En novembre 1968, une délégation de la Commission européenne rencontre les autorités norvégiennes afin de trouver une solution aux problèmes que pose l'adhésion de la Norvège au Marché commun en ce qui concerne la politique commune de la pêche.
Am 24. April 1970 beschreibt der deutsche Bundeskanzler Willy Brandt vor den Vertretern der im Storting vertretenen politischen Parteien die Chancen und Risiken der Erweiterung der Europäischen Gemeinschaften um die skandinavischen Staaten.
En mai 1970, la revue du Mouvement européen néerlandais Nieuw Europa examine la situation dans les secteurs de l'agriculture, de la pêche et de l'industrie en Norvège à la veille du début des négociations d'adhésion aux Communautés européennes.
Le 30 juin 1970, Svenn Stray, ministre norvégien des Affaires étrangères, prend la parole lors de la Conférence diplomatique qui réunit à Luxembourg les six États membres des Communautés européennes et les quatre pays candidats à l'adhésion.
En septembre 1970, le mensuel français Le Monde diplomatique décrit les enjeux et la portée historique d'une éventuelle adhésion de la Norvège aux Communautés européennes.
Le 6 janvier 1971, une note interne du ministère luxembourgeois des Affaires étrangères expose la position des autorités norvégiennes quant aux futures négociations d'adhésion de la Norvège aux Communautés européennes.
Le 30 mars 1971, le nouveau ministre norvégien des Affaires étrangères, Andreas Cappelen, réitère l'engagement de son gouvernement à faire aboutir le plus rapidement possible, les négociations d'adhésion engagées avec les Communautés européennes.
En janvier 1972, Andreas Cappelen, ministre norvégien des Affaires étrangères, exprime dans les colonnes de la Revue du Marché commun les espoirs et les craintes de la Norvège au sujet de son adhésion éventuelle au Marché commun européen.
Le 22 septembre 1970, lors de la première session ministérielle entre les Communautés européennes et la Norvège, le ministre norvégien des Affaires étrangères Svenn Stray, évoque la question de la mise en place d'une politique commune en matière de pêche.
Le 26 janvier 1971, le quotidien français Le Monde détaille les revendications des agriculteurs et des pêcheurs norvégiens qui réclament un assouplissement des règlements agricoles communautaires en cas d'adhésion de leur pays à la Communauté économique européenne (CEE).
Trygve Bratteli, norwegischer Premierminister, erläutert in einem Interview mit dem deutschen Nachrichtenmagazin Der Spiegel die Schwierigkeiten auf welche Norwegen in den Beitrittsverhandlungen zum Gemeinsamen Markt immer wieder stößt.
En février 1971, dans le cadre de la visite de Franco Maria Malfatti, président de la Commission européenne en Norvège, une note d'information des services de la Commission européenne détaille les résultats des dernières négociations avec les responsables norvégiens sur la question de la politique commune dans le secteur de la pêche.
Le 4 mai 1971, dans le cadre des négociations d'adhésion de la Norvège à la Communauté économique européenne (CEE), la délégation norvégienne évoque la question du régime des droits de pêche.
Le 4 mai 1971, la délégation norvégienne transmet aux Communautés européennes un mémorandum relatif à la problématique concernant l'accès aux zones de pêche se trouvant dans les eaux territoriales de la Norvège.
Le 8 juin 1971, lors des négociations d'adhésion de la Norvège à la Communauté économique européenne (CEE), la délégation norvégienne rédige un mémorandum relatif à l'impact du marché communautaire de la pêche sur la pêche nationale.
Le 21 juin 1971, à l'occasion des négociations d'adhésion de la Norvège au Marché commun européen, la délégation norvégienne souhaite des arrangements particuliers en faveur de son agriculture nationale.
Le 28 décembre 1971, une note interne de la délégation de la Commission européenne dresse un premier bilan des négociations concernant la question de la pêche norvégienne.
Dans son édition de janvier 1972, la Revue du Marché commun examine la situation de la pêche norvégienne et dresse un catalogue des difficultés liées à l'adhésion éventuelle de la Norvège au Marché commun européen.
En janvier 1972, Per Kleppe, ministre norvégien du Commerce et de la Navigation, décrit dans la Revue du Marché commun les caractéristiques de l'économie de la Norvège à prendre en compte dans les négociations d'adhésion du pays aux Communautés européennes.
Le 7 janvier 1972, la délégation norvégienne - composée (de g. à dr.) de Andreas Cappelen (ministre des Affaires étrangères), de Søren Christian Sommerfelt (négociateur en chef de la délégation norvégienne) et de Trygve Bratelli (Premier ministre) - rencontre à Bruxelles Franco Maria Malfatti, président de la Commission européenne.
Traité relatif à l'adhésion à la Communauté économique européenne (CEE) et à la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA) du Royaume de Danemark, de l'Irlande, du Royaume de Norvège et du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord.
Le 22 janvier 1972, Andreas Cappelen, ministre norvégien des Affaires étrangères, signe à Bruxelles le traité d'adhésion de la Norvège aux Communautés européennes. Le 25 septembre 1972, l'adhésion sera rejetée par le peuple norvégien lors d'un référendum national.
Le 22 janvier 1972, la délégation norvégienne - composée (de g. à dr.) d'Andreas Cappelen, ministre des Affaires étrangères, de Trygve Martin Bratelli, Premier ministre, et de Søren Christian Sommerfelt, négociateur en chef de la délégation norvégienne- signe à Bruxelles le traité d'adhésion de la Norvège aux Communautés européennes.
Am 25. September 1972 sollen die Norweger in einer Volksabstimmung über den Beitritt ihres Landes zu den Europäischen Gemeinschaften entscheiden. Am Ende stimmen 53,5 % mit "Nein".
En hiver 1972, le Bureau central des statistiques de Norvège diffuse des statistiques relatives au taux de participation lors du référendum populaire organisé le 25 septembre 1972 au sujet de l'adhésion du pays au Marché commun européen.
Am 25. September 1972 stimmen die Norweger in einem Referendum gegen den Beitritt ihres Landes zu den Europäischen Gemeinschaften. Am nächsten Tag berichtet RTL ausführlich über das Thema in seiner 19 Uhr-Nachrichtensendung und präsentiert seinen Hörern die Reaktionen von Sicco Mansholt, Präsident der Europäischen Kommission, und Jean Monnet, Präsident des Aktionskomitees für die Vereinigten Staaten von Europa.
Am 26. September 1972 untersucht Radio RTL die Gründe und die Konsequenzen, die in einem Referendum am Vortag zur Ablehnung der Norweger, den Europäischen Gemeinschaften beizutreten, führten. Er präsentiert seinen Hörern die Reaktionen des französischen Staatspräsidenten Georges Pompidou und des beigeordneten Ministers im Außenministerium André Bettencourt.
Am 25. September 1972 lehnt die norwegische Bevölkerung in einem Referendum den Beitritt des Landes zu den Europäischen Gemeinschaften ab. Am nächsten berichtet RTL über die französischen Reaktionen auf dieses Entscheidung.
Le 26 septembre 1972, André Bettencourt, ministre délégué auprès du ministre français des Affaires étrangères, commente les résultats négatifs du référendum norvégien et lance un appel pour la relance de la construction européenne.
Le 25 septembre 1972, le "non" l'emporte à l'issue du référendum populaire sur l'adhésion de la Norvège au Marché commun. Pour le caricaturiste allemand Hartung, "Le fiancé dit non" et le «mariage» entre la Norvège et la Communauté économique européenne (CEE) tombe à l'eau.
Le 25 septembre 1972, les Norvégiens se prononcent par référendum contre l'adhésion du pays au Marché commun européen. Deux jours plus tard, le quotidien français Le Monde analyse les conséquences de ce refus norvégien sur le processus d'élargissement de la Communauté économique européenne (CEE).
Gerhard Ritzel, deutscher Botschafter in Oslo, äußert sich nach dem negativen Ergebnis der norwegischen Volksabstimmung über einen EG-Beitritt über die zukünftigen Beziehungen zwischen Norwegen und den Europäischen Gemeinschaften.
En novembre 1972, la Revue du Marché commun publie un article de Torkel Opsahl, professeur à l'Institut de droit public et de droit international de l'université d'Oslo, qui analyse dans le détail les raisons du résultat négatif au référendum organisé le 25 septembre 1972 en Norvège sur l'adhésion du pays aux Communautés européennes.
Le 25 septembre 1972, les Norvégiens se prononcent par référendum contre l'adhésion de leur pays aux Communautés européennes. Le caricaturiste français Plantu illustre le premier revers dans le processus d'élargissement européen.
Le caricaturiste Behrendt illustre le premier revers dans le processus d'élargissement européen : à la différence du paquebot danois, qui poursuit inlassablement sa route vers l'Europe, le drakkar norvégien "change de cap" le 25 septembre 1972 et rebrousse chemin.
Le 18 septembre 1972, à la veille du référendum en Norvège sur l'adhésion du pays à l'Europe communautaire, l'hebdomadaire français L'Express décrit l'atmosphère tendue qui règne parmi la population norvégienne.
En mars 1973, Trygve Bratteli, ancien Premier ministre norvégien, explique dans le mensuel français Le Monde diplomatique les raisons qui ont conduit la Norvège à refuser par référendum l'adhésion aux Communautés européennes.
In diesem Interview spricht Bjørn Tore Godal, von 1971 bis 1973 Vorsitzender der Jugendorganisation der norwegischen Arbeiterpartei, über die Hauptgründe für die Ablehnung des Beitritts Norwegens zu den Europäischen Gemeinschaften durch die norwegische Bevölkerung am 25. September 1972. Er betont die Entfernung nach Brüssel und die Vorbehalte eines jungen Nationalstaates, einen Teil seiner Souveränität aufzugeben, und unterstreicht die Bedeutung der Fischerei und der Landwirtschaft für Norwegen.
Dans cette interview, Edmund Wellenstein, qui fut chef de la délégation de la Commission européenne pour les négociations sur l'élargissement des Communautés entre 1970 et 1973, décrit les réactions de la Commission et du gouvernement norvégien suite au résultat négatif du référendum organisé le 25 septembre 1972 sur l'adhésion du pays aux Communautés européennes.