Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires économiques de 1973 à 1974, de 1977 à 1982 et de 1988 à 1992, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994, énumère les dossiers clés de la présidence belge du Conseil des Communautés européennes entre juillet et décembre 1993. Willy Claes accentue le soi-disant «Uruguay Round», des négociations internationales qui menaient à la création de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en 1995.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994, précise les difficultés, les défis et les opportunités de la présidence belge du Conseil des Communautés européennes entre juillet et décembre 1993.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994, explique que la création (par le traité de Lisbonne, entré en vigueur le 1er décembre 2009) du poste d’un président permanent du Conseil européen assure une continuité dans la politique européenne. Willy Claes souligne aussi que, selon lui, on ne nécessite plus les présidences de six mois par un État membre.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de la Belgique de 1992 à 1994, aborde l’unanimité entre le Premier ministre belge et son ministre des Affaires étrangères en matière européenne et le caractère confidentiel de la présidence belge du Conseil des Communautés européennes entre juillet et décembre 1993, qui était en contraste avec le caractère très ouvert de la présidence danoise entre janvier et juin 1993.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires économiques de 1973 à 1974, de 1977 à 1982 et de 1988 à 1992, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994, explique que le progrès de la fédéralisation en Belgique au début des années 1990, notamment les accords de la Saint-Michel en 1992 et 1993, compliquait les négociations et les prises de décisions.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de la Belgique de 1992 à 1994, explique la compatibilité du statut de neutralité avec l’adhésion aux Communautés européennes ainsi que la nécessité et les défis de l’élargissement vers l’Europe centrale et l’Europe de l’Est.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994, décrit les négociations avec le Parlement européen sur les perspectives financières des Communautés dans le cadre de la présidence belge du Conseil des Communautés européennes entre juillet et décembre 1993. Willy Claes souligne aussi son respect pour le Parlement européen, qui est selon lui un des piliers de la construction européenne.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994, évoque les difficultés des négociations bilatérales sur les fonds structurels dans le cadre de la présidence belge du Conseil des Communautés européennes entre juillet et décembre 1993. Willy Claes souligne aussi le rôle important joué par Jacques Delors, président de la Commission européenne entre 1985 et 1995, dans l’aboutissement à un accord.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994, évoque la question du siège des institutions communautaires et ses négociations avec François Mitterrand, président de la République française entre 1981 et 1995, concernant le siège du Parlement européen.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994, partage ses impressions sur les personnalités de François Mitterrand, président de la République française entre 1981 et 1995, et de Helmut Kohl, chancelier fédéral allemand entre 1982 et 1998. Willy Claes souligne aussi l’importance du consensus sur l’axe Berlin-Paris.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994 et secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) de 1994 à 1995, explique que la question de l’équilibre entre l’intérêt commun et les intérêts spécifiques des États respectifs est profondément liée au monde globalisé et aux relations internationales. Willy Claes souligne que, selon lui, l’Union européenne ne doit plus se présenter en tant qu’union divisée sur la scène mondiale.
Dans cet extrait d'interview, Willy Claes, ministre des Affaires étrangères de Belgique de 1992 à 1994 et secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) de 1994 à 1995, estime que le succès de la présidence belge du Conseil des Communautés européennes entre juillet et décembre 1993 avait probablement influencé sa nomination en tant que secrétaire générale de l’OTAN en 1994.