Le 18 avril 1946, le périodique allemand Die Zeit réfléchit sur les racines et les principes qui doivent soutenir l'idée d'unification européenne et dénonce l'usurpation de cet idéal par les despotes de l'Histoire.

Le 10 mai 1946, le quotidien allemand Die Welt retrace l'évolution historique de l'Europe et insiste sur le rôle de la culture chrétienne dans son processus d'unification.

Le 11 avril 1948, Pierre Dupong, ministre d'État et président du gouvernement luxembourgeois, s'exprime sur les ondes de Radio Luxembourg sur l'importance de la culture chrétienne dans le processus d'unification de l'Europe.

Le 5 juin 1948, le quotidien catholique Luxemburger Wort relate les positions du Pape Pie XII qui exhorte les ouvriers catholiques européens à ne pas succomber aux sirènes du communisme.

Le 24 août 1948, Carlo Sforza, ministre italien des Affaires étrangères, expose à son homologue français, Robert Schuman, sa conception chrétienne de l'unité européenne.

Le 11 novembre 1948, le pape Pie XII exprime sa sympathie pour les actions menées par le mouvement fédéraliste en faveur de l'unité européenne.

Le 21 mai 1945, l'hebdomadaire viennois Die österreichische Furche critique le caractère convenu du militantisme européen dans certains pays et appelle les chrétiens à prendre leurs responsabilités pour garantir l'avenir économique et politique de l'Europe.

Le 29 janvier 1954, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung revient sur les arguments développés la veille par le comte Coudenhove-Kalergi devant la Société du commerce et des sciences de Francfort en faveur de l'unité culturelle européenne.

Le 8 janvier 1955, le quotidien catholique luxembourgeois Luxemburger Wort décrit la vision européenne du pape Pie XII et de la communauté catholique.

Le 27 septembre 1956, le quotidien français Le Monde analyse les interventions de Robert Schuman, de Joseph Bech et de Konrad Adenauer aux Grandes conférences catholiques organisées la veille à Bruxelles.

Le 25 février 1930, le comte Richard Coudenhove-Kalergi publie à Berlin un projet de Pacte paneuropéen en faveur d'une fédération européenne.

En 1931, le comte Richard Coudenhove-Kalergi, fondateur et président du Mouvement paneuropéen, publie à Vienne une brochure sur les enjeux de la création d'une Paneurope.

En mai 1934, le comte Richard Coudenhove-Kalergi, président-fondateur de l'Union paneuropéenne, ouvre la séance du congrès paneuropéen de Vienne en présence notamment du chancelier autrichien Engelbert Dollfuß.

Le comte Richard Coudenhove-Kalergi, fondateur et animateur du mouvement paneuropéen.

Dans cette interview de 1971, le comte Richard Coudenhove-Kalergi, fondateur de l'Union paneuropéenne, évoque la fondation du mouvement en 1923 et souligne les objectifs liés à sa création: une politique européenne commune en matière de politique étrangère, de défense et dans le domaine économique. Richard Coudenhove-Kalergi rappelle également l'influence de son père dans la naissance de l'idée d'un mouvement paneuropéen.

Dans cette interview réalisée en 1971, le comte Richard Coudenhove-Kalergi, fondateur de l'Union paneuropéenne, évoque les origines de sa famille, sa naissance au Japon, son enfance en Autriche-Hongrie et ses études secondaires et universitaires à Vienne.