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En février 1950, face aux critiques américaines concernant les lenteurs du processus d'intégration européenne, Paul-Henri Spaak, président de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, détaille les raisons de certains blocages et souligne l'importance d'intensifier les efforts en vue de la mise en place d'une Europe unie.
Le 1er février 1950, à l'occasion d'une conférence de presse, l'Américain Paul Hoffmann, administrateur de l' "Economic Cooperation Administration" (ECA) chargée de la répartition des fonds fournis par le plan Marshall, insiste sur le rôle important que doit jouer l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) dans le processus d'intégration économique de l'Europe.
Le 31 octobre 1949, à l'occasion de la 75e réunion du Conseil de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE), l'Américain Paul Hoffmann, administrateur de l' "Economic Cooperation Administration" (ECA) chargée de la répartition des fonds fournis par le plan Marshall, appelle les pays d'Europe occidentale à plus d'union et à intégrer leurs économies au sein d'un vaste marché unique européen.
Le 10 août 1949, lors de la première séance de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, Paul-Henri Spaak est élu premier président de l'Assemblée.
Dès 1950, Robert Schuman encourage la création de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA). Parmi ses motivations, il évoque la faiblesse des organisations européennes intergouvernementales telles que le Conseil de l'Europe.
Le 9 mai 1950, la déclaration prononcée dans le salon de l'Horloge du Quai d'Orsay par Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, donne le coup d'envoi décisif de la construction de l'Europe communautaire.
Le 10 mai 1955, à l'occasion du cinquième anniversaire de la déclaration Schuman, l'ancien ministre français des Affaires étrangères prononce à Strasbourg un discours dans lequel il rappelle les débuts de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et fixe des perspectives pour la poursuite de la construction européenne.
Ce film, produit par le Service d'Information de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), retrace le processus de création de la CECA et en décrit les objectifs, le fonctionnement et les activités.
Photo de famille des signataires du Traité de Paris instaurant la CECA (Communauté européenne du Charbon et de l'Acier). De gauche à droite: Paul van Zeeland (B), Joseph Bech (L), Joseph Meurice (B), Carlo Sforza (I), Robert Schuman (F), Konrad Adenauer (BRD), Dirk Stikker (NL) et Johannes van den Brink (NL).
Le 18 avril 1951, les ministres des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne, de la Belgique, du Luxembourg, de la France, de l'Italie et des Pays-Bas signent à Paris le traité instituant la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA). De gauche à droite, Etienne Hirsch, Jean Monnet, Robert Schuman, Pierre Uri.
Le 18 avril 1951, les ministres des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, du Luxembourg, de la France, de l'Italie et des Pays-Bas signent à Paris le traité instituant la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA). De g. à dr.: Paul van Zeeland (B), Joseph Bech (L), Joseph Meurice (B), le comte Carlo Sforza (I), Robert Schuman (F), Konrad Adenauer (RFA), Dirk Stikker (PB) et Johannes van den Brink (NL).
Le 30 novembre 1954, Jean Monnet, président de la Haute Autorité, établit un premier bilan des activités de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) devant l'Assemblée commune réunie en session extraordinaire.
Le 8 octobre 1953, Dirk Spierenburg, membre de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) expose à l'occasion de l'assemblée genérale de la Confédération néerlandaise du patronat la situation actuelle et les perspectives de l'organisation.
Le 14 juillet 1953, Johannes Linthorst Homan, directeur de l'intégration européenne au sein du ministère néerlandais des Affaires économiques de 1952 à 1958, souligne dans un discours radiodiffusé la nécessité d'une plus grande coopération économique en Europe.
Le 18 avril 1951, les ministres des Affaires étrangères des Six font une déclaration commune dans laquelle ils soulignent l'importance du traité instituant la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) qu'ils viennent de signer à Paris.
D'après l'article 6 de la Convention relative aux dispositions transitoires annexée au traité de Paris de 1951, l'Assemblée se réunira un mois après la date d'entrée en fonctions de la Haute Autorité, sur convocation du président de celle-ci, pour élire son bureau et élaborer son règlement intérieur.
Signé le 18 avril 1951, ce protocole annexé au Traité instituant la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), constitue la base juridique des relations entre la Communauté et le Conseil de l'Europe. Il instaure un échange d'informations entre les deux organisations et prévoit la possibilité d'intensifier leur collaboration par des accords ultérieurs.
Tableau indiquant l'évolution de la production d'acier et de charbon en France, en Sarre, en Allemagne, en Belgique, en Italie et aux Pays-Bas entre 1936 et 1958.
Le 14 mai 1957, René Mayer, président de la Haute Autorité de la CECA, présente le rapport d'activité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier devant l'Assemblée commune.
Le 12 mai 1955, l'Allemand Franz Etzel, vice-président de la Haute Autorité, dresse un bilan de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) cinq ans après la déclaration Schuman qui lui a donné naissance.
Le 30 novembre 1954, Jean Monnet, président de la Haute Autorité, établit un premier bilan des activités de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) devant l'Assemblée commune réunie en session extraordinaire.
Le 1er octobre 1954, à l'occasion du congrès de l'Union des syndicats néerlandais à Amsterdam, Dirk Spierenburg, membre de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), prononce un discours dans lequel il détaille le rôle important échu à la CECA et évoque les principales compétences de la Haute Autorité.
Le 8 octobre 1953, Dirk Spierenburg, membre de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) expose à l'occasion de l'assemblée genérale de la Confédération néerlandaise du patronat la situation actuelle et les perspectives de l'organisation.