Commentant la conférence de Bandung qui, du 18 au 24 avril 1955, réunit les délégations de vingt-neuf pays d'Afrique et d'Asie, le caricaturiste français Mitelberg ironise sur les malentendus de la décolonisation.
Le 18 avril 1955, dans son discours d'ouverture, le Premier ministre de Ceylan John Kotelawala appelle les pays d'Afrique et d'Asie participants à la conférence de Bandung à s'unir contre le colonialisme.
Le 18 avril 1955, le président indonésien Sukarno déclare ouverte la conférence de Bandung qui, forte d'une délégation de vingt-neuf pays d'Afrique et d'Asie, appelle l'ensemble des pays participants à s'unir dans la lutte contre le colonialisme.
Dans un télégramme du 26 avril 1955, l'ambassade du Royaume-Uni à Jakarta fait le résumé de tous les discours qui ont été prononcés les 18 et 19 avril à la conférence de Bandung.
Nguyen Van Thoai conduit la délégation du Viêt Nam à la conférence des vingt-neuf États non-alignés réunis du 18 au 24 avril 1955 à Bandung (Indonésie).
Du 18 au 24 avril 1955, les délégations de vingt-neuf pays du tiers-monde se réunissent à Bandung (Indonésie) pour une conférence qui marque le début du mouvement des pays non-alignés.
En avril 1955, en marge de la conférence afro-asiatique de Bandung (Indonésie), les leaders du non-alignement - le colonel Gamal A. Nasser, le Premier ministre birman U Nu, le Premier ministre indien Jawaharlal Nehru et le major Salah Salem, adjoint de Nasser (de gauche à droite) - fêtent en habit traditionnel le Nouvel An birman.