Le 13 avril 1961, Georges Gorse, représentant permanent de la France auprès des Communautés européennes, rend compte à Maurice Couve de Murville, ministre français des Affaires étrangères, de la procédure adoptée par la Commission de la CEE pour finaliser l'accord d'association de la Grèce à la CEE.
Le 9 juillet 1961, la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE) signent un accord d'association qui prévoit la possibilité d'une adhésion ultérieure. L'accord entrera en vigueur le 1er novembre 1962.
Le 9 juillet 1961, la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE) signent un accord d'association qui prévoit la possibilité d'une adhésion ultérieure. En même temps est signé l'accord relatif aux mesures à prendre et aux procédures à suivre pour l'application de cet accord d'association.
Le 9 juillet 1961, la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE) signent un accord d'association qui prévoit la possibilité d'une adhésion ultérieure. En même temps est signé l'accord relatif au protocole financier annexé à cet accord d'association.
Le 9 juillet 1961, la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE) signent un accord d'association qui prévoit la possibilité d'une adhésion ultérieure. En même temps est signé la convention relative aux méthodes de coopération administrative pour l'application des articles 7 et 8 de cet accord d'association.
Le 9 juillet 1961, la Grèce signe à Athènes un accord d'association avec la Communauté économique européenne (CEE). L'accord entrera en vigueur le 1er novembre 1962.
Le 9 juillet 1961, à l'occasion de la signature à Athènes de l'accord d'association entre la Grèce et la Communauté économique européenne, Panaiotis Kanellopoulos, vice-président du Conseil des ministres grec, souligne la signification politique fondamentale de cet accord.
A l'occasion de la signature, le 9 juillet 1961, de l'accord d'association entre la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE), Walter Hallstein, président de la Commission de la CEE, souligne la portée politique de l'accord.
Le 9 juillet 1961, prenant la parole lors du dîner de gala offert aux représentants grecs et européens après la signature à Athènes de l'accord d'association entre la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE), Constantin Caramanlis, président du Conseil des ministres de Grèce, se félicite du nouveau lien qui unit le peuple hellénique aux Six.
Le 9 juillet 1961, Jean Rey, commissaire européen et principal négociateur de l'accord d'association entre la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE), présente l'accord signé le jour même à Athènes comme une étape décisive dans le processus d'unification européenne.
En septembre 1961, Jean Rey, membre de la Commission de la CEE, souligne les enjeux économiques de l'accord d'association, signé à Athènes le 9 juillet 1961, entre la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE).
Le 24 août 1962, le Conseil de la Communauté économique européenne (CEE) publie une note sur les objectifs de l'accord d'association entre la Grèce et la CEE.
Le 1er novembre 1962, l'accord d'association entre la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE) entre en vigueur. Walter Hallstein, président de la Commission de la CEE, et Constantin Caramanlis, président du gouvernement hellénique, se félicitent mutuellement de la collaboration future entre les Six et la Grèce.
En 1962, John S. Pesmazoglu, président du comité interdépartemental grec pour la coopération européenne, souligne les enjeux politiques et économiques de l'Accord d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et la Grèce.
A l'occasion de l'entrée en vigueur, le 1er novembre 1962, de l'Accord d'association entre la Grèce et la Communauté économique européenne (CEE), Walter Hallstein, président de la Commission de la CEE, souligne le rôle important joué par la Grèce au sein de l'Europe.
Dans cette interview, Hans-August Lücker, ancien rapporteur général au Parlement européen pour l'adhésion de la Grèce à la Communauté économique européenne (CEE), évoque l'importance pour les Six de conclure un accord d'association avec la Grèce et souligne les principaux aspects des négociations en ce qui concerne l'agriculture.
Le 21 avril 1967, le coup d'État en Grèce porte au pouvoir une junte militaire, appelée régime des colonels, dirigée par (de g. à dr.) : le général Georgios Zoitakis, régent; le général de brigade Stylianos Pattakos, vice-Premier ministre et ministre de l'Intérieur et le colonel Georgios Papadopoulos, Premier ministre.
Le 2 juin 1967, le Parlement européen dénonce l'instauration d'un régime militaire dictatorial en Grèce et appelle à la suspension de l'accord d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et la Grèce dans l'attente d'un retour des valeurs démocratiques dans le pays.
En septembre 1974, de retour d'Athènes, Cornelis Berkhouwer, président du Parlement européen, livre, dans les colonnes du mensuel 30 jours d'Europe, ses impressions sur une éventuelle adhésion de la Grèce à la Communauté économique européenne (CEE).
La demande et les négociations d'adhésion de la Grèce aux CE
En mars 1975, le mensuel français Le Monde diplomatique analyse les difficultés économiques héritées de la dictature militaire auxquelles la Grèce doit faire face dans ses efforts pour réformer son économie.
Le 12 juin 1975, Constantin Caramanlis, Premier ministre grec, adresse à Garret FitzGerald, président en exercice du Conseil des Communautés européennes, la demande d'adhésion de la Grèce à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 12 juin 1975, Constantin Caramanlis, Premier ministre grec, adresse à Garret FitzGerald, président en exercice du Conseil des Communautés européennes, la demande d'adhésion de la Grèce à la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Le 12 juin 1975, Constantin Caramanlis, Premier ministre grec, adresse à Garret FitzGerald, président en exercice du Conseil des Communautés européennes, la demande d'adhésion de la Grèce à la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
La demande et les négociations d'adhésion de la Grèce aux CE
Le 12 juin 1975, Stephanos Stathatos, ambassadeur de Grèce à Bruxelles, remet à Brendan Dillon, représentant permanent irlandais auprès des Communautés européennes, la demande officielle d'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes dont l'Irlande assure la présidence tournante.
Le 5 juin 1975, la Grèce demande officiellement son adhésion aux Communautés européennes. Le 13 juin, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung décrit les arguments défavorables auxquels pourrait se heurter cette demande.
Le 13 juin 1975, commentant la demande officielle d'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes, le quotidien français Le Figaro pointe les difficultés liées au régime agricole et aux questions budgétaires.
Le 6 février 1976, l'hebdomadaire allemand Die Zeit décrit les inquiétudes de la Commission des Communautés européennes vis-à-vis du retard économique de la Grèce et du coût financier de l'adhésion grecque aux Communautés.
Le 11 février 1976, le quotidien français Le Figaro commente la réaction de la Grèce suite à la décision du Conseil des ministres des Neuf d'accepter la candidature grecque aux Communautés européennes sans imposer une période probatoire de préadhésion.
Le 11 février 1976, le quotidien français Le Monde décrit les conséquences de la décision du Conseil des Communautés européennes de ne pas imposer de période probatoire de préadhésion à la Grèce.
Le 16 février 1976, commentant l'ouverture des négociations d'adhésion de la Grèce à la Communautés européennes, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel analyse la situation des structures économiques grecques.
Le 16 février 1976, le quotidien La Libre Belgique se félicite de la réponse positive des Neuf à la demande de la Grèce d'adhérer aux Communautés européennes tout en évoquant les problèmes que pose une telle décision, notamment sur le plan institutionnel ou économico-agricole.
Le 20 octobre 1976, Constantin Caramanlis, Premier ministre de la Grèce, explique devant le Parlement grec l'enjeu des négociations d'adhésion aux Communautés européennes pour le pays.
Le 12 juin 1975, la Grèce demande son adhésion aux Communautés européennes. En novembre 1976, dans les colonnes du mensuel 30 jours d'Europe, Laurent Leblond fait le point sur la situation politique et économique du pays.
Le 5 mars 1977, Xenophon Zolotas, gouverneur de la Banque de Grèce, détaille dans le journal français Le Nouveau Journal les raisons pour lesquelles la Grèce a demandé son adhésion aux Communautés européennes.
Les négociations pour l'adhésion de la Grèce aux Communautés ont commencé officiellement le 27 juillet 1976. Ce document, daté de mars 1977, fait un état des lieux de la situation.
En novembre 1977, le mensuel français Le Monde diplomatique analyse l'attitude du patronat et de l'État grecs face aux enjeux de l'adhésion du pays aux Communautés européennes.
En 1978, Gaston Thorn, président du gouvernement luxembourgeois, passe en revue les risques et les chances d'un deuxième élargissement des Communautés européennes et se demande quand et sous quelles conditions l'adhésion de la Grèce devra se faire.
Le 22 décembre 1978, le quotidien La Libre Belgique relate le processus préparatoire à la demande d'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes et dresse un premier bilan des négociations diplomatiques.
Dans la revue fédéraliste L'Europe en formation, Georges Contogeorgis, ministre grec chargé des relations avec les Communautés européennes, fait un historique des relations entre la Grèce et les CE et analyse les perspectives d'avenir de son pays au sein de la Communauté.
Dans cette interview, Hans-August Lücker, ancien vice-président de l'Union européenne des démocrates-chrétiens (UECD) et ancien vice-président du Parlement européen, évoque les réticences manifestées à la fin des années soixante-dix par l'Église grecque orthodoxe en ce qui concerne l'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes.
Dans son avis relatif à la demande d'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes du 23 mai 1979, la Commission rappelle que les principes de démocratie pluraliste et de respect des droits de l'homme font partie du patrimoine commun des peuples des États réunis dans les Communautés européennes et constituent donc des éléments essentiels de l'appartenance à ces Communautés.
Le 24 mai 1979, le Conseil des Communautés européennes décide d'accepter la demande d'admission de la Grèce à la Communauté économique européenne (CEE) et à la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Le 24 mai 1979, le Conseil des Communautés européennes marque son approbation sur l'adhésion de la Grèce à la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 26 mai 1979, l'hebdomadaire français L'Express analyse les efforts poursuivis par Constantin Caramanlis, Premier ministre grec, pour préparer son pays à entrer dans l'Europe communautaire.
Le 29 mai 1979, le quotidien britannique The Guardian souligne les avantages du nouvel élargissement de l'Europe et se félicite des efforts consentis par la Grèce pour accéder aux Communautés européennes.
Le 27 mai 1979, le quotidien espagnol El País analyse la situation politique en Grèce à la veille de la signature du traité d'adhésion du pays aux Communautés européennes.
Le 28 mai 1979, à l'occasion de la signature du traité d'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes, le Premier ministre grec Constantin Caramanlis souligne la portée historique de cette journée pour son pays.
Le 28 mai 1979, le Premier ministre grec Constantin Caramanlis signe à Athènes le traité d'adhésion de la République hellénique aux Communautés européennes. Sur la photo: préparation des documents quelques heures avant leur signature.
Le 28 mai 1979, le Premier ministre grec Constantin Caramanlis signe à Athènes le traité d'adhésion de la République hellénique aux Communautés européennes.
Le 29 mai 1979, au lendemain de la signature à Athènes des actes relatifs à l'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes, le quotidien français Le Monde dresse le portrait du dixième membre des CE.
Le 29 mai 1979, au lendemain de la signature à Athènes des actes relatifs à l'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes, l'Europe des Dix s'interroge sur son nouveau profil.
Dans cette interview, Jean-Jacques Kasel, chef de cabinet du ministre luxembourgeois des Affaires étrangères Gaston Thorn de 1979 à 1981, souligne les réticences ayant vu le jour chez certains États membres des Communautés européennes face à la demande d’adhésion de la Grèce à la Communauté économique européenne (CEE).
Dans la revue fédéraliste L'Europe en formation, Andréas Papandréou, président du parti socialiste grec PASOK, dresse un tableau noir de l'agriculture et de l'économie grecques suite à l'adhésion du pays aux Communautés européennes et demande que le peuple hellénique puisse se prononcer dans un référendum sur cette adhésion.
Le 5 décembre 1979, Jean François-Poncet, ministre français des Affaires étrangères, souligne devant l'Assemblée nationale la portée historique et économique de l'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes.
En 1980, George Contogeorgis, ministre grec aux Affaires européennes, souligne l'importance politique et économique de l'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes et analyse en détail le traité d'adhésion signé le 28 mai 1979 à Athènes.
Le 13 avril 1976, le gouverneur de la Banque de Grèce, Xenophon Zolotas analyse dans une conférence donnée à l'Académie d'Athènes, les avantages politico-économiques d'une adhésion grecque à la Communauté économique européenne (CEE).
En août 1976, le gouverneur de la Banque de Grèce, Xenophon Zolotas, insiste sur les progrès réalisés par l'économie grecque afin de satisfaire aux conditions d'adhésion à la Communauté économqiue européenne (CEE).
En 1980, le caricaturiste allemand Hanel illustre la question de l'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes et insiste sur la difficile situation économique et financière du pays.
Le 6 juillet 1977, dans le cadre des négociations d'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes, le quotidien britannique The Guardian analyse la situation de l'agriculture grecque.
Le 2 juin 1978, Xenophon Zolotas, gouverneur de la Banque de Grèce, insiste lors d'une intervention faite à l'Institut des Études bancaires sur les apports positifs de la Grèce à l'intégration européenne.
En octobre 1979, Francois-Xavier Ortoli, vice-président de la Commission des Communautés européennes, explique dans un discours les conditions dans lesquelles il faut placer la perspective de la participation de la Grèce au Système monétaire européen (SME).
Le 10 juillet 1980, le quotidien français Le Monde dresse un tableau de la marine marchande grecque à la veille de l'entrée de la Grèce aux Communautés européennes.
Le 17 décembre 1980, le journal français Le Nouveau Journal pointe les difficultés qui vont se poser pour le Marché commun suite à l'adhésion de la Grèce, notamment en raison de sa situation économique.
Le 31 décembre 1980, à la veille de l'adhésion officielle de la Grèce aux Communautés européennes, le quotidien allemand Die Welt dresse un bilan mitigé de la situation économique grecque.
Dans son éditorial du 10 avril 1981, Emanuele Gazzo, directeur général de l'Agence Europe, plaide pour la mise en oeuvre d'une véritable politique commune des transports à l'occasion de l'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes.
Le 3 janvier 1981, au lendemain de l'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes, le quotidien français Le Monde souligne les avantages de l'adhésion grecque pour la France.
Le 31 décembre 1980, le quotidien allemand Die Welt analyse les dispositions transitoires qui accompagnent l'adhésion de la Grèce à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 1er janvier 1981, le quotidien français Le Figaro annonce l'entrée officielle de la Grèce au sein des Communautés européennes et évoque les enjeux du nouvel élargissement de l'Europe communautaire.
Le premier janvier 1981, la rédaction de RTL à Paris annonce l'entrée officielle de la Grèce au sein des Communautés européennes. Désormais on ne parle plus d'Europe des Neuf, mais d'Europe des Dix.
Dans son édition de décembre 1980, le Bulletin de l'Association européenne de libre-échange (AELE) analyse les relations futures de l'AELE et de la Grèce suite à l'adhésion de celle-ci, en janvier 1981, aux Communautés européennes.
Le 20 décembre 1980, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung s'inquiète des difficultés, notamment financières et agricoles, que pose l'adhésion de la Grèce puis de l'Espagne et du Portugal à la Communauté économique européenne (CEE).
En décembre 1980, Colette Flesch, ministre luxembourgeoise des Affaires étrangères et présidente en exercice du Conseil des Communautés européennes, fait part de sa satisfaction concernant l'entrée, effective le 1er janvier 1981, de la Grèce aux Communautés.
Le 1er janvier 1981, commentant l'adhésion de la Grèce à la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien français Le Monde plaide en faveur d'une réforme des institutions communautaires et de leur mode de fonctionnement.
Le 1er janvier 1981, Roy Harris Jenkins, président de la Commission européenne sortante, se félicite à Bruxelles de l'entrée de la Grèce dans les Communautés européennes.
Le 1er janvier 1981, Lorenzo Natali, vice-président de la Commission européenne en charge de l'élargissement, exprime sa satisfaction suite à l'entrée, le jour même, de la Grèce dans les Communautés européennes.
Le 1er janvier 1981, Roy Jenkins, président sortant de la Commission des Communautés européennes, témoigne de l'importance de l'adhésion grecque aux Communautés.
Le 1er janvier 1981, Gaston Thorn, président de la nouvelle Commission des Communautés européennes, se félicite de l'adhésion de la Grèce aux Communautés.
Le 1er janvier 1981, la Grèce adhère aux Communautés européennes. A cette occasion, Hans-Dietrich Genscher, ministre allemand des Affaires étrangères, souligne les enjeux de l'élargissement aux pays de l'Europe du Sud.
Dans son éditorial des 19-20 octobre 1981, Emanuele Gazzo, directeur général de l'Agence Europe, s'inquiète des conséquences de la victoire électorale du Pasok et de l'arrivée au pouvoir d'Andréas Papandréou sur la politique communautaire de la Grèce.
Le 31 janvier 1983, le journal français La Vie Française analyse la situation politique en Grèce où le socialiste Andréas Papandréou, mécontent de la situation économique dans laquelle se trouve le pays, se tourne contre le Marché commun.