le programme de relèvement économique du Royaume-Uni.
Robert Marjolin, secrétaire général de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE), enregistre un message dans les studios parisiens de "Voice of America", pour une diffusion depuis le studio de New York, à l'occasion du premier anniversaire du plan Marshall en avril 1949.
Le 29 octobre 1949, le quotidien milanais Il nuovo Corriere della Sera s'interroge sur l'avenir de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) et insiste sur l'importance d'une coordination des politiques économiques nationales en Europe.
Le 20 décembre 1949, le quotidien néerlandais Het Parool s'interroge sur l'action menée par l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) en faveur de l'intégration économique européenne.
Le 1er février 1950, le quotidien néerlandais Het Vrije Volk se réjouit de la nomination de Dirk U. Stikker, ministre néerlandais des Affaires étrangères, au poste de "médiateur politique" de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE).
"Le plan Stikker". Le 11 février 1950, le caricaturiste néerlandais Roc illustre la nomination sous l'influence des États-Unis de Dirk U. Stikker, ministre néerlandais des Affaires étrangères, au poste de "médiateur politique" de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE).
Le 13 juin 1950, le quotidien néerlandais Het Vrije Volk commente la proposition de Dirk Stikker, ministre néerlandais des Affaires étrangères, de poursuivre l'intégration européenne par secteur.
En septembre 1951, l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) rend public un rapport qui insiste notamment sur la fondation et les méthodes de travail de l'organisation ainsi que sur sa politique générale.
Le 10 avril 1953, réunion à Washington des dirigeants de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) afin d'étudier la situation économique de l'Europe. De g. à dr.: Harold Stassen (directeur de la sécurité mutuelle), sir Hugh Ellis-Rees (président du Conseil de l'OECE), Hans Karl von Mangoldt (président du Conseil d'administration de l'Union européenne des paiements), Attilio Cattani (président du Comité exécutif de l'OECE), le baron Jean-Charles Snoy et d'Oppuers (président de la Commission directrice des échanges) et Robert Marjolin (secrétaire général de l'OECE).
En 1954, Karl Harten, Directeur de l'Agence européenne de productivité (AEP), détaille les activités de l'AEP et décrit les mesures visant à accroître la productivité européenne.
En 1954, Yvan Lavergne, Administrateur à la Division de l'Énergie de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE), examine la politique de l'OECE en matière d'approvisionnement de charbon en Europe.
En 1954, Dirk Stikker, président de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) de 1950 à 1952, analyse les travaux de l'organisation au cours de ses premières années d'existence.
Le 12 juin 1949, le périodique bruxellois Le Phare Dimanche détaille les raisons de l'échec de la réunion du Conseil consultatif de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) appelé à élaborer un plan réglementant les paiements intraeuropéens.
Le 29 octobre 1949, le Mouvement européen adresse à l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe et à l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) un mémorandum dans lequel il plaide pour un retour à la libre convertibilité des devises en Europe.
Le 15 décembre 1949, le Royaume-Uni soumet au Secrétariat de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) un mémorandum qui souligne l'importance de la mise en place d'un nouveau cadre régissant l'avenir des paiements intraeuropéens.
"Il est l'heure, Messieurs, s'il vous plaît". Le 28 décembre 1949, le caricaturiste anglais David Low illustre l’irritation des États-Unis contre les lenteurs de la mise en place d’une Union européenne des paiements destinée à faciliter les transactions entre les pays membres de l’OECE et relancer leurs échanges commerciaux.
Le 8 mars 1950, les autorités belges présentent à l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) un mémorandum sur les enjeux et sur les objectifs d'une future Union européenne des paiements (UEP).
Le 27 mars 1950, Hubert Ansiaux, directeur de la Banque nationale de Belgique, soumet à Paul van Zeeland, ministre belge des Affaires étrangères, un rapport sur l'avancée des négociations concernant la création d'une Union européenne des paiements (UEP).
"Se baigner légèrement des deux côtés". Le 28 mars 1950, le caricaturiste anglais David Low illustre les hésitations d'Ernest Bevin (à g.), ministre britannique des Affaires étrangères, et de Hugh Gaitskell (à dr.), ministre britannique des Affaires économiques, face aux appels de l'Américain Paul Hoffman, administrateur de l' "Economic Cooperation Administration" (ECA) chargée de gérer la répartition des fonds fournis par le plan Marshall, qui les invite à rejoindre la future Union européenne des paiements (UEP).
Le 14 janvier 1950, les représentants des seize pays membres de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) élaborent à Paris une première ébauche de la structure et les buts d'une Union européenne des paiements (UEP).
Le 26 mai 1950, Hubert Ansiaux, gouverneur de la Banque nationale de Belgique et membre de la délégation belge aux négociations des Seize sur la création d'une Union européenne des paiements (UEP), détaille à Paul van Zeeland, ministre belge des Affaires étrangères, l'état d'avancement des travaux sur l'établissement d'une UEP.
Le 7 juillet 1950, le quotidien néerlandais De Volkskrant commente la proposition de Maurice Petsche, ministre français des Finances, de créer une union européenne des paiements.
Le 19 septembre 1950, les représentants des gouvernements de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de l'Autriche, de la Belgique, du Danemark, de la France, de la Grèce, de l'Irlande, de l'Islande, de l'talie, du Luxembourg, de la Norvège, des Pays-Bas, du Portugal, du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, de la Suède, de la Suisse, de la Turquie et le Commandant de la zone anglo-américaine du territoire libre de Trieste signent à Paris l'Accord sur l'établissement d'une Union européenne des paiements (UEP).
Le 19 septembre 1950, l'Accord sur l'établissement d'une Union européenne des paiements (UEP) est signé à Paris. Sur la photo (de g. à dr.), Milton Katz, représentant spécial des États-Unis, Herbert Prack, président du Conseil et chef de la délégation d'Autriche et Robert Marjolin, secrétaire général de l'OECE examinent l'accord nouvellement signé.
En décembre 1950, le Bulletin du Conseil national du patronat français examine la position de la France et de l'Allemagne à l'égard de l'Union européenne des paiements (UEP).
En 1951, l'Union européenne des paiements (UEP) publie son premier rapport annuel qui détaille les principales activités de l'organisation depuis sa création.
Le 8 août 1952, Franz Blücher, ministre fédéral en charge des questions ayant trait au plan Marshall, insiste sur les difficultés de l'Union européenne des paiements (UEP) pour assurer un fonctionnement sans problèmes des opérations de paiement au niveau communautaire.
En 1953, le troisième rapport annuel publié par l'Union européenne des paiements (UEP) dresse le bilan de ses activités au sein des États membres de l'organisation.
En 1954, Ernest Waters, chef de la division des paiements de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE), décrit le rôle et le fonctionnement de l'Union européenne de paiements (UEP).
Dirk Stikker, ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas de 1948 à 1952, se souvient dans ses Mémoires de la création de l'Union européenne des paiements par les dix-huit pays membres de l'OECE en 1950.
Le 5 août 1955, la République Fédérale d'Allemagne (RFA), l'Autriche, la Belgique, le Danemark, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Portugal, le Royaume-Uni, la Suède, la Suisse et la Turquie signent à Paris l'Accord monétaire européen (AME) destiné à remplacer l'Union européenne des paiements (UEP) au début de l'année 1959.
Le 5 août 1955, la République Fédérale d'Allemagne (RFA), l'Autriche, la Belgique, le Danemark, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Portugal, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, la Suède, la Suisse et la Turquie adoptent à Paris le protocole pour l'application provisoire de l'Accord monétaire européen (AME) destiné à remplacer l'Union européenne des paiements (UEP) au début de l'année 1959.
Le 27 juin 1958, la République Fédérale d'Allemagne (RFA), l'Autriche, la Belgique, le Danemark, la France, la Grèce, l'Islande, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, le Portugal, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, la Suède, la Suisse et la Turquie apportent diverses modifications techniques à l'Accord monétaire européen (AME).