Le 11 septembre 1975, Jacques-René Rabier, conseiller spécial auprès de la Commission européenne, adresse à Carlo Scarascia Mugnozza, vice-président de la Commission, une note rendant compte d'une entrevue entre une délégation de l'Association pour le développement des études politiques transeuropéennes (ADEPT) et Leo Tindemans, Premier ministre belge.

Le 23 septembre 1975, Leo Tindemans, Premier ministre belge, tient une conférence de presse à Paris pour préciser les objectifs et les procédures de sa mission en vue de définir la notion d'Union européenne.

Le 27 septembre 1975, Leo Tindemans, Premier ministre de Belgique, accorde à la section néerlandaise du Mouvement européen une interview au cours de laquelle il décrit les objectifs et les procédures de sa mission en vue de définir la notion d'Union européenne.

En 1975, Leo Tindemans, Premier ministre de Belgique, explique les circonstances dans lesquelles il a été désigné par ses pairs, à l'issue du sommet de Paris des 9 et 10 décembre 1974, pour rédiger un rapport sur l'Union européenne et définit les objectifs de ce rapport.

Le 25 octobre 1975, l'Union européenne des fédéralistes (UEF) adresse à Leo Tindemans, Premier ministre de Belgique, une lettre dans laquelle les militants insistent notamment sur l'importance de l'élection directe du Parlement européen au suffrage universel.

Dans ses Mémoires, Leo Tindemans, ancien Premier ministre de Belgique, décrit la manière dont il a préparé, au cours de l'année 1975, avec l'aide de ses collaborateurs et à la suite de nombreuses consultations diplomatiques et auprès de la société civile, son rapport sur l'Union européenne.

Dans cette interview, Leo Tindemans, ancien Premier ministre de Belgique, explique comment il a été désigné par ses pairs, à l'issue du sommet de Paris des 9 et 10 décembre 1974, pour rédiger un rapport sur l'Union européenne et comment il a composé l'équipe destinée à le soutenir dans cette tâche.

Le 29 décembre 1975, Leo Tindemans, Premier ministre de Belgique, rend public son rapport sur l'Union européenne en vertu du mandat confié par les Neuf lors du Conseil européen de Paris (9-10 décembre 1974).

Le 29 décembre 1975, rendant public son rapport sur l'Union européenne, le Premier ministre belge Leo Tindemans joint à celui-ci une lettre officielle dans laquelle il décrit à ses collègues européens la philosophie de son projet politique et exprime sa foi dans l'avenir de la construction européenne.

Le 7 janvier 1976 à Bruxelles, Leo Tindemans, Premier ministre de Belgique, rend public son rapport sur l'Union européenne.

Leo Tindemans, Premier ministre de Belgique et auteur, en 1975, du rapport homonyme sur l'Union européenne.

Leo Tindemans, ancien Premier ministre de Belgique et auteur, en 1975, du rapport homonyme sur l'Union européenne, revient vingt ans après dans la revue néerlandaise Internationale Spectator sur la genèse du rapport et sur les réactions qu'il a suscitées.

Dans ses Mémoires, Leo Tindemans, ancien Premier ministre de Belgique, décrit la manière dont son rapport sur l'Union européenne a été accueilli en 1975 par ses homologues européens, notamment par le président français Valéry Giscard d'Estaing, et pointe les avancées ultérieures des Communautés européennes déjà préconisées dans le rapport Tindemans.

Dans cette interview, Leo Tindemans, ancien Premier ministre de Belgique, explique comment son rapport sur l'Union européenne a été accueilli, en décembre 1975, par les chefs d'État ou de gouvernement des Neuf et quels étaient les principaux aspects de ce texte qui ont ensuite été concrétisés dans le processus de la construction européenne.

En réaction au Rapport Tindemans sur l'Union européenne, "Agenor", groupe de pression européen d'obédience socialiste, publie en décembre 1975 un anti-rapport Tindemans particulièrement critique.

Le 1er janvier 1976, Albert Coppé - ancien ministre et ancien membre belge de la Haute Autorité de la CECA - analyse dans les colonnes du quotidien La Libre Belgique les principales dispositions du rapport Tindemans sur l'Union européenne.

Le 8 janvier 1976, le quotidien Luxemburger Wort commente les éléments principaux du rapport Tindemans sur l'Union européenne qui préconise notamment un renforcement des institutions communautaires.

Dans son éditorial du 8 janvier 1976, Emanuele Gazzo, rédacteur en chef de l'Agence Europe, dresse un bilan mitigé des propositions contenues dans le rapport Tindemans sur l'Union européenne.

Le 10 janvier 1976, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung examine les propositions du Premier ministre belge Leo Tindemans en ce qui concerne la transformation des Communautés en une Union européenne sur la base, notamment, d'un renforcement des institutions communautaires et d'une politique étrangère commune.

Dans son éditorial des 19-20 janvier 1976, Emanuele Gazzo, rédacteur en chef de l'Agence Europe, déplore le manque d'ambition, notamment fédéraliste, du rapport Tindemans sur l'Union européenne.

Le 16 février 1976, le Premier ministre belge Leo Tindemans accorde au quotidien La Libre Belgique un entretien dans lequel il s'exprime sur l'avenir de l'Union européenne.

Le 20 février 1976, Pierre Vermeylen, ministre d'État belge, examine dans les colonnes du quotidien Le Soir les répercussions possibles du rapport Tindemans sur l'Union européenne.

En février 1976, Jean Rey, président de la Commission européenne, exprime dans les colonnes du mensuel économique Vision les grands espoirs qu'il place dans les dispositions politiques contenues dans le rapport Tindemans sur l'Union européenne.

Le 1er mars 1976, George Thomson, membre de la Commission européenne en charge de la politique régionale, commente le rapport Tindemans sur l'Union européenne et décrit les futurs enjeux de la construction européenne.

Présenté le 2 avril 1976 lors du Conseil européen de Luxembourg, le rapport Tindemans, du nom de son auteur alors Premier ministre de Belgique, définit le concept d'"Union européenne".

Photo de famille du premier Conseil européen sous présidence luxembourgeoise, prise au Palais Grand-Ducal à Luxembourg le 1er avril 1976. Au 1er rang: Helmut Schmidt, Aldo Moro, Leo Tindemans, Joop den Uyl, Valéry Giscard d'Estaing, le grand-duc Jean, Gaston Thorn, James Callaghan, Anker Jorgensen, Liam Cosgrave, François-Xavier Ortoli. Au 2ème rang, entre autres: Hans-Dietrich Genscher, Knud Borge Andersen, Max van der Stoel, Renaat van Elslande, Wilhelm Haferkamp, Garret Fitzgerald, Jean Victor Sauvagnargues, Mariano Rumor.

Le 2 avril 1976, le rapport Tindemans qui définit le concept d'"Union européenne" est présenté au Conseil européen de Luxembourg, qui lui consacre un échange de vues préliminaire. De gauche à droite, Gaston Thorn, président en exercice du Conseil, président du gouvernement luxembourgeois, ministre d'État et ministre des Affaires étrangères accueille le chancelier fédéral Helmut Schmidt et Leo Tindemans, Premier ministre de Belgique et auteur du rapport au château de Senningen, le 1er avril 1976.

Le 6 septembre 1976, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe analyse les enjeux du rapport Tindemans sur l'Union européenne.

Le 23 octobre 1976, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung titre sur les réactions des autorités allemandes concernant le rapport de Tindemans sur l'Europe.

Le 10 avril 1976, interviewé sur les ondes de RTL, Leo Tindemans, Premier ministre de Belgique, commente les principaux aspects du rapport Tindemans sur l'Union européenne rendu public le 29 décembre 1975 et donne son sentiment sur l'échec du Conseil européen de Luxembourg des 1 et 2 avril 1976.

Dans cette interview, Jean-Jacques Kasel, attaché de légation au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères de 1973 à 1976, rappelle comment le rapport Tindemans sur l'Union européenne, rendu public le 29 décembre 1975, a été accueilli par les chefs d'État ou de gouvernement des neuf États membres de la Communauté économique européenne (CEE) pendant la présidence luxembourgeoise du Conseil des Communautés européennes, du 1er janvier au 30 juin 1976.