Dans cet extrait d'interview, Francis Gutmann, fonctionnaire au ministère français des Affaires étrangères de 1951 à 1957 et secrétaire général du ministère des Relations extérieures de 1981 à 1985, explique pourquoi les questions liées à l’intervention militaire franco-britannique lors de la crise du canal de Suez en 1956 furent discutées au sein de l’Union de l’Europe occidentale (UEO).
Dans cet extrait d'interview, Francis Gutmann, fonctionnaire au ministère français des Affaires étrangères de 1951 à 1957 et secrétaire général du ministère des Relations extérieures de 1981 à 1985, souligne la position traditionnelle de la France contre les opérations «hors-zone» menées par l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN).
Dans cet extrait d'interview, Francis Gutmann, fonctionnaire au ministère français des Affaires étrangères de 1951 à 1957 et secrétaire général du ministère des Relations extérieures de 1981 à 1985, revient sur la position française par rapport à la présence militaire soviétique en Méditerranée au cours de la guerre froide ainsi que sur ses implications en termes d’équilibre des forces. Ainsi, la France était disposée à tout faire pour maintenir un équilibre stratégique entre les États-Unis et la Russie en Méditerranée, alors que la situation en Afghanistan n’était pas vue comme une menace directe sur l’équilibre stratégique de la région.
Dans cet extrait d'interview, Francis Gutmann, fonctionnaire au ministère français des Affaires étrangères de 1951 à 1957 et secrétaire général du ministère des Relations extérieures de 1981 à 1985, président de Gaz de France de 1988 à 1993 et président de l’Institut français du pétrole de 1993 à 1995, revient sur le fait que, en tant qu’organisme de défense, l’Union de l’Europe occidentale se devait de discuter les questions de sécurité énergétique. L’Ambassadeur décrit également les difficultés rencontrées à élaborer une politique énergétique commune entre les États membres de l’Union européenne compte tenu des politiques nationales très différentes.